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Carlos Stins
69 abonnés
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1,0
Publiée le 31 août 2017
"Le retour de l’inspecteur Harry" est l'occasion pour Clint Eastwood d'endosser pour la quatrième fois le costume de l'inspecteur Harry, un quatrième opus particulier puisqu'il est réalisé par Clint Eastwood lui meme. De cette saga je n'ai vu que le premier film qui m'avait beaucoup déçu mais je dois dire que ce n'est rien à coté de la catastrophe qu'est ce film. Une nouvelle fois le scénario brille par son absence totale de cohérence. Le film abuse de facilités scénaristiques pour tenter de poursuivre son intrigue et manque cruellement de réalisme. Au delà de ça le film est mou et meme les séquences d'action ne sont pas convaincantes tant elle manque de rythme et d'inventivité. Mais ce qui rend ce film vraiment insupportable, c'est l'idéologie réac à vomir qu'il transmet. C'es le niveau zéro de réflexion, une idéologie simpliste qui ne s'embarrasse d'aucune nuance. Je me demande comment un auteur tel que Clint Eastwood capable d’être aussi fin et juste dans "Million dollar baby" ou "Gran Torino", peut livrer un film aussi mauvais et abject, j'avoue que ça me dépasse.
On passe dans une autre décennie, et même si Harry se veut toujours en froid avec sa hiérarchie, son attitude change, c'est plus un homme qui colle d'avantage avec son époque, même si on le traite de dinosaure, c'est lui qui reste dans le coup; il court, il prend un chien, aussi laid que possible et surtout il cède la vedette à la gente féminine, qui prend une place prépondérante dans le récit. Les autres acteurs, tous auteurs de crimes, sont décrits comme des loosers, des dingues, des coincés, des hystériques, et cette histoire de viol, montre que les victimes n'en sortent pas indemnes, que la justice doit être plus attentives, plus sévère, et que c'est un crime. Harry sous le couvert de sa plaque tire plus vite et expédie les truands à trépas, la justice est rendu, quoi qu'il en soit. On passe dans un film d'atmosphère, plus sombre, plus dramatique moins lyrique que les précédent, mais, le film gagne en profondeur, et en voyeurisme.
Eastwood prend les rennes de ce quatrième volet, et nous livre une film policier sombre, violent, presque baroque. L'inspecteur Callahan, toujours aussi charismatique et expéditif, se voit cette fois confronté à une vengeance méritée mais illégale, et à une sordide bande de débauchés. Le propos sur l'auto-justice est donc à prendre avec plus de caution que les précédents épisodes, malgré une touche féministe. Néanmoins, la forme, soutenue par une interprétation de qualité, est impeccable. Sans doute le meilleur de la saga.
Une saga peut-elle rester de qualité quand elle arrive au 4ème épisode ? Oui, quand celui-ci est confié à un réalisateur de talent, qui sait quoi faire de son perso principal, le renouveler, et surtout, quand on respecte la mythologie de ladite saga. C. Eastwood dirige içi son seul et unique épisode de la saga du plus célèbre inspecteur de San Francisco. Au bout de 10 minutes, j'étais déjà conquis. La scène dans l'ascenseur à celle du fameux "Make my day" m'avaient ravis la rétine et les oreilles. Eastwood signe un polar badass dans laquelle notre héros va se retrouver confronter à une tueuse redoutable et il prendra aussi un petit coup de vieux. Classique dans sa forme, le film renoue avec le coté plus sulfureux du personnage et nous offre au passages de nombreux passages violents, ambigus et jouissifs. Le final dans le parc d'attraction reste une référence du genre, la lumière et quelques cadres se révélant splendides, bourré de métaphores et offrant au personnage de Dirty Harry un plan mythique. La fin prêtera longtemps à discussion, et les grincheux pointeront du doigt quelques détails tendancieux mais son coté badass et no limit demeurent inégalés à ce jour et renoue avec l'esprit du 1er volet. Et ça, c'est pas donné à tout le monde. D'autres critiques sur
Sans aucun doute, le plus noir de la saga des inspecteur Harry non seulement de par son histoire mais aussi de par son ambiance assez glaciale. Ce film est pour ma part, le plus aboutie de tous. Réalisé par Clint Eastwood, ce film nous fait réfléchir sur la justification de certains actes: ici, c'est une femme violée dans sa jeunesse qui tue pour se venger. La fin du film permet justement la réflection sur le fait que se soit compréhensible ou non. Le retour de l'inspecteur Harry va un peu plus loin que les autres et ne se contente pas d'être uniquement un bon film policier. Ce quatrième volet est donc mon favori. Il reste quand même dans la lignée des précédents en ce qui concerne le personnage de Clint Eastwood avec ses répliques cultes, son humour grinçant et son charisme hors norme.
Réalisé par Clint lui même, ces 4ièmes aventures du célèbre inspecteur respirent un tout autre air. L'inspecteur va en effet enquêter loin de San Francisco, se retrouve accompagné d'un gros chien et s'acoquine rapidement avec une femme qui se veut être le tueur qu'il recherche. Dans sa construction, le film fleure bon l'esprit déjà vu dans "L'Homme des Hautes Plaines"! Un drame revécu en flash back, une vengeance qui se dessine... A la limite du fantastique (les scènes de viol et la fin dans l'ambiance fête foraine), Clint nous offre une histoire forte et émouvante comme lui seul sait les filmer. Sondra Locke trouve sûrement son meilleur rôle ici. Un grand film donc que cet inspecteur Harry qui n'en porte quasiment que le nom, même si l'on retrouve évidemment les moment qui ont fait les beaux jours de cette saga, car il nous propose un sujet très délicat et fort. Les scènes d'action sont vraiment réussies et la réalisation vraiment parfait. Un très bon cru mais vraiment différent!
