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Un visiteur
0,5
Publiée le 27 août 2011
Mozinor a fait mieux en moins de 10 minutes, pour moi Solaris c'est le film le plus nul de l'histoire, totalement long et ennuyant, on m'a volé une partie de ma vie.
L'amour à mort est manifestement l'obsession de Cameron. En fait, si vous n'avez jamais ressenti dans les tripes l'amour qui vous donne envie de mourir pour l'autre, inutile d'aller voir ce film. C'est son seul sujet, et c'est traité sur le mode ... compliqué à suivre ! C'est plus que long, il n'y a absolument aucune action, quatre effets spéciaux au maximum, super divertissement non ? D'un autre côté, une photo plutôt belle, une musique répétitive et prenante, une planète fractale originale, des décors SF à la Blade Runner, c'est à dire non futuriste, bref que des qualités pour un sujet bien trop austère. Voir aussi ma critique de la version originale plus touffue et intéressante, celle de Tarkovsky.
Plein de belles images, on dirait des photos, plein de séquences cultes, que de toute façon Mozinor à repris dans Cache-cache à Solaris, alors pourquoi perdre son temps avec ce film qui fait paraître les minutes comme des heures...
Malgré une idée de départ plutôt belle et bien exploitée (l'homme qui revoit sa femme disparue, la seconde chance, ...), le tout est beaucoup trop lent. Les scènes s'étirent, les dialogues ne sont pas assez intéressants pour nous tenir éveillés, et on sort très peu de notre torpeur. Reste les effets spéciaux à propos de la Solaris qui sont très beaux, et Natascha McElhone, toujours charismatique, dont le personnage a un peu d'intérêt.
Ce qui est fort dans cet énorme naveton, c'estde voir Georges tenir debout dans une station spatiale en apesanteur. Ca surprend 1mn et 21sec. Après, si vous ne décrochez pas pour aller vous coucher, c'est que vous vous êtes endormi. Le truc de Tarkowski est chiant lui aussi mais on accroche un peu (beaucoup) quand même. Le roman reste quant à lui ensorcelant. Comme quoi certaines littératures ne sont guère adaptables au cinéma et Reverso Reversi.
Bon comment dire sans etre trop méchant ,Solaris est en quelque sorte la version d'Alien (cameron est ici producteur) pour psy ,y a un vaisseau avec des morts inexpliqués et a la fin une nana le quitte dans une capsule mais la comparaison s’arrête la tellement c'est lent mais lent a mourir (pourtant ca dure que 1h30mn!!) et tout ce passe dans la tete de Clooney qui hallucine du début a la fin et nous avec.Non serieusement si y a un message derrière tout ce foutoir mental bah j'ai rien compris et franchement je defie quiconque de m'expliquer le pourquoi du comment de ce film vraiment pas indispensable meme pour les fans du beau Georges.Une chose de sur j'ai pas envie de voir la version de Tarkosky de 1972 qui fait presque 3 heures non merci et pour finir je trouve que l'affiche résume bien l'histoire : l'homme n'est pas prêt pour certains voyages et je rajouterais , pour certains films non plus !!!!
Je ne suis pas allé jusqu'au bout de ce film. C'est chose rare chez moi. C'est un film chiant qui se donne des airs de Kubrick (à la façon de "2001, l'odyssée de l'espace" )...A éviter.
L'un des films les plus ennuyeux de tous les temps! Manque de rythme, d'histoire, d'intrigues, de personnages, de moment de grâce dont Soderbergh sait si bien nous faire vibrer n'existe qu'a de fabuleux effets spéciaux qui constitue le principal interet de ce film surfait!
Un film déroutant le public et sortant du conventionnel. S.Soderbergh produit par james cameron s'attaque à du Tarkovski. Attention, film purement non commercial. Je me suis ennuyé à cause de la lenteur du film mais j'ai accroché grâce à la métaphysique. L'image est magnifique, on est désorienté par l'illusion. Georges Clooney et Natalya Bomdarchuk s'imposent dans un film complexe et subtil qui prend à contre pied le cinéma américain. Un vrai ovni cinématographique avec une aura incroyable. Chef d'oeuvre non, car Kubrick et Tarkovski ont fait mieux dans ce style. A découvrir pour une approche très différente et passionnante de la science fiction. PS: ceux qui aiment la grosse production stéréotypée au maximum sans âme dénué de subtilité passez votre chemin direction le rayon des navets commerciaux.
Il y a mou et il y a Solaris. Mou c'est presque actif, on sent qu'il y a un mouvement perceptible mais lent d'un corps dans l'espace... Solaris non. Pour résumer le film il s'agit d'un type dont la femme est ZZZZZZZzzzzzzzzzzzzz ....
Trente ans après Tarkovski, Steven Soderbergh tente lui aussi une adaptation de la célèbre nouvelle de Stanislas Lem. Ce Solaris oscille sans cesse entre l'onirisme et la mièvrerie, bien que le rêve l'emporte finalement de justesse. On parvient à fermer les yeux sur les flashbacks gnangnans et à vivre le déchirement du Docteur Kelvin partagé entre le deuil et la tentation de céder à une illusion de la deuxième chance, bien que George Clooney ne brille pas par sa crédibilité. Solaris vous réserve quelques surprises qui valent la peine d'être découvertes, et vous pourrez toujours (re)lire l'œuvre originale qui mérite plus encore votre attention.
Méta-physique / physique, rêve / réalité, destin / champ des possibles, etc. ; la dualité en toute chose. Mais je vais déjà trop loin ; car même si l'esthétique est assez réussie, les dialogues corrects, le jeu d'acteur plutôt pas trop mal ; avec tout de même quelques ratés (Clooney y compris) ; une réalisation d'un bon niveau (avec quelques facilités) ; un rythme assez bien senti ; mais dans le fond, Soderbergh ne nous propose pas grand chose. Résumons : le paquet cadeau... le cadeau... pas mal! On y a même pris plaisir. Et puis... à l'instant d'éteindre sa lampe de chevet, on se dit: "Eh Steven! Tu te serais pas un peu fichu de notre poire par hasard?"