Avis : La Maison des otages - Page 3

Interminable !! Voilà le film résumé et ce n'est pas Humphrey Bogart qui sauve l'ensemble. À part son vocabulaire vulgaire, il n'effraye personne. Quelle idée que de prendre une famille en otage en attendant de recevoir de l'argent d'un complice. Alors que dans leur évasion il suffisait au trio de bras cassés d'avoir une planque et attendre tranquillement sans aggraver leurs cas. Dans ce trio d'évadés, il y a un gros costaud mais avec un cerveau de primate. Par sa bêtise puérile il légitime Humphrey Bogart dans le rôle de chef, sauf qu'il n'est pas non plus le roi des caïds. Le scénario est ennuyeux, il ne se passe rien qui ferait de cette série B un bon thrillers. On attend et on attend encore, je passe sur les incohérences qui finissent par me lasser et laisser penser qu'on a à faire à un pur navet. Dommage pour l'avant dernier film d'Humphrey Bogart, à 55 ans passés on devine qu'il est sur les rotules.

Une petite ville des États-Unis, dans les années 1950 : Glenn Griffin, dangereux prisonnier évadé avec deux complices, à la recherche d'une voiture, investit avec ses complices la maison de la famille Hilliard, retenue en otage pour faciliter leur fuite du pays. Le père, Daniel, tente tout son possible pour sauver ses proches ; la confrontation violente avec Griffin est inévitable, compliquée par l'intervention de la police.