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    Le Prisonnier d'Alcatraz
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    26 critiques spectateurs

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    Papy
    Papy

    2 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 31 décembre 2023
    N'hésitez pas à voir ce film avec Burt Lancaster, il est basé sur une histoire vraie, et comme bien souvent, la réalité dépasse la fiction.
    Y Leca
    Y Leca

    20 abonnés 903 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 janvier 2023
    Grand film. Très long, mais c'est ce qu'il faut pour traduire la réclusion et la rédemption par la science d'un criminel condamné à perpétuité. Burt Lancaster est simplement immense.
    Hotinhere
    Hotinhere

    413 abonnés 4 735 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 3 janvier 2023
    Inspiré d’une histoire vraie, un drame carcéral un peu long mais émouvant sur le destin d’un prisonnier à vie rebelle qui trouvera sa rédemption au fil du temps via sa passion pour les oiseaux, porté par l’interprétation puissante de Lancaster, accompagné par un casting solide. 3,25
    Uchroniqueur
    Uchroniqueur

    111 abonnés 2 272 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 31 mai 2022
    "Le Prisonnier d’Alcatraz" ( titre original : Birdman of Alcatraz) film autobiographique américain réalisé par John Frankenheimer et sorti en 1962.
    Film adapté de la biographie de Roberd Stroud, publiée en 1955, écrite par Thomas E. Gaddis, dont le rôle est interprété dans le film.
    Roberd Stroud décède 1 an après la sortie du film à l'âge de 73 ans.
    Un parcours atypique, un homme qui va jusqu'au bout de tout.
    Un bon film, bien réalisé, d'une durée généreuse,bonne narration et belle affiche : Burt Lancaster, Karl Malden et Telly Savalas. Du bon cinéma !
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    578 abonnés 2 748 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 février 2021
    Birdman of Alcatraz aborde la détention de son prisonnier comme un prisme pour mieux interroger la liberté et sa signification, l’oiseau sauvé des eaux revenant à terme dans la cellule pour y retrouver son père et seul compagnon de voyage le long de cette longue route qu’est l’existence. Tous les personnages environnant Stroud apparaissent enfermés dans une obsession : Shoemaker s’efforce de prouver sa culpabilité et d’aggraver sa peine, si bien qu’il finit par devenir involontairement un intime, presque un camarade ; la mère remue ciel et terre pour sauver son fils ; Stella s’éprend du détenu au point de passer sa vie à attendre une grâce qui jamais ne viendra ; Stroud lui-même se passionne pour l’ornithologie. Ce faisant, John Frankenheimer et son scénariste insistent sur la nécessité qu’a l’homme de se consacrer à une tâche comme un capitaine tient le gouvernail de son bateau : passions et obsessions constituent un biais par lequel vivre sa vie en se détournant de la mort. L’humain est un condamné à perpétuité en attente du jugement final qui, il l’espère, le délivrera. La liberté n’est qu’illusoire. Nul hasard, par conséquent, si le long métrage insère la maladie dans les cages de ses oiseaux : chaque décès raccorde Stroud à la finitude de sa condition et le louvoiement incessant avec une mort que chaque jugement peut accélérer. Birdman of Alcatraz articule donc une dénonciation de la séquestration à une réflexion sur la mort en général : l’espace carcéral apparaît tel un mouroir paradoxal qui fait prendre conscience au prisonnier de sa fin pour mieux l’inviter à célébrer chaque jour comme s’il était son dernier. Frankenheimer, en guise de clausule, oppose le monde de la prison à celui de la télévision, nouveauté qui a vu le jour pendant les décennies de mise au ban de la société dudit prisonnier. Deux mondes en porte-à-faux, le premier révélant l’individu à lui-même, le second le tenant à l’écart par un gavage d’images inertes. Sans d’ailleurs savoir ce qu’est la télévision, Stroud assure, en bon porte-voix du cinéaste, n’avoir rien manqué... Une œuvre intelligente et forte qui dispose d’une magnifique photographie et d’acteurs magistraux. Un grand film, malgré quelques longueurs.
    pierrre s.
    pierrre s.

