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    L'Homme de la plaine
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    52 critiques spectateurs

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    Agnes L.
    Agnes L.

    121 abonnés 1 464 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 17 janvier 2024
    Ce western est plaisant et pas trop simpliste. Je regrette que les dialogues ne soient pas à la hauteur. Un peu trop taiseux comme personnage, l'homme de la plaine (James Stewart), et c'est abusif car on dirait qu'il ne sait pas exprimer ce qui lui arrive. Peut-être ne se disculpe-t-il pas car il se dit qu'on ne le croira pas mais cela en devient énervant. Un peu déçue également de voir si peu les Apaches alors qu'ils sont au centre de l'histoire. Ce qui est bien réalisé par contre, c'est la diversité des lieux, les personnalités du père et celui du trafiquant d'armes. Le fils Dave Waggoman, lui, est trop âgé pour être crédible dans le rôle d'un jeune homme chaperonné car il a trente neuf ans au moment du tournage et ça se voit.
    chrisbal
    chrisbal

    11 abonnés 592 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 16 août 2023
    Dernier film d'Anthony Mann mettant en vedette son acteur fétiche, "L'homme de la plaine" est un western très classique avec de magnifiques paysages filmés en Cinémascope.
    Bien que les motivations des différents personnages restent relativement mystérieuses, on se doute dès le début spoiler: qu'il s'agit d'une histoire de vengeance en rapport avec la colonne de cavalerie décimée par les indiens et également de qui peuvent être les trafiquants d'armes
    .
    James Stewart interprète un Will Lockhart tout en bravoure et en humilité (même si pour moi il est loin d'être l'acteur le plus charismatique de l'époque, on peut au moins lui accorder cette qualité), contrastant avec les personnages interprétés par Arthur Kennedy (Vic Hansbro) et Alex Nicol (Dave Waggoman), cupides et avides de violence.
    D'une manière générale, on a un divertissement pas forcément épique mais qui respecte les fondamentaux des westerns des années 50.
    White Fingers
    White Fingers

    6 abonnés 922 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 janvier 2023
    Cinquième et dernière collaboration entre Anthony Mann et James Stewart, « L'homme de la plaine » est incontestablement l'un des meilleurs de cette pentalogie. J'ai néanmoins une préférence pour « Winchester 73 ». Le scénario est dense, avec une intrigue quasi policière qui se met progressivement en place jusqu'au dénouement tragique. Les paysages et les grands espaces sont superbes, mis en valeurs par le CinémaScope. Les acteurs sont prodigieux. James Stewart égal à lui-même avec ce fond de fragilité permanent ; l'homme qui plie mais ne rompt jamais. Arthur KENNEDY, immense acteur, restera l'un des acteurs westerniens les plus improbables avec son physique « cabossé » et son âme tourmentée. Sans parler des rôles secondaires. Incontournable.
    Retrouvez mon amour du Far West dans le roman WHITE FINGERS : LA PISTE SYSKIYOU - Eds VERONE - TOME 1.
    stans007
    stans007

    18 abonnés 1 234 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 14 septembre 2022
    Dernier du cycle des cinq westerns d’Anthony Mann, avec scénario revu à la baisse par les producteurs. Très classique, aride, avec un fils à papa très méchant, un grand justicier très courageux, pas d’humour, et des indiens pas bien loin. Pas mal d’invraisemblances mais globalement bien ficelé. Du solide.
    ronny1
    ronny1

    30 abonnés 913 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 3 août 2022
    Anthony Mann rêvait d’adapter KING LEAR en western (Kurosawa le fera des années plus tard en chambara avec « Ran »). « The Man from Laramie » (L’homme de la plaine) offre déjà toutes les prémices de cette tragédie familiale animée par l’ambition et la rancœur. Car le sujet du film est ce mélange sous tendu par la vengeance, qui pourtant n’habite pas les deux propriétaires terriens du film. Anthony Mann et John Sturges furent considérés comme les créateurs du western psychologique et ce film se rattache à ce courant, même si les deux réalisateurs ont des tempéraments différents. La relation tri partite entre le père, le fils et le fils adoptif et préféré, gagnera une dimension supplémentaire avec l’adversaire et ancienne fiancée du patriarche. Dernier des cinq westerns qu’il réalisa avec l’excellent James Stewart que Mann utilisa au mieux (l’acteur sera moins brillant chez John Ford) c’est aussi le meilleur. Dès les premiers plans le cinémascope et les mouvements de caméra de Charles Lang apportent une précision à la fois dans les cadrages et dans les mouvements (le sommet de son art sera « Magnificent Seven » de John Sturges). S’appuyant sur ces qualités topographiques certaines, le déroulé passe avec facilité et intelligibilité d’un endroit à l’autre, permettant une continuité de l’action, sans temps morts, à tel point que les quelques incohérences sont avalées par le rythme du film. Donald Crisp, Athur Kennedy, Alex Nichol, Aline MacMahon et la sous estimée Cathy O’Donnell complètent un casting épatant, agrémentés de quelques rôles secondaires tenus par Wallace Ford et Jack Elam. Emprunt d’une sauvagerie et d’une violence qui annoncent déjà Sam Peckinpah, « The Man from Laramie » est un des grands films du cinéaste. Des westerns dans lesquels il avait tourné, c’était celui que James Stewart préférait
    Olivier G.
    Olivier G.

