Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
L'Humanité
par Vincent Ostria
Douloureux. Le moins qu'on puisse dire c'est que c'est différent du premier volet, Pédale douce. Raison principale : le scénario, coécrit par Bertrand Blier, qui retrouve, par le truchement de Gabriel Aghion, sa verve acide d'antan.
MCinéma.com
par Marc Kressmann
Aghion a bien du mal à transcender l'univers de l'auteur des VALSEUSES, et s'embourbe dans ses figures obligées et une mise en scène tristounette. Attention, le film n'est pas catastrophique, il y a même quelques francs éclats de rire et des moments d'émotion inattendus. Mais Pédale Dure aurait sans doute gagné à être plus barré et à s'éloigner du formatage " film du dimanche soir ".
Première
La comédie n'est pas réussie, mais pas insignifiante pour autant. Il y a des longueurs, des largeurs et aussi de la profondeur.
La critique complète est disponible sur le site Première
Aden
par La rédaction
Dans ce triste naufrage, quelques lueurs : par moments, les dialogues dérapent brusquement vers un absurde inquiétant. On reconnaît alors le ton obsessionnel de Bertrand Blier, effectivement coscénariste. Mais ce piment n'a que peu d'effet. On a l'impression que le délire de quelques situations et répliques est aussitôt anesthésié par une mise en scène qui cherche à en désamorcer le côté rugueux.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Cahiers du Cinéma
par Philippe Mangeot
Tout au long de Pédale dure, on s'est dit qu'on avait déjà vu ça quelque part. (...) Ces pauvres gags servis en boucle à la manière de jingles (...) Ces dialogues (Bertrand Blier) où alternent blagues Carambar (...) et bons mots de comptoir (...) Cette affectation de subversion (...) Ces ritournelles réacs travesties en libre pensée (...) Finalement, on a trouvé: le modèle de Pédale dure passe tous les samedis soir sur France 2, et est animé par Thierry Ardisson.
Ciné Live
par Philippe Paumier
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
L'Express
par Christophe Carrière
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Pédale dure accumule un nombre de maux si considérable qu'il serait fastidieux de les énumérer. Reste, entre vulgarité, flottement et ineptie, un profond sentiment de perdition.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par La rédaction
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Inrockuptibles
par Alex Masson
Recyclage de clichés, casting hétéroclite : Aghion perd les pédales.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Gilles RENAULT
"Les gens pensent qu'on se marre tous les jours chez les pédés, mais c'est pas vrai" (Gérard Darmon)... "Là, tu fais vraiment caricature" (Dany Boon). Voici à peu près les uniques moments lucides de ce qui restera sans doute comme une des plus spectaculaires foirades de l'automne.
Studio Magazine
par Michel Rebichon
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
TéléCinéObs
par Bernard Achour
On ne rit jamais : c'est le lot de n'importe quelle comédie ratée.
Télérama
par Louis Guichard
Sur l'homoparentalité, et avec un Bertrand Blier digne des Côtelettes aux dialogues, cette non-suite mal titrée est la plus mauvaise pioche du réalisateur, toute en fausses bonnes idées - comme la grossesse mentale du père gay, d'une outrance rédhibitoire.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Zurban
par Yasmine Youssi
Il fau singulièrement mépriser son public pour pondre un scénario aussi vide (...). Le réalisateur se vautre dans la caricature la plus crasse. (...) Pathéthique
L'Humanité
Douloureux. Le moins qu'on puisse dire c'est que c'est différent du premier volet, Pédale douce. Raison principale : le scénario, coécrit par Bertrand Blier, qui retrouve, par le truchement de Gabriel Aghion, sa verve acide d'antan.
MCinéma.com
Aghion a bien du mal à transcender l'univers de l'auteur des VALSEUSES, et s'embourbe dans ses figures obligées et une mise en scène tristounette. Attention, le film n'est pas catastrophique, il y a même quelques francs éclats de rire et des moments d'émotion inattendus. Mais Pédale Dure aurait sans doute gagné à être plus barré et à s'éloigner du formatage " film du dimanche soir ".
Première
La comédie n'est pas réussie, mais pas insignifiante pour autant. Il y a des longueurs, des largeurs et aussi de la profondeur.
Aden
Dans ce triste naufrage, quelques lueurs : par moments, les dialogues dérapent brusquement vers un absurde inquiétant. On reconnaît alors le ton obsessionnel de Bertrand Blier, effectivement coscénariste. Mais ce piment n'a que peu d'effet. On a l'impression que le délire de quelques situations et répliques est aussitôt anesthésié par une mise en scène qui cherche à en désamorcer le côté rugueux.
Cahiers du Cinéma
Tout au long de Pédale dure, on s'est dit qu'on avait déjà vu ça quelque part. (...) Ces pauvres gags servis en boucle à la manière de jingles (...) Ces dialogues (Bertrand Blier) où alternent blagues Carambar (...) et bons mots de comptoir (...) Cette affectation de subversion (...) Ces ritournelles réacs travesties en libre pensée (...) Finalement, on a trouvé: le modèle de Pédale dure passe tous les samedis soir sur France 2, et est animé par Thierry Ardisson.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Monde
Pédale dure accumule un nombre de maux si considérable qu'il serait fastidieux de les énumérer. Reste, entre vulgarité, flottement et ineptie, un profond sentiment de perdition.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Les Inrockuptibles
Recyclage de clichés, casting hétéroclite : Aghion perd les pédales.
Libération
"Les gens pensent qu'on se marre tous les jours chez les pédés, mais c'est pas vrai" (Gérard Darmon)... "Là, tu fais vraiment caricature" (Dany Boon). Voici à peu près les uniques moments lucides de ce qui restera sans doute comme une des plus spectaculaires foirades de l'automne.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
On ne rit jamais : c'est le lot de n'importe quelle comédie ratée.
Télérama
Sur l'homoparentalité, et avec un Bertrand Blier digne des Côtelettes aux dialogues, cette non-suite mal titrée est la plus mauvaise pioche du réalisateur, toute en fausses bonnes idées - comme la grossesse mentale du père gay, d'une outrance rédhibitoire.
Zurban
Il fau singulièrement mépriser son public pour pondre un scénario aussi vide (...). Le réalisateur se vautre dans la caricature la plus crasse. (...) Pathéthique