Avis : Van Helsing - Page 9

Voilà plusieurs plombes que je n'avais plu croisé la route de Van Helsing. Je dirais au moins dix - douze ans minimum, je m'en suis vite souvenu !

Le film de Stephen Sommers est un bon gros Nanard à base de je te rentre dans le lard et ceux sous touts les coutures possibles et inimaginables. Sur le texte, encore une évidence, une abomination. Mention spécial à cette course effréné de son Héroïne et son " For God " devenue si célèbre. Oui, comment oublier cela ...

Van Helsing aussi rincé soit-il conserve un certain capital sympathie de par sa démesure grandiloquente qui contraste avec son rendu. A mes yeux, un gosse qui en fout partout.

Un classique du film de vampire. Soigné, recherché, au casting impeccable, il vaut assurément le détour pour les amateurs du genre.

Van helsing est un calvaire... Je ne sais pas ce qui est le pire entre la direction des acteurs ou l idée de réunir Dracula, Frankenstein, des loups garous voir même Quasimodo... Non sérieusement ç est ridicule, mal fait, mal écrit, mal interprété et bien trop bruyant. Rien à sauver dans ce film, l humour est totalement oublié, la réflexion autant ne pas y penser et les personnages mal écrits surtout pour Kate Beckinsale ! Fuyez tant qu il est encore temps !

La chasse aux monstres selon "Van Helsing" !
Dracula, Frankenstein, Dr Jekyll et Mr Hyde, le loup garou et autres vampires, de nombreuses créatures défileront dans ce film qui s'adresse essentiellement à un jeune public. Mais "Van Helsing" n'arrivera même pas à atteindre son objectif premier qui est celui de divertir, tant il nous plongera dans un ennui fatal face à cette ambiance dark qui ne trouvera pas la moindre lueur de charme.
Vide, sans âme, et sans humour, il n'y aura pas grand chose à sauver dans ce "Van Helsing" particulièrement neuneu et facile, à l'exception de ses effets-spéciaux.

Un film que j'aurais aimé adoré... mais une petite déception au final ! Pourquoi Stephen Sommers, tout juste sorti des 2 reboot réussis de "La Momie", n'est-il pas resté fidèle à une réalisation old school pour se laisser aller à un "modernisme" des plus malvenus ? Erreur n° 1 : avoir rebaptisé le héros Gabriel alors que le prénom de Van Helsing, célèbre chasseur de vampire du "Dracula" de Bram Stoker est Abraham. Ce changement soit disant plus "glamour", qui fleure bon les ordres de la production, est symptomatique du mal qui ronge le film qui ressemble plus à un raccolage permanent de jeunes pré-pubère qu'au film de monstres gothiques qu'on était en droit d'attendre. La mise en scène beaucoup trop énergique (et gâchée par des effets spéciaux là encore trop moderne) en est une preuve supplémentaire et je ne parle même pas des séquences "too much" dont le film regorge (la scène de la poursuite en carosse résume à elle seule ma pensée). Et pourtant c'est peu dire que je l'attendais ce "Van Helsing" ! Imaginez un peu : Dracula, le monstre de Frankenstein et le loup-garou réuni dans le même film avec, cerise sur le gateau, le charismatique Hugh Jackman en tête d'affiche... Bref un fantasme pour tous les nostalgiques de la Hammer qui n'ont aujourd'hui que Tim Burton pour assouvir leur pulsions ! Mais le film a la politesse de mettre rapidement un terme aux espoirs des fans en montrant un Dracula plus gitan que gothique (Richard Roxburgh bien malheureux sur ce coup), une créature de Frankenstein balourde et déjà vue (l'inconnu qui le restera Shuller Hensley) qui se voit très tôt privée de son créateur, un loup-garou (le transparent Will Kemp) au look tout sauf révolutionnaire et surtout un Van Helsing au look plus proche d'un Solomon Kane à l'armement high-tech que du chasseur campé par Anthony Hopkins dans le "Dracula" de Coppola. Dès lors, le spectateur se voit contraint de revoir ses ambitions à la baisse et peut éventuellement apprécier ce film pop-corn sans grandes ambitions qui se prend parfois à tenter un hommage aux films dont elle réclame la filiation (la scène du moulin, le bal des vampires...). On s'attardera aussi sur la plastique avantageuse et très moulée de Kate Beckinsale (dans un rôle qui fait immanquablement penser à la Selana des "Underworld") et les interprétations surprenantes de David Wenham en allié du héros et de Kevin J. O'Connor en méchant Igor. Ils ne font cependant pas oublier le scénario aussi poussif que prévisible et surtout la frustration d'être passé à côté d'un chef d'oeuvre...

