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    Atomic cyborg
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    1,7
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    14 critiques spectateurs

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    landofshit0
    landofshit0

    248 abonnés 1 745 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 21 février 2011
    Une série b qui lorgne largement sur terminator,seulement le budget et l'inventivité ne sont pas la.Quand au scenario et au montage ils sont truffé de raccourcis qui rendent le tout encore plus débile que ça ne l'ai.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 2 octobre 2013
    Très bon film d'action de série B. Il y a quand même quelques côtés nanars, mais globalement l'histoire suit bien son cour et reste rythmée! Sans oublié cette une superbe B.O !
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    6 167 abonnés 7 228 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 2 janvier 2021
    Énième nanar italien comme ils savaient si bien le faire dans les années 80 (on ne compte plus les films post-apo qui plagient les grands succès US). Sergio Martino (2019 après la chute de New York - 1983 ou encore Les zizis baladeurs - 1980) ne déroge pas à la règle et pompe allègrement divers films américains, tels que Blade Runner (1982) ou encore Terminator (1984), comme en atteste le titre sous lequel le film a été exploité dans certains pays asiatique : "Return to the Terminator".

    Le scénario s’avère bien mince, en dehors des quelques références plagiées ici ou là. Il ne faudra pas chercher la moindre once d’originalité au cœur de cette Série B où il est question d’un riche magnat industriel qui ordonne la mort d’un savant pacifiste (à tendance écologiste). Le cyborg (ex-soldat) qui devait s’atteler à la tâche ne fait que blesser la cible au lieu de la tuer. Résultat, c’est le commanditaire qui ordonne la mort du cyborg pour se venger. Et pour avoir un peu de consistance au cœur de ces 90min, on rajoute une amourette chez les rednecks et quelques concours de bras de fer, histoire de savoir qui a les plus grosses burnes parmi tous les mecs virils qui se la racontent (d’où parfois, cette légère impression d’avoir affaire à une version Sci-Fi de Over the Top (1987) avec Stallone, bien que le film soit sorti l’année d’après).

    Bref, une mise en scène suffisamment soutenue pour que l’on ne voit pas le temps passer, des personnages très stéréotypés, de l’action en veux-tu en voilà et une musique (trop) redondante, voilà ce qui vous attend avec "L'enfonceur" (dixit la jaquette québécoise).

    ► http://bit.ly/CinephileNostalGeek ★ http://twitter.com/B_Renger ◄
    Redzing
    Redzing

    918 abonnés 4 294 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 5 février 2024
    Que de titres ! "Atomic Cyborg" en France. "Vendetta dal Futuro" en Italie. "Hands of Steel" chez les anglophones. Certains pays d'Asie ne sont pas embêtés, l'appelant carrément "The Return of the Terminator" (!). J'avoue que je préfère le titre québecois à peine provocateur : "L'Enfonceur" !
    Pourtant on n'est pas dans un film X, mais bien dans un film d'exploitation italien des années 80. A l'époque, nos amis transalpins étaient largués, et se retrouvaient souvent à copier du cinéma post-apocalyptique à succès (ben oui, ça coûte pas cher !).
    "Vendetta dal Futuro" est un peu un cas à part. Certains le rangeront dans cette catégorie, l'accusant de plagier "The Terminator". Il est évident que le concept du cyborg indestructible est repris du film de James Cameron. Sergio Martino a par ailleurs copié sans scrupules quelques plans de "The Terminator" (la réparation du bras, le coup à travers le pare-brise...).
    Mais en fait le film part dans une direction assez différente. Paco est un ancien soldat, reconverti en cyborg tueur. Alors qu'il échoue à exécuter sa cible, il devient traqué par ses employeurs. En fait le scénario ressemble plutôt à celui de "Universal Soldier"... qui sortira 8 ans plus tard ! Roland Emmerich aurait-il pompé les pompeurs ? Sans compter cette histoire de concours de bras de fer (!) qui meuble étrangement une bonne partie du récit.
    L'autre raison pour laquelle le film diffère des nombreux films fauchés italiens de l'époque, c'est que l'on y trouve tout de même quelques moyens. Le tournage s'est déroulé en Arizona, l'occasion d'offrir de jolis paysages naturels (et d'économiser sur les décors futuristes ?). Et les scènes d'action, sans être très originales, sont à peu près décentes.
    Pour le reste, on est évidemment dans une série B de l'époque, avec les travers qui vont avec. Des personnages peu intéressants et assez mal joués. Entre les flics (très) peu perspicaces, et notre héros incarné par l'impassible Daniel Greene. Je comprends qu'il a voulu singer Schwarzenegger en T-800... sauf que dans "The Terminator", ça fonctionne car Schwarzy est l'antagoniste, la figure mortelle et implacable. Le tandem humain constituant le coeur émotionnel du récit. Ici, que nenni, notre cyborg est bien au centre l'histoire !
    Les dialogues et le scénario ne volent pas haut. La BO de Claudio Simonetti est juste correcte. Et la fin est pour le moins abrupte...
    Je note quand même une jolie affiche, qui sera plagiée régulièrement par des productions à base de cyborg. Ainsi que quelques têtes sympatoche. L'impayable George Eastman en camionneur beauf. Et Claudio Cassinelli en homme de main inquiétant. Il faut savoir que l'acteur est malheureusement décédé sur le tournage, dans un accident d'hélicoptère. Ce qui explique pourquoi son personnage est expédié comme un malpropre dans le dernier acte...
    MaCultureGeek
    MaCultureGeek

