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    Le Prisonnier de Zenda
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    Pascal
    Pascal

    120 abonnés 1 400 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 août 2022
    Richard Thorpe est surtout connu dans la cinéphilie d'auteurs, comme un bon artisan mais dont peu des films qu'il a réalisés méritent de passer à la postérité.

    Parmi ceux ci, on retiendra certains de ses opus sortis dans les années 50 qui sont essentiellement des films de " cape et d'épée " absolument remarquables.

    C'est le cas pour " le prisonnier de Zenda" à mes yeux un des fleurons de la filmographie de Thorpe et en tout cas un de ceux que je préfère.

    La distribution est remarquable : stewart Granger est dans une une des meilleures interprétations de sa carrière, Deborah Kerr a un charme qu'on ne lui connaîtra pas toujours, James Mason ( ami de Granger dans la vie) est un méchant formidable.

    Le thème du sosie, qui remplace le véritable souverain sera repris par Kurosawa notamment dans son " Kagemusha ".

    Réflexion sur l'être et sur l'avoir, sur l'importance du comportement respectueux et la prise en considération de l'autre pour avoir de bonnes relations avec ceux qui nous entourent ( voire connaitre l'amour véritable), " le prisonnier de zenda" est aussi un film d'aventures formidable.

    Pas une seconde de trop dans ce joyau de la MGM et de Richard Thorpe, qui procure en le voyant beaucoup de nostalgie et d'émotions. Du cinéma hollywoodien dans ce qu'il a de plus exaltant.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 25 janvier 2021
    Très bon film de capes et d'épées. Comédie aventure action... une référence. Et bien sur le thème propre à tout ces films... prendre le pouvoir.
    SerialBob
    SerialBob

    1 abonné 23 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 décembre 2020
    « Le prisonnier de Zenda » est, quelquefois, présenté comme étant emblématique de la perfection du système de production des grands studios hollywoodiens en leur âge d’or, et, en particulier, du plus prestigieux d’entre eux : la Metro Goldwyn Mayer (MGM).

    De fait, ce magnifique livre d’image, à l’opposé de tout naturalisme, est une très grande réussite dans tous ses aspects.

    Le réalisateur, Richard Thorpe, est le prototype du « yesman » hollywoodien, à l’imposante carrière (plus de 100 films des années 20 à la fin des années 60, dans tous les genres). Il serait vain d’y chercher une ligne directrice puisqu’il mettait en scène, depuis le début des années 30, les films que la MGM lui assignait. Si beaucoup sont parfaitement oubliables, certains sont très bons, en particulier les films de chevalerie tournés, dans les années 50, avec Robert Taylor pour vedette (« Ivanohé », « Les chevaliers de la table ronde », « Quentin Durward »).

    « Le prisonnier de Zenda » appartient, lui aussi, au genre « cape et épée » et se déroule dans un royaume imaginaire (la Ruritanie) ressemblant beaucoup à l’empire austro-hongrois. De manière plus originale, il peut, aussi, pour partie, se rattacher aux films sur les couronnements/mariages royaux avec valses viennoises... je vous rassure, c’est infiniment mieux que « Sisi impératrice ».

    Le scénario que n’aurait pas renié Alexandre Dumas, feuilletonesque à souhait (sosie, complots en pagaille), est l’adaptation d’un roman d’Anthony Hope, plusieurs fois porté à l’écran, notamment en 1937 par John Cromwell avec Ronald Colman. Les nombreux personnages, tous très bien écrits, présentent une belle complexité, inattendue dans ce type de divertissement. En témoigne, le personnage, pourtant secondaire, joué par la délicieuse Jane Greer (« La griffe du passé », Jacques Tourneur), trahissant celui qu’elle aime par amour.

    L’interprétation est superbe. C’est le meilleur (double) rôle de Stewart Granger qui forme avec Deborah Kerr un couple glamour dont le spectateur voit la passion qui naît et croît par de simples échanges de regards (le cinéma de l’époque, pour cause de code Hays, était passé maître dans l’art d’érotiser les visages). James Mason interprète, avec une volupté non dissimulée, une crapule cynique, au charme aristocratique, dont je ne me lasse pas d’écrire le nom : Rupert de Hentzau. Le duel à l’épée final, opposant Granger et Mason, est magnifiquement chorégraphié, un des plus beau de l’histoire du cinéma, spoiler: et il se termine de manière ouverte comme dans tout bon feuilleton
    . D’ailleurs, Anthony Hope a écrit une suite à son histoire...

    Les acteurs sont magnifiés par un technicolor flamboyant, il ne manque pas un bouton de guêtre aux costumes ni une dorure aux superbes décors.