Regardable, avec de bons moments, et bon nombre de moins bien. La présence de Hugh Jackman et de Kate Beckinsale ne change cependant pas grand chose à Van Helsing.

Sans aucun temps mort et sans aucune crédibilité non plus. On est loin du Van Helsing de Coppola dans son Dracula. Sommers est mieux dans le désert à faire joujou avec ses momies.

La chasse aux vampires, à Dracula, avec au milieu de tout ça le monstre de Frankenstein, et des loup-garous. Le scénario n'a peur de rien sous prétexte de rendre hommage aux classiques des films d'épouvante de Universal. Le prologue en est l'illustration. Hélas, l'histoire est débile (Dracula et ses enfants vampires dans des espèces de cocons à la Alien...), fait intervenir beaucoup trop de personnages qui ne servent à rien, et multiplie des cascades énormes qui atténuent tout côté spectaculaire. Trop de tout: de poursuites, de mouvements de caméras aériens, de combats mal filmés. A tel point que les enjeux du film ne sont jamais clairement définis. On ne fait plus attention à l'histoire, on ne fait que regarder bêtement. Un film de vampires où il n'y a jamais de sang bien sûr. Quand aux effets spéciaux, ils sont dans tous les plans, à tous les niveaux et soyons honnêtes ils sont catastrophiques. Les vampires affichent des gueules gigantesques qui sont presque drôles tellement c'est démesuré. Une overdose d'effets numériques ratés, aucun mystère, aucune ambiance, une musique omniprésente... et les pauvres acteurs piégés dans leurs rôles unidimensionnels. Van Helsing est devenu une espèce de super-héros gothique grotesque. On peut dire que c'est film raté.

Revu hier soir après un défaut de mémoire, je n'avais pas un grand souvenir de Van Helsing.Le film a étrangement pas trop mal vieilli comparé à quelques productions du même genre actuelles et même si certains effets accusent le coup, l'ensemble reste correct.Melting pot de monstres et légendes dans ce film, peut être aurait on gagné en qualité scénaristique en en mettant moins.L'intérêt des loups garous, Frankenstein, vampires j'en passe et des meilleures ne me saute pas aux yeux. Sinon les acteurs font le job, vu qu'il y a plus d'effets spéciaux que de dialogues, malgré quelques scènes où on sent que les câbles ont été mis à contribution.Erreur de casting aussi pour Dracula, Richard Roxburgh doit être un ami du réal, je ne vois pas d'autres explications.Le film se laisse regarder, notamment pour un casting féminin qui fait plaisir aux yeux, mais on est loin d'un chef d'œuvre.

Film doté d'un univers gothique fascinant, d'un scénario plutôt accrocheur et de la prestation plus qu'excellente d' Hugh Jackman et pourtant Van Helsing est assez moyen. Étonnant hein? Le long métrage accuse certaines lenteurs scénaristiques importantes et devient carrément interminable vers la fin. De plus le personnage de Dracula est tout simplement ridicule. Dommage pour un film qui s’annonçait tout simplement grandiose.

