Derniers Avis : Rocky II - Page 6

film très émouvant, triste et passionnant qui nous donne envie de regarder de la boxe et de nous attacher a rocky. Stalonne à la réalisation à montrer qu'il peux aussi être un excellent réalisateur. toujours cette musique culte !

Même la victoire a un goût amer pour un champion du monde de boxe. Hanté par l’humiliation qui a subit, Apollo Creed propose un match retour à l’ "Etalon Italien". Surfant sur le succès aussi bien critique que public de « Rocky », Sylvester Stallone rempile aussi bien devant mais également derrière la caméra dans cette suite directe. Digne de son prédécesseur, « Rocky II » tient parfaitement la distance, mais rien n’est aussi simple pour Rocky Balboa qui ne doit son retour sur le ring qu’à l’amour d’Adrian ainsi qu’au soutien entêté et inflexible de Mickey, respectivement interprété par la parfaite Talia Shire et le génial Burgess Meredith.

On va pas se voiler la face, ce deuxième volet de la mythique saga Rocky est juste un quasi copié-collé du premier. La seule différence majeure, c'est que notre cher boxeur parti, ou plutôt revenu, de loin ne prend plus sa revanche sur la vie mais juste sur son adversaire du précédent film donc le premier.

Cet aspect fait que cet opus touche moins le spectateur, bon le reste copié-collé n'aide pas non plus ça c'est sûr, mais heureusement que l'inévitable empathie qu'on ne peut que ressentir pour ce cher Rocky Balboa est toujours plus que jamais présente. Et puis, il y a le charisme incroyable de Stallone, des seconds rôles, les mêmes, toujours en grande forme, la BO cultissime de Bill Conti, même chose aussi mais ça continue tout de même à donner la pêche.

Et puis, il y a l'inévitable, et heureusement parce qu'on demanderait à se faire rembourser, (re)confrontation entre les deux adversaires où on est aussi excité que les spectateurs assistant au duel dans le stade, où on donne des coups de poing dans les airs un coup assis, un coup debout.

C'est ça la magie Rocky, on a deux fois quasi la même chose et pourtant on (re)marche quand même.

Sylverster Stallone réalisant cet opus, maîtrise son sujet : créer un héros avec ses qualités mais surtout ses défauts. Le réalisateur continue l'histoire et les thèmes du premier Rocky en allant plus loin. Plus loin dans la romance, plus loin dans le ridicule ( les scènes des pubs ), plus loin dans l'intensité des combats et de entrainement.
Rocky 2 reste un film intimiste,social, dramatique jusqu'au combat final. Non seulement un brillant film de boxe mais une grande histoire de revanche sur la vie.

Je l'ai déjà dit lors de ma précédente critique du premier volet de la franchise, Rocky est certainement un des personnages du cinéma que j'affectionne le plus au vu de sa dimension sociale et de son parcours. On retrouve donc nos personnages dans la dynamique du premier volet, on nous replonge quelques minutes dans le match pour nous montrer l'après. Les coups, la médecine, les séquelles et des personnages bien amoché par leur combat. Alors que Rocky a attendu ça toute sa vie, il se retire de la boxe. Assister à la vie de Rocky après ce match est vraiment intéressant. On se rend compte une fois de plus de ses limites, de ses extravagances et de sa déchéance. Rocky n'aspirait qu'à une chose, la belle vie. Mais ce n'est pas avec un seul combat que tout va changer. Adrian, femme de l'ombre, va pourtant se révéler plus pragmatique que son mari, consciente de l'aspect éphémère de la situation mais n'approuvant pour autant pas que Rocky mette à nouveau sa vie en danger. Et à côté, on rencontre Apollo, dans sa vie bien rangé, qui n'arrive pas à se faire à l'idée d'avoir gagné dans des circonstances peu accommodante. Cette suite est très réussi. On sent très bien l'affection que porte Stallone pour son personnage emblématique au travers du quel il expose ses propres difficultés. Même si le film peut avoir une certaine redondance avec le premier sur les grandes lignes, il nous fait pourtant rentrer davantage dans ce quartier de Chicago et dans sa problématique sociale. On s'attache de plus en plus aux personnages, même Paulie qui se montrait pourtant si détestable dans le premier volet. La réalisation est vraiment chouette, le scénario bien construit même sur le moindre petit détail. A voir et à revoir sans fin, pour moi Stallone réussi haut la main son pari et nous offre un très bon second volet pour cette franchise.

