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    La Secrétaire
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    131 critiques spectateurs

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    chrischambers86
    chrischambers86

    11 938 abonnés 12 157 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 février 2016
    L'anti "Fifty Shades of Grey". La scène d'ouverture, ètrange et passionnante à la fois, donne le ton en frappant de suite le public en plein estomac! il fallait faire comprendre au spectateur que quelque chose d'envoûtant allait se dèrouler dans le film! Le public devait savoir aussi que la personne qu'il allait voir dans la scène suivante, qui ètait plutôt minable et bizarre (James Spader), et sans doute moins sèduisante que cette secrètaire (Maggie Gyllenhall), deviendrait sèduisante plus tard, s'il avait la patience d'attendre! Avec une bonne surprise à l'arrivèe car "Secretary" est probablement l'un des grands films sorti en France en 2003 malgrè la modestie de sa sortie! Le rèalisateur Steven Shainberg pousse son actrice dans des situations incroyables, la mise en scène forte et originale aussi, se chargeant de les rendre crèdibles malgrè son sujet casse-gueule : spoiler: une jeune femme solitaire et complexèe est embauchèe comme secrètaire dans un cabinet d'avocats et tombe amoureuse de son patron!
    Dans un rôle particulièrement difficile, Maggie Gyllenhall est èpoustouflante de la première à la dernière bobine (le fait qu'elle ne soit même pas nommèe à l'Oscar de la meilleure actrice est juste une honte, un scandale). Que dire de son jeu, sinon qu'il est d'un naturel confondant! Gyllenhall et Spader s'intègrent ici à merveille dans un monde mystèrieux (elle), quotidien (lui), et malsain (leurs relations). spoiler: De jour comme de nuit, c'est une expèrience sadomasochiste pleinement rèussie où Lee Holloway vous fait comprendre par exemple que manger des petits pois est un acte sexuel liè à Edward Gray! Que cette carotte d'un orange incroyable dans la bouche de Lee est directement inspirèe d'une photographie d'Helmunt Newton!
    Bref, on va de surprise en surprise dans "Secretary", avec même des images en 2D qui ont le côtè livre d'enfants spoiler: et une belle scène de masturbation formidablement jouèe par Gyllenhall!
    Quant à la B.O, Angelo Badalamenti a composè quelque chose de très jazzy pour son fantasme! Ce qui rend le mètrage encore plus captivant...
    Estonius
    Estonius

    2 463 abonnés 5 222 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 30 septembre 2013
    Ah ! Ah ! Les ultra féministes vont en avaler leurs chapeaux. Une histoire de relation sadomaso entre une secrétaire soumise et un avocat dominateur et complexé qui devient une histoire d'amour. Curieusement la clé du film nous est fourni par Peter, l'amoureux éconduit qui ne comprend rien à rien mais qui explique que pour qu'un couple "marche" il faut qu'il y ait compatibilité. Le jeu pervers (mais émoustillant) auquel se livrent James Spader et Maggie Gyllenhaal (fabuleux tous les deux) finira par les réunir dans l'amour. Le réalisateur ne juge pas ses personnages et les montre aussi avec leur défauts (voir la façon avec laquelle Maggie rompt avec Peter), mais assène certaines vérités qu'il est parfois bon d'entendre ("ton corps t'appartient, à toi d'en disposer à ta guise", dira le père de Maggie) ce que font deux adultes consentants ne regardent qu'eux (c'est la conclusion du film), mais la relation SM ne saurait être permanente, ce n'est qu'un jeu qui quand il est terminé fait que l'on passe à autre chose, cependant une relation durable entre deux personnes qui partagent ces jeux est aussi viable que n'importe quelle autre relation. Le film comporte quelques scènes fortes assez réjouissantes (les fessées, la masturbation dans les toilettes, la branlette de James Spader, les scènes de nus à la fin...)
    lhomme-grenouille
    lhomme-grenouille

    3 140 abonnés 3 170 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 14 août 2014
    Ouaouh ! Des films comme ça, on n’en fait pas souvent. On n’est pas ici dans le graveleux pour faire du graveleux, au contraire. Certes, le franchissement des limites questionne, mais très rapidement le film en vient à questionner la nature de la limite elle-même. L’interrogation morale ici est remarquable, surtout que Maggie Gillenhaal et James Spader sont au sommet de leur art pour incarner ce questionnement. Je suis fan…
    Stephenballade
    Stephenballade

