Avis : Prisonniers du temps - Page 5

Le scénario est très bancal et discutable et le casting peu convaincant.

"Les prisonniers du temps" est un film qui laisse un peu rêveur pour tout les amoureux des temps médiévaux. Le retour dans le temps des héros dans cette période très sombre de notre histoire est propice a l'aventure. Les héros frileux sont catapulté dans un monde sale, violent et ignare. Bienvenue au Moyen-âge.

Fan du genre, même en sachant que c'est un film us dit " commercial" j'étais impatient de voir ce film, avec Richard Donner aux commandes ...... Raté!! A côté de la plaque. Il y avait tellement à faire sur ce sujet pour plusieurs heures de film ( une série? ). C'est décidé je lirai le livre de M Crichton ( qui doit être égal à lui même, lui ) et je reviendrai certainement pour une critique encore plus assassine !!!

Du moyen age à l'américaine sauce ketchup donc pour le coté historique, on repassera.
Aucune originalité, au bout de 15 mins du film, on connait déjà toute l'histoire et la fin qui va avec.
Ne prévoyez pas une soirée "ciné" pour ce film ... à voir un dimanche aprem pluvieux, quand on a rien d'autre à faire et qu'on tombe dessus par hasard en zappant sur une obscure chaine de la TNT ... et encore.

Adapté du best-seller de Michael Crichton.Alors qu'il effectue des fouilles archéologiques dans la vallée de la Dordogne, en France, le célèbre archéologue Edward Johnston teste sa nouvelle invention... et se retrouve projeté au 14ème siècle en plein coeur de la guerre de Cent ans qui oppose les Français et les Anglais. Ses jeunes assistants et son fils Chris sont les seuls à pouvoir le sauver.

De Richard Donner

Vu à l'époque, 2004, casting incroyable à l'époque, surprenant aujourd'hui, beaucoup de têtes à leur débuts, quant à l'histoire, je m'en vais m'en rappeler, mais visiblement je ne l'avais noté que 2,5/5...
Après les premières minutes, ça ressemble à TimeTrap de Netflix

Quelle déception : Crichton, Donner, la France en fond, un budget colossal ... pour un film de série B voire un téléfilm avec des moyens, rien de plus. Difficile d'accrocher quand on voit de façon énorme dès le début qui va mourir, qui va rester, qui va tomber amoureux, qui va payer etc. La bataille finale à grand renfort pyrotechnique ne prend pas aux tripes et dure, dure, dure .... J'ai presque regretté ma place, c'est dire pour une fan de voyages dans le temps !

Soit les standards de qualité ont baissé ces dernières années, soit les critiques de l'époque étaient particulièrement intransigeantes mais franchement j'ai beaucoup aimé ce film. C'est un excellent divertissement de SF/médiéval. Les décors sont excellents, les acteurs sont bons, on ne s'ennuie pas un seul instant, il y a de l'action et en prime, on a même droit à une belle bataille très bien réalisée.
C'est clair qu'on est pas sur du Ridley Scott qui se la pète mais on est sur un divertissement de qualité et je dirai même, une petite pépite. Regardez-le, vous allez voir, c'est sympa.

Une série B honnête sans plus ! Un très bon casting avec quelques stars en devenir mais qui ne sont pas aux meilleurs de leurs formes. Le budget est conséquent, cela se ressent mais on est jamais vraiment captivé par l histoire, souvent prévisible. De plus les allers retours vers le présent sont mal construit et cassent la dynamique du film.

Ce n'est pas facile d'être crédible quand dans votre film, il y a un "tunnel cosmique" ! A partir de là, c'est très difficile de raconter une histoire qui tient debout. Si le tunnel cosmique et quantique était une qualité, on le verrait plus souvent au cinéma ! Il est trop long d'expliquer pourquoi Citizen Kane, A Bout de Souffle et Playtime sont des chefs d'oeuvre mais en tout cas, vous pouvez être sûr que l'absence de tunnel cosmique a aidé les auteurs à aller dans le bon sens...
Donc à cause de ce tunnel cosmique, le nouveau film de Richard Donner devient comique. Bien malgé lui. Tout est poussif et prévisible. Armé d'un solide second degré, vous supporterez ce voyage dans le temps mais le rire finit par l'emporter, même s'il est nerveux. Allez, hop, au cachot !!

