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Chaill
13 abonnés
396 critiques
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1,0
Publiée le 19 décembre 2014
Un gamin tête à claques décide de sécher les cours et d'aller s'éclater en ville avec sa petite amie et son meilleur pote. Vu la popularité du film on pourrait penser qu'il va alors se passer mille choses burlesques, divers rebondissements... Mais non, rien de ceci. Ils assistent à un défilé ou notre "héros" chante sur un char, puis ils visitent un musée... Et voilà tout. Ce navet a gagné ses galons de "film culte" car il a inspiré la série Parker Lewis (bien plus brillante) et parce que le personnage principal a inspiré de nombreux jeunes qui s'identifiaient à lui pour sa cool attitude. Côté cinématographique par contre, on est proche du néant. On reste même sur sa fin:spoiler: comment va se passer la rencontre père-fils après que celui-ci lui ait ruiné sa Ferrari? A noter par ailleurs une théorie intéressante sur ce film: Ferris Bueller n'existerait pas et serait juste un personnage imaginé par son pote pour vaincre sa timidité.spoiler: Un fight club avant l'heure donc.
De trépidantes aventures, qui nous amènent dans la ville de Chicago. "La folle journée de Ferris Bueller" suit l'aventure de trois amis qui se décident à faire les 400 coups l'espace d'une journée. Ce qui les amène dans des situations pour le moins inattendues, voire catastrophiques par moments. Le film monte crescendo dans le pire, tout en maintenant un niveau d'humour sympathique du début à la fin. Très estampillé années 80, le film de John Hugues fait passer un message, sur la nécessité de vivre sa vie à fond. Pas mal.
Ce film est absolument fantastique. Il est difficile de trouver de bonnes comédies. Celle ci en est une et tout le monde peut facilement s'identifier à ce lycéen voulant sécher les cours. Ferris Bueller incarne le petit mec populaire que tout le monde aime, jalouse et que matthew broderick joue à la perfection. d'ailleurs il est étonnant que cet acteur n'est pas fait d'autres films notables. La B.O du film est dingue. Et mention spéciale au dean Robert qui me fait énormément penser à notre cher commissaire gibert dans Taxi.
En 1986, John Hughes est surpuissant. Il enchaîne les scénarios et en réalise quelques-uns, laissant les moins bons à d’autres (Howard Deutch, surtout). Bien évidemment, il s’est gardé La Folle Journée de Ferris Bueller.
John Hughes a bien fait. Il s’était déjà gardé The Breakfast Club et avait dû passer Vacation à Harold Ramis, il a donc réalisé lui-même son meilleur scénario à ce jour (1986, évidemment). Le principal tour de force de La Folle Journée de Ferris Bueller réside dans le fait que le film ne raconte absolument rien de bien intéressant (trois lycéens font l’école buissonnière), n’offre aucune morale à la fin et pourtant se trouve être absolument passionnant, hilarant et parfois même touchant. Ceci est à imputer à des dialogues fabuleux, qui ne passent jamais la ligne entre jeunesse fantasmée et réalisme ennuyeux et à un casting fabuleux, dominé par un trio de jeunes premiers parfaits : Matthew Broderick, Mia Sara et surtout Alan Ruck sont crédibles, sont attachants et n’en font jamais trop, même avec des rôles très délimités. De plus, quelques séquences du film, comme la maison de verre ou la parade sur Danke Schön de Wayne Newton sont particulièrement bien réalisées et cela apporte une plus-value indéniable au film, au vu de l’habituelle impersonnalité de la réalisation de ce genre de film. Ajoutez-y quelques seconds rôles sympathiques comme Jeffrey Jones, Jennifer Grey et surtout Ben Stein et une apparition hilarante de Richard Edson en garagiste pour le moins facétieux.
La Folle Journée de Ferris Bueller n’apprendra rien à personne et n’en a surtout pas l’envie et le but. En revanche, il est un film absolument hilarant, passionnant et follement divertissant. Un des grands films des années 80.
Véritable icône de la comédie US, notamment des "teens movies" dont il a été l'un des précurseurs John Hughes a réalisé ce film qui est devenu culte auprès de toute une génération. Ce statut est peu être un poil exagéré, car cette folle journée de Ferris Bueller n'est pas non plus une folie en soi mais plutôt un pseudo road movie gentillet avec cependant de bons personnages secondaires et des moments qui rappellent les films cultes de la comédie US dont John Hughes a été le scénariste : "Maman, j'ai raté l'avion".