    348 abonnés 3 235 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 décembre 2019
    Un beau film qui traverse le temps et continue de nous faire réfléchir aujourd'hui encore. De plus il a le mérite de nous dépeindre la vie carcérale sous un jour peu montré.
    rogerwaters
    rogerwaters

    126 abonnés 1 089 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 21 juillet 2018
    Magnifique film sur le droit à la réinsertion, Le prisonnier d’Alcatraz est clairement une œuvre hollywoodienne orientée qui embellit au maximum le destin réel de ce Robert Stroud, souvent décrit comme une bête assoiffée de sang. Certes, le début du film montre Lancaster comme un être hors de contrôle, mais tout ceci est bien vite éclipsé pour se concentrer sur les éléments plus poétiques, et notamment cette relation privilégiée qui relie l’homme et ses oiseaux. Car finalement, plus qu’un biopic sur Stroud, le film a le mérite de traiter de l’enfermement dans une cellule. Même si le réalisateur parvient à aérer ses scènes par des artifices brillants, le spectateur ressent peu à peu les effets de la claustration. Dès lors, l’animal apparaît comme la seule échappatoire possible pour le prisonnier. D’une grande intelligence, mais aussi d’une grande sensibilité, le long-métrage est sans nul doute possible le meilleur film de son réalisateur (d’ailleurs arrivé en remplacement de Charles Crichton), et une grande œuvre tout court.
    Eselce
    Eselce

    1 197 abonnés 4 238 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 14 janvier 2016
    Une bonne surprise. Ce détenu dépeint comme un meurtrier dans la vraie vie est ici, sans doute, beaucoup plus humain à partir du moment où il se met à apprivoiser et élever des oiseaux à la suite d'une promenade sous la pluie. Il s'agit d'une vie très particulière puisqu'il va passer plusieurs décennies à l'isolement avec ses oiseaux et apprendre à mieux les connaître. Ce que je reproche au film est le manque d'information donnée sur le prisonnier avant son incarcération. On voit pourquoi il est mis à l'isolement et les années qui s'écoulent et l'on se doute de comment cela se termine. Il ne joue pas non plus sur les clichés des films sur les prisons avec des bons et des méchants. Il n'y a pas d'abus quant aux comportements des gardiens et des prisonniers. On y voit surtout une légère partie du système carcéral des prisons américaines et l'occupation des prisonniers durant leur temps libre qui semble être une éternité dont seul les marques du temps et les rides font office de chronomètre. Magnifique et interprété avec brio. Il se voit tout seul, surtout si l'on apprécie les oiseaux.
    TTNOUGAT
    TTNOUGAT

    514 abonnés 2 526 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 novembre 2015
    Vu comme une œuvre de fiction, c'est un beau film à la fois par le scénario, la mise en scène et  par l'interprétation de Burt Lancaster qui prouve ici qu'il peut tout jouer, ce qui fait de lui, sans contestation possible, un candidat au titre de''plus grand acteur de cinéma'' du vingtième siècle. Vu  comme un document, ce serait une vraie tromperie car la conduite du héros dans la vraie vie était loin d'être aussi exemplaire. Or, le film à entrainé à sa sortie une vague de pétitions pour faire sortir Stroud de son dernier lieu de prisonnier. Le film se compose de trois partie, une introduction un peu longue, un passage central consacré aux oiseaux tout à fait remarquable et une partie finale comportant une révolte qui a peu sa place dans cette histoire. Les deux femmes sont également légèrement décalées par rapport au fond si ce n'est pour laisser deviner la probable homosexualité de Stroud, on pourrait largement se passer d'elles. Karl Malden est parfait comme d'habitude dans un rôle de dur qu'il affectionne et Neville Brand à le ton juste. Il faut savoir que le rythme du film est lent mais que cette lenteur dégage une grande émotion essentiellement due au talent de Lancaster, les gros plans sur lui sont très nombreux et ses états d'âme parfaitement rendus. En fait, il se passe toujours quelque chose avec lui, il avait même poussé le professionnalisme jusqu'à rencontrer Robert Stroud avent le tournage. A la fin du film, on aperçoit brièvement le personnage de Thomas Gaddis qui avait écrit le roman ''Birdman of Alcatraz'' quelques années auparavant. Le prisonnier d'Alcatraz constitue un des exemples les plus édifiants de l'influence involontaire que peut avoir un film sur l'opinion publique.
    Marc Taton (Belgique)
    Marc Taton (Belgique)

    25 abonnés 510 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 25 septembre 2015
    Même si le profil de Robert Stroud dépeint dans cette réalisation de John Frankenheimer ne correspond probablement pas tout à fait à la réalité, "Le prisonnier d' Alcatraz" reste un excellent film qui regorge de qualités. Un voyage de deux heures et demie (enfermé aux cotés de Burt Lancaster) qui ne se refuse pas !
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 004 abonnés 4 089 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 28 juillet 2014
    Film de prison qui avait fait sensation en son temps relatant de manière romancée la vie d’un détenu deux fois criminel (dont une fois en prison) qui se réhabilite par une passion fortuite pour les oiseaux qui le rendra célèbre après être devenu un expert mondial en pathologie aviaire. Tout ceci est montré avec une certaine emphase qui nuit aujourd’hui à la véracité du propos. Malgré tout on ne peut qu’être ému à voir Lancaster bête fauve en cage apprendre le goût de l’autre grâce à un petit oiseau trouvé au hasard lors d’une promenade dans la cour de la prison. Les rapports de Lancaster avec son directeur de prison joué par un Karl Malden magistral sont teintés de respect mutuel et d’incompréhension et jalonnent un récit qui au final est un peu long notamment avec le rajout de la partie un peu surfaite où le héros se lie avec une femme qui correspond avec lui et qui deviendra son épouse se clôturant par une mutinerie. Le thème soulevé de la condition des détenus reste fort et d’actuel mais il est ici traité de façon un peu trop manichéenne. Reste la prestation des acteurs.
    romain G.
    romain G.