    353 abonnés 1 235 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 18 janvier 2018
    Eh bien ! Je crois que si ce film était sorti de nos jours, je crois qu’on aurait pu dire qu’il n’était ni plus ni moins qu’un savant mélange de "Populaire" (2012) et de "Cinquante nuances de Grey" (2015). Ce n’est bien évidemment pas le cas, étant donné que "La secrétaire" est arrivé en salles beaucoup plus tôt. C’est pourtant à s’y méprendre, et je dois avouer que c’est assez troublant. Cependant je dois vous mettre en garde sur le fait que cet avis est influencé par ces deux films, de 9 et 12 ans leurs aînés. Pour commencer (puisqu’il faut bien commencer quelque part), prenez de "Populaire" la secrétaire et les vilaines pressions de son patron, appelez ce dernier Grey (si ! si ! mais Edward Grey pour être précis), et saupoudrez de cette relation particulière qui faisait tout l’attrait de "Cinquante nuances de Grey". Ainsi vous avez tous les ingrédients de "La secrétaire". Vous voyez un peu mieux le genre ? Mon avis pourrait s’arrêter là, mais il me semble indispensable de rajouter qu’après avoir visionné ce film, c’est-à-dire "La secrétaire", on peut dire aujourd’hui que le réalisateur Steven Shainberg a réussi là où Sam Taylor-Johnson a échoué dans la mise en scène de l’adaptation du phénomène littéraire d’E.L James. Parce qu’on ressent ici beaucoup mieux l’influence des hormones qui unissent deux êtres que tout oppose, hormis les besoins professionnels bien entendu. Pensez donc : d’un côté nous avons un avocat peu sociable, si peu qu’il semble vivre comme un ermite, et de l’autre nous avons une jeune femme qui veut bosser afin d’échapper à ce qui la torture. C’est d’ailleurs sur cette charmante petite personne que le film débute, en la montrant dans un drôle d’exercice, exécuté avec une élégance glamoureusement raffinée. On pourrait croire que le scénario démarre là-dessus, mais la préférence a été donnée au développement de ce qui a pu amener cette première scène, des plus singulières il faut l’admettre. Le spectateur se voit alors propulsé six mois plus tôt et… oh ! la transformation ! C’est tout juste si Maggie Gyllenhaal est reconnaissable ! Comme quoi, un brin de sophistication (ou de laisser aller, comme vous voudrez) peut changer une personne physiquement du tout au tout : on peut virer du moche au très joli, et inversement. Et cette règle est valable autant pour les femmes que pour les hommes, quoique que c’est souvent plus percutant chez les dames. Bref, passons. Si la toute première scène confine le spectateur dans un certain envoûtement (certes bien aidé par la musique), le développement de Lee (Maggie Gyllenhaal) est un peu long et fastidieux, au point qu’on vient à penser que finalement, l’affiche du film constitue le seul intérêt de ce long métrage (enfin pour nous les hommes, hein lol !... je vais peut-être m’en faire un poster, tiens mdr !). En effet (pour redevenir sérieux), Lee Holloway est décrite comme une jeune femme à l’esprit tristounet un peu bêtassou sur les bords (ce qui peut s’avérer agaçant) et « accessoirement » torturé, une jeune femme pas franchement heureuse de rentrer chez elle. Entre une sœur qui se marie alors que ses propres amours s’apparentent à un immense désert, une mère qui subit les effets de l’alcoolisme notoire de son mari, avouez que le tableau est loin d’être idyllique. Mais ce sont justement ces ingrédients qui vont la pousser à se prendre en charge, et… à donner à sa vie sans le vouloir un virage à 180°. Et puis les choses s’installent. Et insidieusement, le charme opère. Le spectateur se laisse doucement hypnotiser par cette intrigue de la même façon que les deux personnages principaux s’hypnotisent mutuellement. Bon, il faut dire que la consonance de la partition d’Angelo Badalamenti y est pour beaucoup, aussi. Et cela commence dès la toute première scène, durant laquelle nous entendrons un thème qui se révèlera être le thème principal. Mais si le spectateur se retrouve irrémédiablement pris au piège, c’est parce qu’il le doit aussi à la formidable interprétation des deux acteurs principaux. On sent qu’il se passe un truc, et ce truc-là suffit à crédibiliser le propos. Alors que le visage de James Spader demeure irrémédiablement fermé dès qu’il est confronté à sa belle, il tend à se détendre en aparté. Tandis que Maggie Gyllenhaal passe d’un état d’âme à un autre avec une déconcertante facilité, ce qui a le don de souligner la sensibilité de son personnage. Son seul sourire suffit à rendre son visage radieux au possible, et à faire entrer le soleil dans un lieu gardé en permanence dans la semi-pénombre. Eh oui, la lumière utilisée participe aussi à l’envoûtement du spectateur. Tout comme la réalisation, superbe de sobriété et sans aucun parti pris. Les deux personnages sont montrés sans tabou, y compris dans leur plus stricte intimité. Cela ne veut pas dire que c’est tourné vers le graveleux. Au contraire, le juste équilibre a été trouvé entre l’attirance physique et sentimentale, avec le doigt mis sur la compatibilité, cette compatibilité qui se voit promue élément-clé donné malgré lui par le benêt de service qui ne comprend rien à rien, j’ai nommé Peter. Arf, celui-ci est touchant à sa manière, et je dois dire qu’il m’a fait de la peine, le pauvre… bravo à son interprète Jeremy Davies pour nous inspirer cela, alors qu’il n’était pas facile d’exister entre les deux personnages à qui l’histoire a (presque) été totalement dédiée. Mais le tour de force du film, basé sur une nouvelle de Mary Gaitskill (que le cinéaste avait déjà adapté à l’écran par le biais d’un court-métrage), est de rendre toute forme de relation aussi viable les unes que les autres, en l’occurrence le SM. Malgré tout, les idées reçues ont la dent dure… et il y a à parier que d’autres films traitant de ce genre de relation se fassent jour dans l’avenir. C’est déjà en partie arrivé, avec les adaptations de la trilogie de Grey. Dommage que celles-ci ne soient pas aussi convaincantes… c’est le moins qu’on puisse dire !
    Yannickcinéphile
    Yannickcinéphile