Le film porte très mal son titre. Le synopsis et lui pourraient laisser penser à une aventure mouvementée et intense mais finalement c'est tout l'inverse. Un peu comme dans une pizzeria où les pizzas donnent envie sur la carte sauf que l’appétit s'envole une fois dans l'assiette. Les scènes s'enchaînent beaucoup trop vite sans vraiment être exploitées et ne se lient pas entre elles. Quelques gags font sourire, le jeu d'acteur est convaincant et l'histoire est sympathique à suivre. Quelle bonne surprise de voir Charlie Sheen dans un de ses premiers films même si son rôle est loin d'être très important. Un bon divertissement.
Un teen movie des années 80 sans autre prétention que celle de faire passer un bon moment. Scénario léger, personnages sympathiques, humour enfantin (le personnage du surveillant fait fortement penser aux méchants de Maman, j’ai raté l’avion) et BO ancrée dans son époque (on a même le droit à un reprise du thème principal de Star Wars !). Pas transcendant mais pas déplaisant !
Une ode à la joie de vivre dans toute sa splendeur ! Outre le fait qu'il soit une excellente comédie, c'est également un vrai film culte, avec des personnages attachants quoiqu'un peu clichés et une réalisation irréprochable. Je pourrais lui faire tous les éloges du monde mais je préfère vous dire ça : Regardez-le dès que vous le pourrez ! Ce film mérite amplement 2 heures de votre vie
Ça vous tente une petite comédie façon Teen Movie des années 80 avec en prime Matthew Broderick ? La folle journée de Ferris Bueller est une petite comédie qui fait ressortir toute l'effervescence des années 80 sur le thème de l'adolescence et l'école buissonnière . Une comédie qui va vite et qui est rempli de situations déjantés, muni en prime d'un second rôle de proviseur vraiment excellent .
Là ou Ferris Bueller ne se plante pas c'est dans son humour, ça n'en fait jamais trop au point de devenir lourd et on se retrouve avec une comédie aux personnages attachants et sympathique loin des clichés agaçant a l'Américaine .
Mention spécial au petit rôle de Charlie Sheen en mode loubard des années 80 . Si vous voulez passer un bon moment dans une petite comédie sympathique avec des acteurs et une bande son vraiment cool lancez vous Ferris Bueller est une bonne pioche .
Au delà d'être le prototype même de la comédie américaine pour adolescents. "La folle journée de Ferris Bueller" est le reflet de l'insouciance des années 80 et véhicule des valeurs propres aux Etats-Unis : on ne réussit pas en pleurnichant mais en agissant et en affrontant les problèmes. C'est le genre de film que l'on trouve cool à douze ans et que l'on renie aussitôt l'âge adulte arrivé.
Ce film est un mystère. Alors qu il est juste un teen movie extrêmement classique, il dégage une impression de sympathie incroyable. Matthew Broderick nous entraîne avec lui dans sa folle journée de lycéen qui sèche les cours. A déguster comme un paquet de bonbon : c est pas bon mais c est bon.
Une nouvelle pépite dans la filmo de John Hugues et même si cela fait très 80's ce n'est finalement pas si démodé et on à beaucoup de sympathie pour " la journée " de ce cancre .
Prototype (trop) souvent copié mais jamais égalé du teen-movie à l’américaine, Ferris Bueller’day off a su marquer toute une génération et imposer par la même les stéréotypes de telles comédies. Avec son discours désinvolte et son interaction avec la caméra, le personnage est d’autant plus attachant que le film est, comme savait si bien le faire John Hughes, parfaitement ancré dans l’esprit des années 80, jouant sur l’image et le rythme. Matthew Broderick, même s’il a depuis été relégué au rang d’acteur de seconde zone pour nanars, était pourtant irrésistible dans ce rôle mythique de cancre plein de bonnes idées pour manipuler tout le monde, aussi bien ses parents que le serveur du restaurant. Parmi ses victimes, le proviseur retors qu’incarne Jeffrey Jones est lui-aussi particulièrement hilarant. Le scénario, aussi astucieux que son héros, et la mise en scène survoltée et tout aussi ingénieuse permettent à cette comédie de référence de cumuler des situations surprenantes, comme le caméo de Charlie Sheen, et même des extraits cultes comme le fameux "twist and shout" collectif.