    Ce film romanesque et plein de panache est un plaisir dont on ne se lasse pas.
    Jade Lisa
    Jade Lisa

    4 abonnés 254 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 janvier 2020
    Un grand film d'aventures hollywoodien avec tous les ingrédients du genre, intrigue, action, romance. Le casting est prestigieux avec Stewart Granger dans un double rôle, la gracieuse Déborah Kerr et le charismatique James Mason. Les combats de cape et d'épée sont flamboyants. Un petit bijou de l'ambiance cinématographique U.S des années 50.
    bobmorane63
    bobmorane63

    155 abonnés 1 899 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 janvier 2020
    Un très bon film d'aventures divertissant et romanesque signé par le très inspiré Richard Thorpe en 1953 !! Stewart Granger a un double role dans ce long métrage, un roi qui doit se marier et un cousin germain nommé Rodolphe qui ressemble à la perfection au premier cité prenant le temps de quelques jours sa stature car le roi est ivre, malade et même enlevé dans un complot. Pas facile de prendre la couronne surtout en ayant le coup de foudre pour la reine (et pour la danse royale (rire)) en même temps de retrouver le vrai roi en détresse. Un film qui garde son charme de l'époque en voyant les beaux paysages et décors avec un scénario plein de rebondissements, une magnifique musique d' Alfred Newman et quelques scènes spectaculaires pour passer un bon moment. Stewart Granger est efficace voir drole dans le double role qu'on lui offre entouré de la belle Déborah Kerr et James Mason démoniaque dans la peau du méchant. Une réussite pour cette oeuvre méconnu qui doit ètre reconsidéré pour les cinéphiles d'aujourd'hui et les professionnels de la critique.
    Estonius
    Estonius

    2 508 abonnés 5 237 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 29 septembre 2017
    Le style peut paraître démodé, mais qu'importe les modes, puisque c'est bon : la mise en scène avec l'un des plus beaux duels de l'histoire du cinéma (supérieur à celui de Scaramouche), les décors, les couleurs, l'intrigue (pourtant assez simpliste mais fonctionnant parfaitement). L'interprétation de Stewart Granger est ici excellente, on a en revanche le droit de trouver Deborah Kerr assez peu glamour. Un seul bémol, la fin qu'on aurait préféré moins ampoulée et plus décontracté. Quasi chef d'œuvre, mais quasi seulement donc.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 15 mars 2015
    tres bon film , les acteurs sont tres bons , il y a de l'action ( le combat de fin est tres réussi ) il y a aussi de l humour , ce film traverse le temps sans prendre une ride !!
    Danny Wilde
    Danny Wilde

    93 abonnés 502 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 4 mars 2015
    Stewart Granger figure avec Errol Flynn le plus fameux duelliste de l'histoire du cinéma à Hollywood. Je revois toujours avec un immense plaisir ce genre de film qui voit la prestigieuse réunion de Richard Thorpe, le réalisateur d'Ivanhoë, de Stewart Granger, l'interprète de Scaramouche, et de l'équipe technique soignée de la MGM. Sans compter le reste du casting extrêmement brillant. Beaucoup plus éclatant que la précédente version de 1937, le Prisonnier de Zenda est plus qu'un remake habile bénéficiant des possibilités d'un Technicolor flamboyant et de superbes décors, car il se transforme en prodigieux film d'aventure dans lequel le romanesque, l'humour et l'action se côtoient sans temps mort. Face à un Stewart Granger excellent dans un double rôle, James Mason campe avec sa distinction britannique une fascinante figure de méchant mielleux prêt à trahir selon ses intérêts, et sa grande scène de duel final avec Granger reste un des morceaux d'anthologie du genre. Un joyau du film de cape et d'épée.
    Shaka666
    Shaka666

    55 abonnés 504 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 29 mai 2014
    Ce film d'aventures au charme désuet est très agréable à suivre, même si ça manque un peu de rythme... à part à la fin avec un très bon duel final à l'épée.
    gnomos
    gnomos

    48 abonnés 660 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 25 mars 2013
    Au risque de choquer les cinéphiles puristes, je me suis bien davantage divertie de ce film que du prétendu mythique Scaramouche. L'intrigue est bête comme chou, mais Steward Granger est parfait dans son double rôle, sans oublier James Mason, en vilain traître, (j'ai trouvé le duel final aussi impressionnant que celui, bien plus célèbre, de Scaramouche), et puis il y a Deborah Kerr, inoubliable héroïne de Quo Vadis, un de mes films préférés. En gros, très bon film.
    QuelquesFilms.fr
    QuelquesFilms.fr

    225 abonnés 1 598 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 16 juin 2013
    Le Prisonnier de Zenda est l'un des meilleurs films de cape et d'épée hollywoodiens, avec Scaramouche. Ah... le Technicolor, les décors somptueux, les costumes magnifiques... Les chorégraphies de combat sont exceptionnelles. En comparaison, les affrontements de Star Wars sont des querelles de bac à sable. Ça virevolte dans tous les coins. Pas une mèche de travers, pas un juron. La classe, quoi. On goûte aussi la qualité des dialogues, toujours raffinés, pleins d'esprit, même au coeur de l'action. Stewart Granger fait son boulot avec élégance. Deborah Kerr apparaît comme un bijou dans son écrin. Il faut guetter son premier sourire, tout en nuances : sourire cérémonieux de circonstance, surprise, séduction, amusement. C'est un beau petit moment de cinéma. Enfin, on retrouve James Mason, parfait en infâme personnage. Il y a des films, comme ça, qui ont du panache...
    Maqroll
    Maqroll