    2 081 abonnés 4 211 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 1 décembre 2016
    Je voulais voir ce film depuis très longtemps, très attiré je dois le dire par sa jaquette plus que séduisante ! Et puis j’avais le souvenir de sa bande annonce assez attrayante aussi. Et puis j’étais passé à côté à chaque fois, j’ai comblé cette lacune, et je n’ai pas été spécialement enthousiasmé.
    Malheureusement La Secrétaire est un film qui se veut audacieux, mais qui laisse vraiment sur sa faim.
    Ok, le casting est efficace. Enfin par casting j’entends essentiellement le duo principal, composé de James Spader et de Maggie Gyllenhaal. Deux acteurs talentueux, et plutôt bien vus pour leurs rôles respectifs qu’ils tiennent avec intelligence. James Spader est un avocat aux mœurs singulières tout trouvé, et habitué aux rôles étranges il avait déjà campé un personnage bizarre dans Crash. Mais encore une fois ici, ce n’est pas pour le meilleur. Convaincant, il reste que son rôle n’est pas du tout dégrossi, et comble de l’ironie, on ne saura rien de plus sur lui durant le film que son métier, son amour du sport, et qu’il est bizarre avec ses secrétaires ! C’est peu. Gyllenhaal hérite d’un rôle plus dégrossi, et l’actrice est très efficace, c’est un fait. Elle joue très bien cette ingénue pas tellement ingénue qui se complait dans une relation masochiste pour combler, en quelque sorte, ses tendances à l’auto-mutilation. Elle a un visage très expressif qui rend bien les tergiversations de son rôle complexe. Bon duo, et malheureusement derrière, rien qui soit réellement à leur niveau.
    Le scénario n’a réellement pas une grande consistance. Intriguant au début, on se dit que ça va décoller, et puis non ! On assiste pendant 1 heure facile à une suite redondante et pas vraiment enthousiasmante de petites séquences gentiment SM, de plaisirs solitaires, de disputes, d’hésitations, dont on ne comprendra d’ailleurs pas vraiment les tenants et les aboutissants (la dernière partie je n’ai pas bien saisi la versatilité des personnages). C’est creux, la fantaisie ne suffisant pas à combler ce sentiment de vide et de manque d’enjeu évident. Ce n’est même pas très sexy finalement, ni SM, et ce n’est ni fendard ni triste. En fait c’est simple, passé le quart d’heure d’ouverture, ça se délite dans l’attentisme, le film n’ayant pensé que son point de départ et sa chute, laquelle est d’ailleurs tout à fait prévisible et attendue. En plus c’est le couperet abrupt.
    Formellement, ce que j’ai trouvé le plus sympathique ce sont les jolies tenues de Maggie Gyllenhaal. Elle est très jolie et sexy dans ces tenues, pour le reste, ben ce n’est pas terrible. Le cadre du film c’est essentiellement un bureau, la mise en scène réussit une seule vraie scène (la plus connue d’ailleurs, je ne la dévoile pas, mais vous n’aurez pas de mal à la reconnaitre, c’est la seule un peu coquine), et la photographie n’est pas spécialement marquante. Même la bande son ne m’a pas spécialement marquée. On ne peut pas dire que La Secrétaire déçoit réellement là-dessus, car les attentes n’étaient pas énormes, mais j’attendais beaucoup plus de sensualité, de vigueur dans la réalisation, et une esthétique plus typée.
    En clair, La Secrétaire c’est un film qui vit essentiellement sur son côté coquin chic, lequel apparait mais sans plus. On ne peut pas dire que ce soit très drôles, très sérieux ou très engagé, ni même très transgressif. En fait c’est un film qui ne sert pas à grand-chose pour le spectateur, si ce n’est à apprécier deux acteurs qui s’investissent, et une histoire qui avait une bonne idée de départ, traitée bien trop mollement. 1.5
    ER  9395
    ER 9395