Dans la droite lignée de son aîné, cette suite nous montre un Rocky qui veut passer à autre chose et laisser la boxe derrière lui. L'émotion du premier film, l'originalité en moins.

Après une belle fin dans le premier Rocky ou celui ci avait perdu son combat mais avait tenu son pari de tenir jusqu'au bout on se demandait tous" Que va devenir Rocky". La suite nous donne la réponse. RIEN. Il redevient l'anonyme, le paumé qu'il était. Dans ce deuxième opus moins dramatique que le premier et un peu plus drôle on retrouve un Rocky touchant, drôle, un peu lourd dans ses blagues dont on rigole tout de même. Mais on retrouve un Rocky heureux de ne plus vivre seul, d'être marié et surtout d'attendre un heureux événement. Mais Rocky a une famille à présent et il doit la nourrir et après avoir mis fin à sa carrière de boxeur à l'issue de son seul combat effectué en professionnel il doit trouver un travail. Mais Rocky est un boxeur et il a ça dans le sang. De l'autre côté malgré sa victoire on retrouve un Apollo Creed frustré de n'avoir gagné que de justesse et accusé par beaucoup de ses fans d'être un tricheur. De la tout est réuni pour une revanche mais Adrienne ne veut pas et Mickey non plus. L'erreur de Creed se situe dans son excès de confiance et après maints provocations à l'égard de Rocky il va réussir à lui faire reprendre les gants. Reprenant les codes du premier Rocky tout en évitant de faire la même chose ce deuxième opus est une réussite. Certes le scénario reste basique mais cependant efficace et l'on retrouve aisément ce qu'on avait aimé dans le premier. Le combat final est beaucoup mieux réussi que dans le premier volet où l'on voit un Creed cette fois ci déterminé à écraser Rocky et où l'on voit celui-ci combattre avec sa rage habituelle et son coeur. Le dernier round quoique surréaliste reste cependant un moment énorme d'intensité et personnellement est la meilleur fin de combat de toute la série Rocky avec un suspense et une émotion qui vous arrachent les tripes.

Le 2e opus est aussi bon que le premier , après avoir fait trembler le champion Appollo Creed , Rocky a le droit de l'affrontrer une deuxième fois. Il doit se préparer , se remettre en forme et entamer une nouvelle ascension du mythe de Sysiphe. De beaux combats, encore mieux filmés, et un beau dénouement final.

On prend les mêmes et on recommence. Voilà une phrase qui résume bien "Rocky II". Si ce n'est l'absence de John G. Avildsen derrière la caméra (Stallone reprenant les rênes de la réalisation après avoir acquis de l'expérience sur son premier long-métrage), cette suite ressemble à des retrouvailles et ça fait plaisir. Commençant tout juste au moment où le premier opus finissait, "Rocky II" continue de s'attacher à Rocky et à ses difficultés alors qu'il veut arrêter la boxe et que personne ne peut lui proposer un bon travail. Au-delà de la success-story qu'il y a à l'issue du match final contre Apollo Creed (car Rocky remonte sur le ring, forcément), Stallone, toujours scénariste du film, nous raconte tout un contexte social assez déprimant, montrant une société dans laquelle son héros n'a pas sa place. Alors il fait ce qu'il sait faire et boxe. Si le schéma narratif est essentiellement repris sur "Rocky" premier du nom, cette suite approfondit la relation entre les personnages et ajoute beaucoup plus d'enjeux à l'ensemble avec un mariage et un enfant pour Rocky et Adrian. On se retrouve rapidement pris à l'histoire, émus par la qualité de l'interprétation et de la réalisation bénéficiant d'un plus grand budget qui se ressent dans le combat final. Rien de bien neuf ici, simplement un prolongement du premier film avec ce qu'il faut de profondeur psychologique pour encore mieux accrocher aux personnages, ces gens simples dont Stallone parle avec bienveillance.

