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    Les Ensorcelés
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    34 critiques spectateurs

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    Hotinhere
    Hotinhere

    435 abonnés 4 774 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 4 mars 2014
    Mélodrame flamboyant et fascinant aux six oscars de Vicente Minnelli qui évoque le rôle impitoyable des producteurs à Hollywood, avec un Kirk Douglas sublime en mégalomane ambitieux et perfide.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 6 janvier 2014
    Un film, de par son invention narrative, d'une modernité étonnante !
    ygor parizel
    ygor parizel

    207 abonnés 2 503 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 juillet 2012
    Une œuvre sur le cinéma, l’univers hollywoodien est décrit de manière crue et symbolisé par un Kirk Douglas imposant et malsain. Scénario divisé en trois parties distinctes est malin, l’ambiance et la réalisation elle ressemble à celle d’un film noir et en plus de cela les dialogues sont très bons.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 6 janvier 2012
    Beau film, bien interprété, bien écris et avec une intrigue très agréable.
    CeeSnipes
    CeeSnipes

    257 abonnés 1 708 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 18 décembre 2011
    Je ne remercierais jamais assez la personne qui m'a proposé de prendre un abonnement au Forum des Images. Grâce à elle, je peux voir plein de films dont je n'aurais même pas eu l'idée de regarder par moi-même. Cette fois, c'était The Bad And The Beautiful de Vincente Minelli.

    Je suis assez partagé sur ce film. En effet, en plus d'une technique parfaite et d'une musique plutôt écoutable de David Raskin, la construction faite de flash-backs me plaît, mais elle a ses défauts inhérents. Effectivement, elle appelle la comparaison entre les différentes parties. Et là, c'est le gros défaut du film. Les deux scènes d'expositions sont fabuleuses, avec l'attente de voir le personnage de Shields, joué par un Kirk Douglas exceptionnel, qui arrive à nous rendre cet opportuniste attachant, la première histoire mettant en scène la rencontre entre Shields et Amiel est prodigieuse, la troisième, entre Bartlow et Shields aussi. Malheureusement, c'est dans le ventre mou du film que les choses se gâtent avec cette histoire d'amour certes importante mais assez plombante et traitée de façon très peu originale.

    Le film perd l'espèce d'humour pince-sans-rire (les hommes-chats) qu'il avait et tombe dans le mélodrame, avant de redevenir bon. Mais le mal est fait et on s'est vraiment ennuyé pendant 30 minutes et le film nous semble interminable. Cela dit, la fin est assez drôle et très ancrée 50's. En d'autres termes, c'est un film sur son époque, sur le cinéma et avant tout, un film sympathique.
    cylon86
    cylon86

    2 286 abonnés 4 430 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 15 novembre 2011
    Vincente Minnelli, loin des comédies musicales pour lesquelles il est plus connu, signe là un grand film sur ce mythe qu'est Hollywood et donc le cinéma à travers une histoire fragmentée en flash-backs de plusieurs points de vue comme le tout aussi sublime "La Comtesse aux pieds nus" de Mankiewicz avec qui il partage de nombreux points communs. Filmé en un superbe noir et blanc et teinté de mélancolie, "Les ensorcelés" permet à Kirk Douglas de trouver un de ses meilleurs rôles face à des acteurs tout aussi excellents comme Lana Turner, toujours aussi belle ou encore Dick Powell.
    ElAurens
    ElAurens

    61 abonnés 585 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 16 octobre 2011
    Construit de la même manière que La comtesse aux pieds nus ce drame de Vincente Minnelli nous raconte l'histoire de trois personnages devenus stars grâce à un producteur sans scrupules interprété par une des légendes d'Hollywood Kirk Douglas. Le monde du cinéma et même du travail en général prend une sacré claque, oui pour parvenir au sommet il ne faut pas être un enfant de chœur. En plus de cela le film est brillamment mis en scène, bref les qualités sont nombreuses, après je dois reconnaître que je me suis un peu ennuyé par moment. Un homme dit dans le film qu'un film doit avoir des temps forts et des temps faibles, c'est exactement le cas de celui-ci, mais ce n'est pas une bonne chose.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 13 avril 2011
    Un film porté en grande partie par la prestation de Kirk Douglas en producteur génial et manipulateur à sa façon, j'ai trouvé en revanche les autres acteurs un peu fade, Gloria Grahame dans un petit role s'en sort pas mal tout de même. Il faut dire que le scénario n'est pas aussi sulfureux que certains l'affirment, voir même pas du tout, juste une histoire solide sur le monde du cinéma , de la production et de la création.
    totoro35
    totoro35

    89 abonnés 1 787 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 août 2010
    Minnelli signe ici une oeuvre passionante et lucide sur le cinéma, offrant à Kirk Douglas un de ses plus beaux rôles.
    mistermyster
    mistermyster

    36 abonnés 1 177 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 4 mai 2010
    Sulfureux, irrespectueux, le film possède une force imprévisible, une interprétation de Douglas parfaite, le côté génie, machiavélique, le monde peint du cinéma sur une toile craquelée, qui ne se réduit pas à sa plus simple expression. Le noir et blanc est sublime, les ombres qui donnent la force de la lumière, le traitement de chaque petite histoire est juste. Génialissime.
    Flavien Poncet
    Flavien Poncet