    1 032 abonnés 1 224 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 7 avril 2019
    Atomic Cyborg est un film adorable dont le twist, bâclé comme pas deux, est tristement détruit par son propre titre. Parce qu'il se contruit, une heure et demi durant, sur la surprise et le mystère engendrés par notre personnage principal, un certain Paco au charisme d'huitre, qui ne trouve d'égal à son manque de talent que l'absence totale d'expression sur son visage. Il paraît si peu humain, à ce point artificiel qu'on aurait pu se questionner sur l'origine de cet homme surpuissant si l'on n'avait pas su que le film portait sur un cyborg.

    Et ce que l'on sait dès son introduction gâche au final cette enquête censée révéler aux personnages en même temps qu'aux spectateurs la nature véritable du protagoniste de ce sacré nanar des années 80. Encore plus décevant qu'on comprend, aux vues du titre, comment il parvient à blesser le vieil homme en début de film, le montage tentant, avec une laideur phénoménale, de cacher l'arme utilisée, et qui serait un spoil pour la révélation finale.

    Dommage que le titre gâche tout cela, au point de même trahir le scénario de l'oeuvre. Parce que s'il empêche le film de mener son enquête puis de nous surprendre (le mot est peut-être exagéré), il nous conduit surtout vers une conclusion étrangement bien foutue, où l'on apprend la véritable nature de cet homme robotisé, qu'on pensait pourtant connaître depuis le début. Reste au moins cette légère surprise qui reste le sourire, pas trop mal montrée par un ultime plan plutôt bien composé.

    Ainsi, le travail du cadrage surprend : aussi moche qu'il puisse être, il parvient, au moment de filmer l'extérieur et les grandes étendues désertiques, de nous pondre des plans certes très classiques, mais pourtant bien composés, assez grandioses, et foncièrement esthétiques. On se surprend même à le trouver, l'espace d'un instant, plutôt joli, avant de repartir vers des zooms/dézooms et des cadrages en gros plans immondes, preuve ultime qu'on tient là un nanar de compétition.

    L'histoire, et ce plan plagiat de Terminator (le fameux passage dans le motel à se rafistoler le bras, repris par je ne sais combien de sous-Terminator italiens), confirment cette impression de regarder une pépite supplémentaire du cinéma bis, tout autant que ses fantastiques méchants divinement doublés en vf, et de ce scénario étiré jusqu'à la mort pour amener une histoire d'amour inter-espèce (une blonde et notre drôle de cyborg), quand il ne désire pas représenter l'égérie du cinéma d'action viril des années 80, à grand coup de remake hasardeux (et huileux) de l'Over the top déjà grand guignolesque de Stallone.

    Mais entre deux conneries et quatre répliques forcées, entre ces moments de séduction proches d'un film de cul qui passerait sur What The Cut et l'idiotie chronique du comportement de ses méchants (qui s'entretuent plus que ce que notre Cyborg peut les abattre), ressort d'Atomic Cyborg est certaine vision d'auteur. Parce qu'en omettant le côté couillu et profondément pessimiste de sa conclusion, les premiers plans, maladroits mais réfléchis, nous posent, dès le départ, un cadre dystopique d'une société prétendument futuriste.