    132 abonnés 1 123 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 1 octobre 2011
    Film devenu mythique réalisé par Richard Thorpe, honnête artisan d’Hollywood qui s’est signalé par un bon nombre d’œuvres célèbres telles que Les Chevaliers de la Table ronde, Ivanhoé, deux des épisodes de Tarzan avec Johnny Weissmuller et un de The Thin Man (L’Introuvable) avec le coulpe Mirna Loy – William Powell. Ici, il met son talent éclectique au service d’un récit dont sa caméra rend parfaitement l’atmosphère romantique, pour ne pas dire gothique dans certains passages, notamment ceux du château de Zenda, nimbé de nuit et de brumes. Le scénario est passionnant, se fondant sur une ressemblance spectaculaire entre un futur roi d’un royaume imaginaire et un rejeton de la Couronne anglaise en voyage dans cette belle contrée. À partir de ce hasard miraculeux, les péripéties vont s’enchaîner sans temps mort et nous suivons avec des âmes d’enfant le combat des bons contre les méchants… Je vous laisse deviner qui en sortira vainqueur ! Une originalité supplémentaire est apportée par une fin en demi-teinte où le devoir m’emportera finalement sur les sentiments. Le propos est d’ailleurs ici étonnamment travaillé comparé aux autres films de cette catégorie, qui ne brillent pas d’habitude par leur profondeur de réflexion. La distribution est éblouissante avec Louis Calhern, fidèle et dévoué à son roi, Robert Douglas parfait en faux frère (qui n’est pas sans rappeler le Prince Jean), Jane Greer dans un rôle un peu en retrait mais qui laisse néanmoins opérer son charme de brune ténébreuse et James Mason qui s’amuse comme un fou à jouer les traîtres démoniaques… Mais bien sûr, le joyau de cette œuvre est constitué par le couple vedette, un des plus glamour et des plus complémentaires qu’Hollywood ait jamais formé avec Deborah Kerr au sommet de sa beauté et de sa séduction et Stewart Granger étourdissant dans un double rôle où son talent et son charisme inondent l’écran… Même en se souvenant de Scaramouche, de Robin des bois et des films déjà cités du même auteur, on a peut-être là le meilleur film d’aventures jamais tourné à l’âge classique hollywoodien !
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 5 mai 2011
    Une enième version de cette célèbre histoire, plutôt bien réussie et bien jouée par un Stewart Granger dont je n'ai jamais été fan mais qui se laisse regarder avec un certain plaisir.
    tomPSGcinema
    tomPSGcinema

    668 abonnés 3 323 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 août 2010
    Richard Thorpe réalise en 1952 avec " Le Prisonnier de Zenda ", une oeuvre haute en couleur, flamboyante et qui s'inscrit comme étant un des meilleurs films d'aventure tourné durant cette période.
    Ce long métrage se visionne avec beaucoup d'attention et d'intêret, grâce évidemment aux fabuleux décors concoctés par Edwin B.Willis et Richard Pefferle, à la magnifique photographie en Technicolor de Joseph Ruttenberg, aux costumes très soignées conçu par Walter Plunkett et à la partition musicale très mélodieuse d'Alfred Newman.
    Mais le gros point fort de l'ensemble en reviens, à mon sens, à son merveilleux casting qui est composé notamment de l'excellent Stewart Granger ( très à son aise à travers les deux personnages qu'il possède, à savoir le roi Rudolf V et celui de son cousin Rudolf Rassendyll ), de la somptueuse Deborah Kerr ( bien touchante dans le rôle de la Princesse Flavia ), du charismatique James Mason ( dans celui du cynique Ruper von Hentzou ), de Robert Douglas ( excellent à travers le personnage de Michael, le demi-frêre du roi ) ou encore de Jane Greer ( qui est très convaincante et lumineuse dans le rôle de la française Antoinette de Mauban ).
    Au niveau de la mise en scène, Richard Thorpe s'en sort d'une bien belle manière notamment lors de la fameuse scène de duel à la fin du film, qui mérite à elle seul la vision de ce long métrage, ce qui fait d'ailleurs regretter qu'il n'y ait pas plus de séquence de la sorte tout au long du film. Mais il existe évidemment d'autres séquences brillament filmée par le cinéaste de " Ivanhoé " ( qui sera d'ailleurs réalisé la même année ) , notamment la scène d'amour nocture entre Stewart Granger et Deborah Kerr ou encore la scène de bal qui se suit avec délectation.
    Il s'agit donc d'un brillant film de cape et d'épées possédant des moments romanesque bienvenue et d'autre pleine de fougue et de panache, et qui mérite pleinement de figurer parmi les classiques du genre.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 4 juillet 2010
    Bon film de cap et d'épée. Bonne musique. A noter une VF inexistante ou de mauvaise qualité. DVD avec image très passable. Ce beau film mériterait une restauration pour le bluray. Quand les studios s'intéresseront ils enfin à leur patrimoine au lieu de nous sortir des navets au kilomètres !!?
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