Stallone s'improvise Orson Welles dans cette suite du phénomène que fut "Rocky" premier du nom que l'acteur, nom content d'avoir signé le scénario et de tenir le rôle principal, décide aussi de réaliser, rien que ça. Premières impressions; cette suite parait clairement greffée par-dessus le premier vu que son postulat de départ est carrément incohérent avec la fin du précédent, d'ailleurs Stallone en est conscient puisque la question est soulevée par Rocky lui-même. Ca n'excuse rien mais bon passé ce détail, que vaut cette suite ? Eh bah Stallone nous prouve qu'il a plus d'une corde à son arc (et plus j'enchaîne ses vieux films, plus ça me dégoute d'entendre ce que les gens ont choisi d'en retenir) parce que "Rocky II" est tout aussi bon que son prédesseceur. Je dirais même que je le trouve un chouïa meilleur. Peut-être est-ce parce que par opposition avec Apollo Rocky apparaît encore plus comme un bon gars bien que le film montre bien à quel point les deux rivaux se complètent. Ou peut-être est pour la scène culte de chez culte du running que j'attendais dans le premiers mais qui n'arrive finalement que dans cette suite, et qui me laisse toujours le même sourire ahuri. "Rocky II" est une aussi belle leçon d'humanité et d'humilité que l'était le premier, qui culmine dans la même logique que son aîné sur un affrontement d'anthologie, puissant et fort de symbolique, qui réussit parfaitement à capter ce qui fait de la boxe un sport si cinégénique: au-delà d'une leçon de boxe, c'est une bien belle leçon de vie.

On va pas se voiler la face, ce deuxième volet de la mythique saga "Rocky" est juste un quasi copié-collé du premier. La seule différence majeure, c'est que notre cher boxeur parti, ou plutôt revenu, de loin ne prend plus sa revanche sur la vie mais juste sur son adversaire du précédent film donc le premier.
Cet aspect fait que cet opus touche moins le spectateur, bon le reste copié-collé n'aide pas non plus ça c'est sûr, mais heureusement que l'inévitable empathie qu'on ne peut que ressentir pour ce cher Rocky Balboa est toujours plus que jamais présente. Et puis, il y a le charisme incroyable de Stallone, des seconds rôles, les mêmes, toujours en grande forme, la BO cultissime de Bill Conti, même chose aussi mais ça continue tout de même à donner la pêche.
Et puis, il y a l'inévitable, et heureusement parce qu'on demanderait à se faire rembourser, (re)confrontation entre les deux adversaires où on est aussi excité que les spectateurs assistant au duel dans le stade, où on donne des coups de poing dans les airs un coup assis, un coup debout.
C'est ça la magie "Rocky", on a deux fois quasi la même chose et pourtant on (re)marche quand même.