    Outre le fait qu'on représente une crise géopolitique en trente secondes et qu'on la vire en autant de temps qu'elle aura été amenée, et que les dissidents du régime en place sont reconnaissables à la laideur du pyjama qu'ils portent, le générique, intérêt avant le drame, fait un parallèle banal mais efficace entre le pouvoir de conquête des industries et le désespoir de la déchéance d'une population rejetée jusqu'à la rue, qui passe son temps à mendier ou mourir de faim.

    Un éclair de réflexion dans un film profondément bourrin mais jouissif et généreux dans sa connerie, qui se persuade, au travers de ses multiples influences (1984, l'évident Terminator, Over The Rop, Mad Max) et de son héros physiquement proche d'un mélange entre Schwarzenegger et Mel Gibson, d'être un bon film indépendant, engagé, original. Il n'est évidemment rien de tout cela, et devient, contre sa volonté, tellement plus. Atomic Cyborg, à défaut d'être l'égérie de ce qu'il aimerait représenter, permet aux nanars de genre d'atteindre un paroxysme de stupidité, de sincérité, de rires et de grand n'importe quoi.

    Une page de cinéma.
    Santu2b
    Santu2b

    214 abonnés 1 785 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 19 juin 2015
    Sergio Martino est un cinéaste bien connu dans la sphère des nanars pour en avoir réalisé un certain nombre parfois gratinés dans les années 1970 et 1980. Sous le pseudonyme de Martin Dolman, il réalise en 1986 "Atomic Cyborg", témoignage d'un cinéma italien globalement déclinant, dont l'une des franges ne consiste qu'à recycler les grandes sauces américaines. Ici, cette histoire de cyborg programmé pour tuer surfe sur les vagues de "Terminator" sorti deux ans plus tôt. Certaines scènes paraissent même ressorties du film de Cameron, comme quand notre héros joue à faire bouger ses doigts en tripotant son bras de fer. Pourtant, même si cet habillage électro a bien vieilli et qu'on a l'impression de passer un après-midi sur le service public, "Atomic Cyborg" s'avère un bon divertissement, qui comble du comble, se laisse parfois prendre. Visuellement, il reste assez honorable et ne donne à aucun moment l'impression d'un quelconque bricolage. Bien sûr, il convient de faire l'impasse sur l'interprétation en mode monolithe ainsi que certains dialogues hallucinants. On ne peut pas tout avoir.
    Hammerstorm
    Hammerstorm

    62 abonnés 600 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 janvier 2017
    Pour noter ce film correctement, il faut prendre en compte le fait que c'est un nanar. Il faut donc le noter en tant que tel. Alors est-ce un bon ou un mauvais nanar ?

    Tout d'abord, ce film c'est le Terminator du pauvre. Le héros est un cyborg programmé pour assassiner sa cible mais au dernier moment, il se dégonfle et laisse vivre sa cible. Le film se veut futuriste (mais sans le budget nécessaire bien entendu) donc pour donner un aspect futuriste, on a collé des tuyaux absolument PARTOUT ! Que ca soit sur les voitures, dans le bar, dans les hotels, etc... on a du gros tuyaux partout. Ensuite les acteurs sont formidables. Daniel Greene (Il s'appelle Paco, oui c'est moins classe que le T-800) est ultra monolithique, c'est du Steven Seagal avant l'heure et ses quelques répliques sont super clichées et bien sûr, très risibles. Les autres acteurs sont tout aussi clichés et surjouent très bien.
    En dehors de ces performances dignes d'une cérémonie des Oscars, les scènes d'actions sont énormes !
    On a du bras de fer à la Over The Top, on a des claques dans la tronche, on a du muscles et de la sueur, on a de la course poursuite, des explosions, des fusils à pompe lance roquette, un fusil laser et de l'arrachage de coeur à main nue ! Le tout sur une musique des années 80 absolument géniale.

    Alors oui ce n'est pas le meilleur des nanars, il y a bien mieux dans le genre comme par exemple Deadly Prey, mais il faut dire que j'ai passé un bon moment devant ce film et que je le reverrai avec plaisir. C'est du bon nanar comme on en fait plus.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 16 décembre 2013
    Un cyborg qui répare lui-même ses mécanismes, mis à nus sous sa chair synthétique, ça ne vous rappelle rien ? La comparaison avec "Terminator" s'arrête là, notre cyborg (atomique nous précise-t-on au préalable, ce que l'on oubliera très vite) tenant plutôt de "L'homme qui valait trois milliards". Scénariste et réalisateur de ce film, Martin Dolman (en fait Sergio Martino dont on comprend qu'il est préféré user d'un pseudo) tisse différentes trames autour de ce personnage. Une enquête policière, celui-ci étant recherché par les autorités, ses rapports amoureux avec la tenancière d'un hôtel de passe et sa confrontation directe avec un ennemi personnel. Mais le manque de rythme de l'ensemble ne permet aucun élan et chacune de ces trames s'essouffle très vite. Et, à l'image de l'acteur principal, inexpressif au possible et campant un cyborg qui a beaucoup plus le sens de la virilité que de l'humour, j'ai fini par m'ennuyer ferme.
    rogerwaters
    rogerwaters