    72 abonnés 1 337 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 11 février 2013
    Ce film au sujet difficile n'est pas du tout racoleur comme on pourrait le penser mais beaucoup plus
    subtil qu'il n'y parait et c'est surtout une véritable histoire d'amour .
    Oriwa
    Oriwa

    54 abonnés 898 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 12 novembre 2013
    Le sujet est traité avec amour, humour, désir, doute, sensibilité, sensualité... Le tout passe très bien pour expliquer que chacun ressent le bonheur à sa façon, même si elle parait étrange et grossière pour certains.
    James Spader est une fois de plus excellent, dans un rôle réservé et intrigant. Film de Steven Shainberg, qui a également réalisé le bouleversant et surprenant "Fur : Portrait imaginaire de Diane Arbus" que je conseille vivement.
    Hollywood-Biographer
    Hollywood-Biographer

    172 abonnés 1 477 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 8 juillet 2009
    Quel est le genre de film ?
    Une comédie ? Vraiment ?
    Je ne vois pas ce qu'il y a de comique dans cette production véritablement sans intérêt. Un avocat et sa secrétaire qui s'adonne à des jeux sado-mazo tous les jours. Je n'arrive pas à comprendre ce qui a permis de séduire la presse et les spectateurs. Peut-être le côté sado-mazo justement que nous ne sommes pas habitué à voir à l'écran. Bref un film sans queue ni tête, rythmé par de gros délires incensés.
    Val_Cancun
    Val_Cancun

    47 abonnés 764 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 26 mars 2014
    LA romance sado-maso du septième art!
    Le ton de "Secretary" alterne assez subtilement entre le drame et la comédie romantique : 2 êtres marginaux, inadaptés sociaux, vont partager peu à peu des sentiments amoureux au travers d'une relation sado-masochiste. L'avocat coincé et "sadique" est interprété par James Spader, tandis que la secrétaire au départ suicidaire est jouée par Maggie Gyllenhaal, qui a l'immense mérite de se mettre en danger avec ce rôle dérangeant, dans lequel elle doit assumer son plaisir coupable pour une bonne fessée.
    Dérangeant, le film l'est assurément, même si on a le sentiment que les auteurs n'ont pas exploité tout le potentiel de cette histoire atypique.
    A voir, au moins pour son originalité et sa prise de risque.
    Remarque : certains jugent l'affiche particulièrement racoleuse, on peut aussi la trouver simplement érotique, avec une dimension esthétique et une puissance évocatrice.
    Plume231
    Plume231