    3 abonnés 37 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 2 septembre 2021
    Vous êtes vous demandé quelle est l'origine du mal ? Anthony Mann y répond via ce grand western. Il désigne la bêtise, la mauvaise conscience, la lâcheté, le hasard, l'idée de vengeance, le manque de chance … en fin de compte même les mauvais ne le sont pas tout à fait.
    Et que dire des paysages tourmentés du Nouveau Mexique, à l'image des personnages et de cette mine de sel à ciel ouvert qui s'embrase dès le début du film. A l'image aussi d'un père et de son fils fou à lié, d'un homme recherchant l'affection d'un père, d'un autre homme (formidable James Stewart) recherchant la vérité sur l'assassinat de son frère, et malgré cela de l'espoir aussi incarné par l'amour et la volonté de rendre justice. Que dire de plus ? Heureux ceux qui vont découvrir ce chef-d'œuvre, le plus beau western à mes yeux et qui n'a pas pris une ride. Si Hollywood veut se réinventer (et le cinéma américain en a actuellement bien besoin), qu'il s'inspire du scénario de L'homme de la plaine.
    Renaud  de Montbas
    Renaud de Montbas

    28 abonnés 683 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 17 juillet 2021
    "l'homme de la plaine" coche presque toutes les cases du genre. Réalisé en 1955 et en technicolor, on y trouve le heros James Stewart (si classieux qu'il donne l'impression de porter un costar 3 pièces même avec une panoplie de cow boy), de la vengeance (le fil rouge), de la romance sur fond de violons (pas mal), des indiens (2 minutes), des coups de feux, un fils indigne et un marchand d'arme. Il n'empêche que ce western considéré comme un classique du genre est beaucoup trop classique pour moi. Limite mou, dialogues stéréotypés. Un bon western pour l'époque mais le regarder aujourd'hui peut provoquer un léger ennui. 2 / 5
    Oblomov
    Oblomov

    2 abonnés 141 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 1 décembre 2020
    Antony prouve une nouvelle fois que c'est un spécialiste du western... on a le droit a tout les ingrédien du western, des indiens, de la vengeance, une jolie femme et bien sur un cow boy solitaire. La naration a beaucoup de péripétie et il y a de jolie cadre. Pas un chef d'oeuvre mais on passe un bon moment.
    Chaîne 42
    Chaîne 42

    96 abonnés 2 926 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 novembre 2020
    James Stewart a cette apparence étonnante qui inspire la gentillesse, non l'assurance, ni la force, ni le charisme mais la gentillesse et c'est le rôle phare qu'il tient dans différents films comme celui-ci. Il a le rôle titre et c'est bien lui qui apparait pendant presque tout le film avec son respect des autres et sa recherche de la vérité et même s'il joue un personnage tourmenté et qui ne se dévoile pas. Sincérité et gentillesse on a du mal à lui trouver des défauts, alors peut être une certaine maladresse, un peu irascible et borné mais cela parait si peu. Bref l'histoire elle même tout en ayant un minimum d'astuce vaut surtout par lui et les personnages qui peuvent graviter autour de lui. spoiler: L'essence de cela est prégnant, aucun des meurtres qui font partie de cette histoire de pouvoir et de folie ne sont fait par lui c'est dire si son personnage devait être préservé alors même que l'on sait en fin de film qu'il est capitaine dans l'armée.
    . Le réalisateur exploite bien ce caractère plus ou moins consciemment dans un western typique et atypique à la fois comme une originalité forte par contre sans doute un peu trop subtile pour un large public.
    Hotinhere
    Hotinhere