    212 abonnés 1 024 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 28 avril 2010
    Après «Citizen Kane» (1941), «All about Eve» (1950) et avant «The Barefoot Contessa» (1954), Vincente Minnelli dresse, dans «The Bad and the Beautiful» (USA, 1952) le portrait d’une icône de l’industrie médiatique, en l’occurrence un producteur hollywoodien ambitieux (Jonathan Shields interprété par Kirk Douglas), par le biais des différents témoins qui l’ont côtoyé dans le passé. Par le truchement d’un vieil acolyte réalisateur, d’une ancienne compagne actrice et de l’écrivain qu’il invita à Hollywood, tous trois partageant une rancœur tenace à l’égard de Shields, le portrait de l’homme et du producteur s’esquisse progressivement. Derrière la bête de cinéma se cache la beauté d’un homme fragile, meurtri par la réputation de son défunt père, anciennement connue dans la profession du cinéma pour être sévère et détestable. Le procédé des flash-backs à répétition, outre de complexifier le fil narratif, permet de soutenir l’attention du spectateur. Renfermant trois films en un, «The Bad and the Beautiful», avec la belle-brochette d’acteurs, comme toujours chez Minnelli, en donne au spectateur pour son argent. Tout le film en donne pour son argent, jusqu’à la façon dont le cinéaste, derrière les travers hollywoodiens qu’il dénonce, dore la carrosserie du système des studios. Ce serait une déclaration d’amour à Arthur Freed, le producteur de ses grandes comédies musicales, qu’on ne s’étonnerait pas. «The Barefoot Contessa» de Joseph L. Mankiewicz brosse une image moins arrondie et moins galvanisée d’Hollywood. Il faut toutefois mentionner Kirk Douglas dont l’interprétation est d’une remarquable complétude. Tant dans sa voix, ses intonations et ses inflexions que dans ses gestes, Douglas éclaire le noir et blanc désaturé d’une présence éclatante. Qu’il n’ait pas eu l’Oscar du meilleur acteur auquel il était nommé, alors que son personnage apparaît en fondu avec la statuette dorée, est un triste coup du sort qu’il faut déjouer aujourd’hui en rendant justice à l’acteur.
    Julien D
    Julien D

    1 119 abonnés 3 461 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 9 septembre 2012
    Ce chef d'œuvre est sans conteste une des plus belles mises en abîme que le cinéma ait pu faire de lui-même, au coté de Boulevard du crépuscule et du Dernier nabab. Vincente Minnelli s’éloigne de ses comédies musicales habituelles pour y critique la politique des studios à l'âge d'or des années 50 tout en déclarant son amour au cinéma grâce à sa mise en scène pleine de poésie et à ses différents personnages campés par d’excellents acteurs qui sont tous eux-mêmes, à leur manière, des clichés de la magie hollywoodienne.
    NicoMyers
    NicoMyers

    50 abonnés 302 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 30 août 2009
    A la manière de Tous en scène, que Vincente Minnelli réalisera en suivant, Les ensorcelés offre une mise en abîme permanente et magique - ici, sur le mode mélodramatique. Si ce n'est qu'il est quelque fois trop bavard, le film ne souffre d'aucun défaut. En 2h00, Minnelli explore son milieu et livre aux novices spectateurs les gloires et misères d'un producteur sous l'ère hollywoodienne. La mise en scène est telle que l'aime le réalisateur fictif, personnage secondaire qui apparaît pour remettre Shields à sa place : sobre, "humble", elle ne fait que servir le film sans prendre la vedette. Le script de base, dense et brillant, offre une galerie de personnages sidérante. Heureux grâce à Jonathan Shields, puis desespérés à cause de lui, les trois protagonistes se retrouvent dans la même situation que les spectateurs, c'est-à-dire dans l'impossibilité de juger cet homme, charismatique et détestable, enviable ou pitoyable. Le titre original parle de Shields (Bad and Beautiful), le titre français évoque les trois autres personnages suspendus au téléphone lors du dénouement. Pour donner vie à ses personnages pleins d'humanité, de contradictions, Minnelli opte pour Kirk Douglas, Lana Turner, Walter Pidgeon et Dick Powell - bons choix, c'est le moins qu'on puisse dire. Douglas frôle l'oscar du meilleur rôle la même année pour ce rôle, pas étonnant. Il joue sans retenue et avec brio son personnage extraverti et sans scrupule.
    Plume231
    Plume231

    3 527 abonnés 4 639 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 31 juillet 2009
    Même si comparé à un chef d'oeuvre absolu sur le monde du cinéma comme «Boulevard du crepuscule», il fait pâle figure ce film mérite quand même d'être vu. «Les Ensorcelés» souffre peut être du fait que Vincente Minelli n'est pas un cinéaste réaliste. Sa vision de la pauvreté par exemple est très idyllique et la scène de l'accident de voiture est plus fantasmagorique que réaliste. Mais justement le point faible du film est peut être aussi son point fort car Vincente Minelli est avant tout un cinéaste visuel et il faut reconnaître que la scène précedemment citée est réalisé de telle façon qu'on est pas près de l'oublier. Je disais donc que au niveau visuel ce film est une très grande réussite. Le scénario qui s'inspire de la vie de David O'Selznick, de Val Newton ou encore qui évoque celle de John Barrymore en est une aussi car il est non seulement très cruel mais aussi très élégamment écrit. Et puis, le réalisateur montre aussi qu'il est un très brillant directeur d'acteurs comme le prouvent les interprétations de Dick Powell et de Kirk Douglas, tous deux remarquables, et surtout celle de Lana Turner prodigieuse. Un classique.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 6 février 2009
    Quel merveilleux film ! Des personnages denses, tour à tour attachants et détestables, un Kirk Douglas formidable d'ambiguïté et d'expression, une mise en scène originale et prenante. Tout y est pour s'immerger 2 heures durant dans l'univers de ce film intense qu'on voudrait faire durer bien plus longtemps.
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