Après un 3e épisode moyen, l'inspecteur Harry revient sous la houlette de Clint Eastwood réalisateur pour le meilleur épisode de la saga avec le premier. Bénéficiant cette fois-ci d'une écriture plus subtile que le précédent, le scénario est véritablement prenant de bout en bout et évite le manichéisme habituel. Enquêtant sur une série de meurtre liés entre eux, notre Harry au caractère toujours aussi impulsif, fait preuve de plus de doigté qu'à son accoutumé pour mettre fin à cette affaire. Et pour une fois, le personnage féminin est cette fois-ci vraiment intéressant (très bonne Sondra Locke) et ne sert pas seulement de faire valoir à notre inspecteur bougon. La réalisation est plus efficace que les 2 précédents épisodes et ne cède pas à la facilité des scènes d'actions à rallonge pour compenser un scénario trop léger. On aurait pu craindre une saga en perte de vitesse avec le précédent épisode décevant mais Clint a réussit à la remettre sur de bons rails. Qu'en est-il pour le dernier film ? A voir...
ce film la est plus violent voir plus sanglant oui oui c'est possible dans la saga Harry. Les supérieur de Harry sont vraiment bête de empêcher Harr d'utiliser sa méthode. quesce que sa peux faire du moment que c'est efficace ? Ce film très bien réaliser par clint Eastwood. Et pour une fois Harry ce trouve opposer à une femme et sa c'est cool
On jubile rien qu’à l’idée de retrouver Clint Eastwood devant et derrière la caméra pour un rape and revenge ! Pour ce 4ème et avant-dernier opus de la saga, c’est donc l’interprète principal qui se charge de la réalisation.
Après un tueur fou, un groupe de tueurs expéditifs et des terroristes activistes, on retrouve l’inspecteur aux trousses d’une tueuse en série, victime d’un viol durant son adolescence et souffrant d’un syndrome post-traumatique, elle est bien décidée à se faire vengeance (la justice n’ayant rien fait pour elle). Jennifer, jeune artiste peintre bien sous tous rapports, se lance alors dans une expédition vengeresse et c’est armé d’un 38 spécial, qu’elle s’engagera lentement mais sûrement, dans une castration punitive.
Nous pouvons sans le moindre doute qualifier Le Retour de l'inspecteur Harry (1983) comme étant l’un des meilleurs opus de la franchise. L’intrigue, plus sombre qu’à son habitude, nous entraîne au cœur d’une histoire glauque dont la mise en scène n’aura de cesse de nous bluffer (les flash-back ou encore le final se déroulant dans un parc d'attractions et notamment la brillante apparition de l’inspecteur en contre-jour). Sans oublier quelques références qui nous font repenser à L'Inconnu du Nord-Express (1951) d’Alfred Hitchcock (pour la séquence du manège).
Si l’ensemble du casting se révèle efficace (la brochette de rednecks notamment), il faudra aussi saluer la performance de Sondra Locke (qui avait déjà été dirigée par Clint Eastwood dans Josey Wales hors-la-loi - 1976). Son regard froid et sa détermination vous glacent le sang, face à un Harry Callahan impassible mais jamais avare en répliques corrosives.
Cet opus ci a plus de caractère je trouve. Harry est confronté à un ennemi plus intéressant et complexe qu'une simple bande de tireurs fous. Et bien évidemment l'affaire est comme toujours rondement menée.
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3,5
Publiée le 17 octobre 2019
Retour sombre et violent du cèlèbre inspecteur Harry Callahan alias Clint Eastwood! Ce dernier rècidive donc dans le rôle du mythique Dirty Harry, Harry le sal*pard, l'inspecteur au Magnum tellement rapide comme l'èclair que ses supèrieurs excèdès le relèguent dans un bled perdu loin de la Citè des Anges! Mais Callahan a tôt fait de tomber sur un filon, une sèrie de crimes de maniaques, et de tourner autour d'une blonde nèvrosèe depuis un viol collectif subi dix ans plus tôt [...] Sorti en 83, "Sudden Impact" fait plus dans l'èlectrochoc que dans la dentelle et l'humour très spècial de Clint ne vient rien arranger! Et pourtant ce volet est l'un des meilleurs de la franchise avec une performance impressionnante de Sondra Locke...
Un inspecteur Harry efficace..., mais sans grande imagination. A voir surtout pour la scène finale où Clint Eastwood montre toute son ingéniosité de réalisateur. Pour le reste, le scénario cède à la facilité et la recrudescence des tueries finissent par nuire à la qualité de l'histoire. Bref, on est bien loin ici du meilleur de Clint Eastwood.
Ce quatrième volet réalisé par l'acteur voir entrer son actrice "fétiche" en la personne de Sandra Locke en tueuse victime réaliste et dramatique. Dirty Harry devient une grosse série en plusieurs épisodes toujours aussi bons et réalistes. Un volet qui ne déroge pas à la règle, bourré d'action et d'humour et suite "logique" de la saga entamée en 1972