Ce n'est un secret pour personne, "Creed", dernier volet en date des aventures du pauvre Rocky Balboa, est récemment sorti. Dans le but de pleinement le comprendre une fois que je l'aurai vu, j'ai pris pour principale résolution du mois de me faire l'entière saga des "Rocky". Cela me permettra, également, de comprendre pourquoi l'on est si souvent acides avec la franchise. Pour commencer, je dois bien dire que je ne savais pas à quoi m'attendre en visionnant cette "Revanche"; serait-ce bon, ou terriblement mauvais? En me rappelant comme était le second "Rambo", j'espérais sérieusement que ce second "Rocky" soit du même niveau que le premier. Mais "Rambo" est décidément bien supérieur à "Rocky", c'est une certitude; ne vous inquiétez pas, je vais vous expliquer pourquoi. Pour bien commencer, parlons des points positifs. Stallone fait tout pour que son oeuvre soit bonne; le type se démène, et son effort est tant appréciable dans le jeu d'acteur, que dans l'écriture ou la mise en scène. C'est qu'il y croit, le mec, à son personnage, à cet homme qu'il a créé de toute pièce. Le rapprochement entre les deux se fait rapidement, et l'impact de l'oeuvre sur notre personne s'avère décuplé par son réalisme. De plus, Sly sait l'interpréter, son pauvre gars; il lui offre une force teintée de sensibilité, une faiblesse faîte de superbe. Car dans le fond, Rocky n'est pas encore devenu l'homme décérébré que Rambo est depuis le troisième film; espérons seulement que les choses ne changent pas dans le prochain volet de la saga. Balboa est clairement quelqu'un d'humain, de sensible, d'attachant; c'est, comme je l'ai déja écris, un pauvre type, un gars du peuple, quelqu'un de peu cultivé qui veut s'élever de sa condition humaine, et ce malgré cet handicap qui est sien. On ne pourra que s'identifier à lui, ou ressentir ne serait-ce qu'un peu d'ampathie à son égard, si ce n'est une profonde sympathie pour cet homme simple et simplet. Car il y a quelque chose de véritablement touchant dans sa manière d'être; l'homme est tellement sincère, tellement naïf qu'il existe quelque chose d'unique chez lui, un trait de caractère que je n'ai jamais retruvé jusque là; Balboa est comme un gosse, comme un nouveau né. Il ne se doute pas de la noirceur qui l'entoure, et pense que tout le monde est aussi sincère que lui. A l'évidence, personne ne l'est, pas même Adrianne. Cette faiblesse de caractère, que dis-je, cette force offerte par la sensibilité se voit notamment dans les très vrais, très crus, bourrus. Ils montrent bien la personnalité de chacun des personnages ( dont, à l'évidence, Rocky ), et font preuve d'un sacré désir de rendre le film bon. Mais voilà, toute la volonté du monde ne suffit pas à faire quelque chose de sinon bon, surtout potable. A n'en pas douter, tout le monde pourrait sortir son chef-d'oeuvre, si c'était le cas. Cela, Sly en a fait les frais; douloureusement, je le reconnais. Aussi bonne soit-elle, il faut reconnaître à l'écriture un détail vraiment gênant : elle est complètement calquée sur celle du premier film, au point de n'en n'être, finalement, plus qu'un ersatz, une pale copie, une mise à jour en fonction des moyens du film. La manière de procéder de Stallone n'est à mon goût pas la bonne; faire une sorte de remake non avoué, c'est pas vraiment le top, quand on veut faire une suite à la hauteur du premier. Dans le fond, c'est vraiment dommage; je m'attendais clairement à mieux. Parce qu'en fait, quand on y réfléchit plus en avant, le scénario n'a d'original ( son seul plus, en gros ) que la démesure qu'il adopte; au lieu de voir une séquence d'entraînement où Rocky courerait seul dans les rues de son quartier, une cinquantaine d'enfants le suivent de loin. Certes, la symbolique est très belle; c'est d'ailleurs très agréable de le voir à l'écran, mais l'évènement est tellement absurde et impensable que c'en devient ridicule. Mais voilà, c'est logique, quand on y réfléchit : c'est une revanche, et en tant que tel, il faut que ce soit toujours plus, que le film soit toujoursp lus spectaculaire, recherché, démesuré. D'une certaine manière, c'est exactement ce qu'a fait Stallone avec ce film, mais sans aucun sens de la mesure. Ainsi, une foule de scènes ( en plus de celle de l'entrainement ) seront reprises, avec un aspect très kitsch, presque nanardesque ( voir le ralenti en fin du dernier combat pour comprendre mon point de vue ); parce qu'il faut bien le dire, la mise en scène de Sly, avec ses arrêts sur image et ses effets de dingue, a terriblement vieilli, rendant l'oeuvre moins agréable que l'original, bien que plaisante.Que faut-il donc penser de cette suite? Ce que vous voulez. La seule chose que je peux vous dire, c'est que j'ai moyennement apprécié; ce n'est pas assez médiocre pour que je lui assène une note médiocre, mais ce n'est pas non plus assez bon pour que je lui donne une bonne note. On lui reprochera notamment son classicisme trop important, car calqué sur le premier film. Un bon métrage, néanmoins.

Bien, mais il reprend trop les codes du premier. Stallone ne renouvelle pas assez cette suite. Cependant, il reste relativement bon.

Aussi bon que le premier. L'histoire est toujours bien racontée, les acteurs toujours aussi excellents et le combat final très beau à voir.

Cette suite n'est qu'un pâle copier coller de premier épisode en moins prenant, encore moins subtile, et surtout moins percutant. Niais et raté, cette suite ne vaut que pour le combat final toujours aussi intense.

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