Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
Un visiteur
1,0
Publiée le 29 septembre 2006
Attention navet intersidéral !!
Ce film est à voir si vous voulez mourir de rire devant les répliques : ex: "vraiment affreux" (à lire sans aucune intonation ) est la seule remarque du mec qui a en face de lui son meilleur ami déchiqueté sur la cuvette des chiottes et couvert de sang.C'est en plus mal joué et on n'y croit pas une seconde.
Des répliques complétement débiles, trop exagérement jouées.Ce pourrait être rigolo si c'était du second degré (comme dans Starship Troopers) mais non les acteurs croient dur comme fer à ce qu'ils disent. Même Morgan Freeman (bon dieu Morgan, c'était un film alimentaire, comment tu as pu tourner dans une merde pareille??) s'y colle: " Ces gens vont en Chevrolet dans des Wallmart. Ils ne ratent aucun épisodes de Friends.Ce sont des Américains...l'idée de massacrer des Américains ça te soulève l'estomac". Affligeant.
Ah oui attention scène culte : les 2 amis ont des pouvoirs télépatiques hérités d'un certain Doddy. L'un essaye de joindre l'autre et se sert d'un revolver comme d'un téléphone portable !!! Ledit revolver ayant appartenu à John Wayne :) (100% véridique).
Bon vous voilà prévenu, si vous voulez rigoler entre potes, foncez !! (aaah les sourcils blancs de Freeman mortel) .Par contre si vous voulez voir du bon fantastique passez votre chemin.
Euh ... je viens de finir le livre de Stephen KINg et l'histoire était tellement géniale (du pur King !!!) que je me suis précipité vers l'adaptation ciné !!! Eh ben je regrette vraiment car la version ciné ne vaut rien : l'intrigue parait fade et issue d'une série B, les acteurs ont un jeu minable, Morgan Freeman ???, ... Bref, rien ne vaut le livre, les émotions transmises par King sont inreproductibles au ciné, jamais vous ne tremblerez autant qu'en LISANT King !!!
Dreamcatcher soulève de grandes questions philosophiques, telles que l'acceptation de sa nature organique, la relation à l'étranger ou la superficialité d'une femme dans un scénario. Soutenu d'un bout à l'autre par un jeu d'acteurs tout en finesse -on notera notamment l'ambiguité, voire l'homosexualité sous jacente pour son second, du personnage de Morgan Freeman- ce film quitte la scène en beauté grâce à une scène de fin anthologique. Coup de chapeau pour les effets spéciaux qui savent rester au second plan pour mettre en valeur le duel de l'homme contre la machine, du bien contre le mal, de l'humanité contre la déshumanisation.