    12 abonnés 119 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 2 avril 2014
    Je suis étonné qu'aucune critique d'Allociné ne relève la portée politique de ce film. Évidemment, et malheureusement, il ne s'agit pas simplement d'une histoire hors du commun, mais d'une critique du système judiciaire américain. Et non, décidément non, ce prisonnier hors du commun, que l'on aimerait voir comme une victime de la société, on ne peut oublier ce qu'il est : un meurtrier. Ce qui me dérange dans ce genre de film, c'est la tentative de manipuler le spectateur, malgré les limites manifestes de la démonstration idéologique. Jusqu'à cette scène hallucinante où le réalisateur nous fait larmoyer sur la mort d'un moineau, alors qu'auparavant le personnage principal a tué sans remords un gardien de prison qui semblait pourtant avoir fait son travail... Décevant de ce point de vue.
    Yetcha
    Yetcha

    741 abonnés 4 268 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 9 octobre 2013
    La première demi-heure est assez pénible car le plantage du décor est long et fastidieux. C'est un peu dommage car la suite est beaucoup plus passionnante et bien réalisée. Lancaster est excellent et la vague de sympathie du public pour Stroud après la sortie du film de son vivant est une belle histoire. Un très bon film que son âge a plutôt tendance à amener vers le moins bon mais il reste encore bien meilleur et intéressant que bon nombre de productions actuelles.
    ptiverat
    ptiverat

    11 abonnés 80 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 mai 2013
    Une vie transposée au cinéma ainsi qu'un huis-clos donnent rarement un bon film! Ici étonnamment les 2 fonctionnent et se servent l'un l'autre. La vie réelle est rarement intéressante transposée au ciné à moins qu'elle soit exceptionnelle ( Schlinder, Frank Abagnale (catch me if you can) Napoléon, Alexandre etc...) et même intéressante le film peut être gâché! Quant au huis-clos il fonctionne rarement. Le cinéma, contrairement au théâtre, ne se prête guère à l'étouffement et il appelle l'air, l'ouverture, les plans d'ensemble.
    Et ce film contient tout cela sans que nous soyons ennuyé par une vie carcérale et le huis-clos qu'il apporte. Faut dire que la vie de Robert Stroud n'est pas petite contrairement à sa cellule. Sa révolte non plus ne se tarit pas et il a beau mettre les oiseaux en cage je suis sur que Prévert dans ces circonstances approuverait!
    Dans cette histoire lente mais de plus en plus prenante où le scénario reste ancré dans une époque et à son sujet, il ne manque que le déploiement d'une vision (Chaplin le Dictateur), d'un rêve (la société des poètes disparus) , d'une poésie (Bienvenu Mister Chance) voire d'un mystère (rosebud dans Citizen Kane) qui pourraient libérer l'humanité de ses cages! Avec cela nous aurions eu un chef-d'oeuvre!
    cylon86
    cylon86

    2 250 abonnés 4 430 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 mars 2013
    Tiré d'une histoire vraie, ce film a tout pour séduire : Robert Stroud, condamné pour deux meurtres à perpétuité, se prend de passion pour l'ornithologie dans son isolement, écrit des livres et crée un commerce, bravant les institutions. C'est une belle histoire (certes romancée car le vrai Robert Stroud était apparemment loin d'avoir la bienveillance de Burt Lancaster) que Frankenheimer met en scène avec un talent certain, ses plans étant d'une précision incroyable. On sent toutefois dans le scénario que certains passages sont faits pour nous émouvoir et cela ne fonctionne pas toujours très bien, le tout étant écrit avec maladresse notamment la présence de la voix-off, vraiment inutile. Mais il y a Burt Lancaster (également producteur) qui est investi à fond dans son rôle, donnant tout son humanisme à ce personnage au début antipathique. Ses joutes verbales avec Karl Malden, représentant l’État et donc ce que Stroud défie, sont d'ailleurs parmi les meilleures du film.
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