Un amour à travers le temps

Beaucoup de critiques négatives imméritées pour cette adaptation appréciable du roman de Michael Crichton par Richard Donner.

Signe que déjà en 2004, trop de critiques et de spectateurs ne savaient plus apprécier les films de cape et d'épée au goût d'antan.

Modeste dans son budget et sa production, l'intrigue ne manque pas d'intérêt, de rythme ou de passion, spoiler: avec les sauvages invasions anglaises de la France et une histoire d'amour gravée dans le temps en guise de conclusion
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3.8/5

Un voyage spatio-temporel bien fade qui aurait mieux fait de se perdre en route dans un trou noir plutôt que de se projeter sur nos écrans.
Encore un film qui ne pourra plaire qu'aux adolescents en mal de sensations fortes (dont le film est étonnamment dénué) et dont la vie est très ennuyeuse.

Aïe aïe aïe, j'ai tenu 20 minutes. A un tel niveau d'absence de mise en scène, ce n'est plus du cinéma !

Ola le scénario fumeux du voyage dans le temps! Encore ça passait avec les excellents retour vers le futur qui sont des comédies d'aventure familiales, mais là c'est simplement bidon et pas très crédible. Mais je mets une étoile pour une fois qu'on voit des gentils français botter le cul aux méchants anglais dans un film américain, on va pas s'en priver quand même!!!

Est-ce vraiment un film de Richard Donner, il est normal d'en douter. Le scénario est bâclé et invraisemblable même en faisant les efforts d'usage liés aux films fantastiques.
Le jeu des acteurs est digne d'Hélène et le garçon. Cela peut amuser 5 minutes mais sur la longueur d'un film...
Seules certaines des scènes d'action sauve un peu le film de la débâcle complète.
C'est dommage car l'idée de départ n'était pas des plus mauvaise.

Timeline est une très grosse tâche dans la filmographie de Richard Donner. En effet, le réalisateur de Superman se confond ici en bons sentiments, manichéisme total et des acteurs aussi forts que des aubergines le dimanche. Que c'est fade ! Paul Walker n'est incontestablement pas un bon acteur ; il est à la gente masculine ce qu'est Jessica Alba à la gente féminine, c'est-à-dire un "comédien" sexy, et... c'est tout. Sa relation amoureuse, dans le film, est aussi creusée que la tombe d'un poisson rouge : on ne voit pas pourquoi ils s'aiment, pourquoi ils sont amenés à s'aimer. Au niveau des personnages, comme le manichéisme du film est total, on trouve les gentils, et les méchants. Parlons des méchants ! Ces pseudo-antagonistes n'amènent rien dans l'histoire, la complication est minime, du coup, on assiste à quelque chose de plat, fade, révoltant. Et cela, surtout quand on leur donne une bonne leçon tout au long du film, genre "vous avez pas été gentils, on vous punie !". Ce genre de passage étant ridiculement écrit, on a affaire à une imitation des films de Uwe Boll quand ces américains moyens passent dans "la machine à voyager dans le temps". C'est ici que les comédiens sont le plus pitoyables, simulant la douleur avec autant de sincérité qu'un candidat à la présidentielle. Ce voyage temporel ne consiste qu'en une lumière blanche, un gros ventilo qui s'allume pour décoiffer Walker et un ralenti digne de Alerte à Malibu. Il est temps de se réveiller, et d'oublier ce genre de produit américain répugnant, puant Hollywood jusqu'à la pellicule même. Dieu merci, d'autres auteurs, de vrais artistes, se chargent de faire survivre le septième art.