    126 abonnés 1 089 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 10 juillet 2015
    Sur le déclin depuis quelques temps, l’industrie cinématographique italienne ne produit plus que des ersatz des succès commerciaux américains, le tout vendu par une affiche aguicheuse. Le vétéran Sergio Martino, plutôt efficace d’ordinaire, se retrouve à tourner un curieux mélange de Terminator, Blade Runner et Duel, les moyens en moins. Le résultat, certes calamiteux et foncièrement bis, n’est finalement pas si catastrophique grâce au savoir-faire d’un réalisateur soucieux de livrer un spectacle généreux en action. Si le script est évidemment aux abonnés absents, on remarquera une capacité à transcender certaines limites en jouant sur un rythme assez endiablé, notamment dans la dernière demi-heure, très efficace. Encore une fois, il ne faut pas s’attendre à des merveilles, mais dans le domaine du bis assumé, Sergio Martino livre un produit vaillant. Et puis, on a aussi le droit à quelques beaux éclats de rire lors de l’attaque de la blonde athlétique censée copier celle de Darryl Hannah dans Blade Runner. Le tout est donc parfaitement regardable dans le domaine du nanar.
    Mad R.
    Mad R.

    1 abonné 22 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 1 février 2018
    Quel nanar ! C'étais nul ! Même pas drôle comme pourrait l'être certain nanar ! Le film est vraiment naze et est un gros somnifère !
    Jean Ingalls
    Jean Ingalls

    64 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 3 septembre 2023
    Voici une pure série B plus orientée vers le nanard qui fait foutrement du bien, tout est décomplexé pour le bonheur du spectateur, ce film procure le même plaisir coupable que le mythique Commando avec Schwarzy, l'étendard du nanard jouissif.
    La réalisation de ce petit bijou, d'ailleurs introuvable en DVD et en VHS, est confié à Sergio Martino, qui, courageux, signa son métrage sous son pseudo Martin Dolman.
    Daniel Greene star des 80's tient là le rôle de sa vie, en même temps il n'a pas fait de meilleurs films car il n'a été cantonné qu'à de pathétiques bisseries du genre. Janet Agren (Frayeurs) est également de la partie.
    Atomic Cyborg est un ersatz réussi et bien bourrin de Terminator. Même la scène de l'avant bras charcuté y est.
    Ce film est un plaisir à découvrir ou redécouvrir pour les nostalgiques de ces productions italiennes des années 80 qui ont contribué à un nombre incalculable de ersatz de grands films Américains à succès tels que Terminator, Robocop, Jaws, Conan le Barbare...
    R1979T
    R1979T

    26 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 17 août 2019
    Avec un tel scénario, le mieux qu'on puisse espérer de ce navet est de pouvoir rire de sa débilité ! Problème : ça n'arrive jamais... la nullité de ce film ne fera qu'ennuyer son spectateur !
    djgreg1
    djgreg1

    1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 5 août 2019
    Un film qui a bercé mon enfance de vidéoclubs et qui devrait être beaucoup plus connu et reconnu du public .
    Jim L.
    Jim L.

    3 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 14 décembre 2017
    Un nanar premium (avec un budget serré par contre) qui se laisse facilement regarder et plutôt plaisant à voir (avec une bonne musique des 80's), le côté paysages du film a été soigné avec de longues séances tournées en extérieur dans le désert de l'Arizona. On a Daniel Greene (Paco) le héros-cyborg monolithique-granitique, Janet Agren (Linda) la gérante de motel aventurière qui aide (et aime) Paco, les fusils lance-roquettes et le laser pour le côté futuriste, un George Eastman (Raul) qui (sur)joue la grande gueule sournoise, et John Saxon en industriel sans scrupule...et encore d'autres choses et personnages à découvrir dans le film.
    J'ai eu la chance de visionner le film en version HD restaurée (version Bluray britannique par 88 Films). Je ne peux toutefois pas commenter la qualité du doublage en français, ayant vu la version originale en anglais.
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