Van Helsing fait partie de la génération de films SF qui revisitent les grandes légendes, folkloriques ou littéraires. Cette version comporte des dialogues peu approfondis, de l'action à grand renforts numériques et aucune psychologie des personnages ni recherche de scénario. Van Helsing ne convainc pas car n'arrive pas à intéresser suffisamment. On ressent dès le début un sentiment d'artificialité qui biaise tout le ressenti du film jusqu'à la fin.

Culte, hommage aux très nombreuses adaptations des plus grandes figures du littéraire fantastique, cette adaptation ultra moderne pour le tout début des années 2000 reste encore à ce jour l'un des récits du genre les plus mythique bien que mal juger. spoiler: Un casting 4 étoiles également devenu mythique ou l'australien Hugh Jackman qu'on ne présente plus y savoure chaque instants avec sa noblesse et son aisance aux combats et aux échanges. La britannique et sculpturale Kate Beckinsale tout aussi jouissive, une prestance égalée, un jeu décapant et des look sublimes. En second plan mais massif au récit, Richard Roxburgh alias Dracula y incarne une modernité et familiarité comme trop rarement par le passé. Un jeu peu exagérer mais respectant complètement l'arrogance d'une telle figure. David Wenham ou le moine / frère aussi timide que stressé à chaque passage à l'action, très peu catholique en conséquence pour un homme d'église dont le jeu est resté un régal. Shuler Hensley revisitant le mastodonte, la chimère, le "nouveau-né" aux 1000 vielles versions, Frankenstein aux allures de catcheurs électrifier à la posture assurée et un tempérament de feu. Enfin, les sirène gothiques et ensorcellantes, Elena Anaya, Silvia Colloca & Josie Maran jouant la séduction, l'érotisme sans le -12, la beauté plastique pour ne pas mieux incarner les 3 femmes du Compte. Féminité à outrance, voix stridentes et costumes exotiques, il se pourrait bien qu'elles soient là les première versions sexy de ces femmes jusqu'à présent très réserver. Musicalement impérial, Alan Silvestri composait déjà un culte du fantastique qui entrera à jamais dans la légende moderne. Visuellement décapant, fou furieux avec ces maquettes et décors dignes du "Seigneur des Anneaux", on est là sur l'un des rares films du genre à n'avoir abuser du numérique que pour l'impossible.
Avec le recul suffisant il est clair que le numérique à vieilli, mais quand on voit ce qu'on peu nous proposer parfois 20 ans plus, tard, on peu nettement se dire qu'ILM à plus que gérer ses coups. Un classique à l'affiche mémorable qui restera dans les anales modernes du genre.

Encore un énième film de vampires !!!!!! Sauf que dans celui-ci, les vampires se font pourchasser par Van Helsing interprété par un excellent Hugh Jackman et dirigé par un réalisateur habitué de ses projets : Stephen Sommers. L’ensemble est très convaincant malgré quelques incohérences. Ce film porté par la musique d’Alan Silvestri est à sortir de tous les nanars vampireux.

L'atmosphère et l'ambiance sont plutôt intéressants. Le reste est à jeter.

Ce que j’avais particulièrement aimé dans ce film, c’était la façon dont les scénaristes étaient parvenus à entremêler tous ces contes et toutes ces légendes pour arriver à une seule histoire dont l’ensemble est plutôt cohérent. Parmi les légendes reprises, on retrouvera Van Helsing, Dracula, Le loup garou, le docteur Frankenstein et sa créature, Dr Jekill et Mr Hyde et tous cela se passe en Transylvanie. Pour les amateurs de fantastique, je trouve que film vaut quand même le détour. Les effets spéciaux sont visuellement très réussis. J’aime beaucoup aussi le décor de Paris au début du siècle. Concernant les acteurs, Hugh Jackman et plutôt bon avec toujours une pointe d’humour, Kate Beckinsale reste dans le registre du fantastique, après avoir incarné la belle Selenne dans Underworld, on la retrouve ici en chasseuse de vampires. Les autres seconds rôles apportent également un plus à ce film que je considère comme très bon.