    421 abonnés 4 743 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 juin 2020
    Un beau western à l'ancienne, aux paysages somptueux, et au scénario sombre aux airs de tragédie grecque mais manquant un peu d'intensité, qui s'apprécie comme une madeleine de Proust.
    bobmorane63
    bobmorane63

    154 abonnés 1 898 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 mai 2020
    Dernière collaboration des cinq fameux Westerns entre le cinéaste Anthony Mann et sa vedette James Stewart qui est ici une fois de plus un chef d'oeuvre !! "L'homme de la plaine" raconte l'histoire d'un Cowboy qui arrive avec ses hommes et son troupeau dans un patelin mais qui est en secret là pour venger la mort de son frère tué par un Apache. L'équipe se fait attaquer par des hommes de main d'un puissant propriétaire du coin sans que ce dernier en soit responsable, plus est son fils naturel et son fils adoptif qui sont méchants. J'ai beaucoup aimé ce Western qui peut faire partie des pépites du genre de l'age d'or d'Hollywood avec des paysages désertiques qui sont magnifiques aidé par une belle photographie qui rend l'image agréable. Le scénario est bien construit et réserve des surprises . James Stewart est une fois de plus grandiose avec, à ses cotés, un trés bon Arthur Kennedy et un remarquable casting. Un Must du genre.
    Play it again, Sam
    Play it again, Sam

    7 abonnés 278 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 29 mars 2020
    Dernier des huit films (dont cinq westerns) réalisés par Anthony Mann avec James Stewart, « L’Homme de la plaine » est souvent considéré comme l’apothéose de leur collaboration. Ce n’est pourtant pas dans ce western ultra-classique (la venue d’un étranger dans une ville pour y exécuter sa vengeance en la délestant du tyran qui y règne en maître) qu’Anthony Mann se montre le plus à l’aise. S’il bénéficie ici du CinemaScope et excelle dans les scènes d’action se déroulant dans de vastes espaces, le scénario ne se prête qu’à peu de scènes de ce genre. On est loin ici des « Affameurs », de « Je suis un aventurier », de « L’Appât » et de « Winchester 73 » où James Stewart sillonne les grands espaces en même temps que l’intrigue se déroule.
    En conséquence, on ne retrouve pas le souffle épique de ces quatre autres titres dans celui-ci et la qualité du film en pâtit largement. Peu à l’aise avec les portraits psychologiques, Anthony Mann peine à retrouver le rythme échevelé de ses précédentes réalisations. Le classicisme du film semble, en outre, un véritable exercice de style. Tout est convenu, carré, à sa place et l’intrigue se déroule donc sans surprise jusqu’à un duel final plutôt décevant.
    Le film ne manque cependant pas de qualités. Anthony Mann propose un film net et sans bavure, l’intrigue est bien menée, certaines scènes sont saisissantes et James Stewart est fidèle à lui-même en cow-boy solitaire, honnête, droit et têtu. En somme, cet « Homme de la plaine » est une parfaite illustration du western classique à l’Américaine remplissant le cahier des charges (on a même droit aux Indiens et à une intrigue sentimentale qui a le mérite de prendre peu de place dans l’ensemble).
    Si ce classicisme est ce qui fait la renommée de ce western, on regrettera, au contraire, son manque de personnalité et, surtout, son trop faible souffle épique. Un film, au final, presque trop propre sur lui pour être aussi passionnant que les précédentes œuvres de Mann qui sacrifiaient parfois la maîtrise du récit à une action qui savait dire beaucoup de choses de ses personnages. Bref, tout ceci manque un peu d’âme même si c’est extrêmement bien fait.
    Y Leca
    Y Leca

    20 abonnés 905 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 18 décembre 2019
    Un autre western qui a mal vieilli. Scénario prévisible, mort de l'attaquant au couteau inexpliquée, erreurs de montage (poursuite nocturne qui passe plein soleil), longueurs initiales puis fin expédiée. Un Anthont Mann surfait. Ne vaut que pour James Stewart.
    Ducerceau
    Ducerceau

    11 abonnés 556 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 23 octobre 2019
    Un vrai western à l'ancienne de la grande époque. Avec un scénario alambiqué dans de beaux paysages très différents de Monuments Valley.
    riverainpsy
    riverainpsy

    22 abonnés 384 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 octobre 2019
    Grand western classique , proche d'une tragédie grecque, avec en toile de fond les beaux paysages du Nouveau-Mexique. La quintessence d'un genre (et d'une époque : c'est sans doute là que peut se situer le défaut aujourd'hui ) .
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