    3 469 abonnés 4 639 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 7 novembre 2013
    C'est un film romantique hors-normes dans le mesure qu'il pourrait un peu grossièrement s'intituler "Quand Maso rencontre Sado"...
    Le film a le très grand mérite de ne pas nous faire un cours de morale pour savoir si le sado-masochisme est une bonne chose ou pas, ne portant pas le moins du monde un quelconque jugement, mais de tout simplement nous montrer cela comme permettant de rapprocher deux êtres, étant le seul moyen pour eux de vraiment exprimer leurs sentiments...
    Le rythme est quelques fois un peu languissant mais les deux protagonistes sont attachants et émouvants.
    Maggie Gyllenhaal, qui n'a jamais été aussi séduisante et craquante, trouve certainement ici le plus beau rôle de sa carrière dans ce qui est un joli film.
    gooneur
    gooneur

    42 abonnés 840 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 30 juillet 2019
    J'ai lu ici et là chef d'oeuvre et cultissime!?? Mais parle -t-on du même film?? Un film soi-disant subversif et qui ne fait qu'effleurer un sujet dérangeant en l'embellissant de facon éhontée? Avec notamment une fin "eau-de-rose" interminable et mièvre? Un hymne à la différence?? Plutôt un hymne aux somnifères tellement c'est lent, long, répétitif et ennuyeux! Le cinéma va mal pour élever ce genre de bobines vides au rang de coup-de-coeur. Pathétique!
    Eselce
    Eselce

    1 197 abonnés 4 238 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 18 mai 2008
    Pas trop mal dans l'ensemble. Le rôle d'une secrétaire vue d'un certain oeil. Mais bon, personnellement, je ne raffole pas de ce genre de film.
    Anysia Spivak
    Anysia Spivak

    9 abonnés 158 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 23 décembre 2011
    Film hors norme sur une relation amoureuse entre un homme sado et une femme masochiste.
    Il est vrai que ce genre de relation n'est pas conventionnelle et classique.
    peut être certaines personnes se retrouveront ds cette histoire mais cela n'a pas été mon cas.
    Mais j'ai apprécié quelques scenes lolllll.
    Hotinhere
    Hotinhere

    413 abonnés 4 735 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 22 janvier 2020
    Une histoire d'amour étrange, amusante et perverse entre deux personnes complexées, interprétées par la géniale Mary Gyllenhall et James Spader. Pas mal mais inégal.
    lillois
    lillois

    86 abonnés 454 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    Après une jolie première séquence explicite sur ce qui attend le spectateur, le récit nous ramène immédiatement six mois en arrière, loin de toute punition et de tout fantasme ludiques. Long-métrage avant tout psychologique, "La secrétaire" traite avec beaucoup d’intelligence un thème peu commun au Cinéma et auquel je suis sensible. Sujette à l’automutilation depuis l’enfance, une jeune femme s’ouvre finalement à la Vie à travers la soumission et le masochisme. Assez tardive, la scène de la révélation pour Lee est d’une intensité magnifique. Pour véhiculer ce genre d’émotions l’interprétation s’avère primordiale, et ce que je souhaite dire c’est que Maggie Gyllenhaal est une déesse. James Spader (l’avocat E. Edward Grey) s’acquitte lui avec les honneurs d’un rôle plus subtil qu’on ne voudrait le croire, à la fois employeur, mentor et maître de miss Holloway. Contrairement à Lee qui accepte rapidement sa tendance naturelle et les plaisirs qui en découlent, lui lutte discrètement contre une culpabilité qui l’empêche d’assumer pleinement la relation à laquelle tous deux aspirent. Le trait pourra parfois sembler forcé, notamment vers la fin, mais les sentiments, puissants et beaux, sont respectueusement dépeints. En France l’interdiction ne se limite qu’aux moins de douze ans, si cette clémence peut se justifier au strict plan visuel, elle est à mon sens totalement inappropriée… Il s’agit en effet d’explorer des mécanismes comportementaux d’adultes qui susciteront déjà l’incompréhension pour pas mal de majeurs néophytes, alors imaginez pour des enfants… A leur déconseiller fortement donc. Bravo au réalisateur Steven Shainberg pour avoir tiré de la nouvelle de Mary Gaitskill ce film formidable et courageux.
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