Derniers Avis : Permis de tuer - Page 12

Voilà un James Bond bien différent de tout ceux que l'on a put voir précédemment. Cette fois-ci, Bond ne se bat lus pour Sa Majesté, mais pour lui-même. A ajouté à cela, une violence plutôt bien prononcée, pour un James Bond, avec cette fois-ci, un méchant vraimetn méchant, qui se démarque bien de ces prédécésseurs docteurs fou et grands mégalomanes. Pour cette fois, donc, nous avons un James Bond qui se raproche plus d'un film d'action violent, un tantinet mélancolique par moment, et bénéficiant cette fois, à la place des batailles finale vues précédemment, une course-poursuite explosive.
Un très bon film d'action.

Un James Bond qui n'en est pas un : vendetta, cruauté. Dalton n'était peut-être pas vraiment l'homme de la situation....

Un James Bond intéressant joué par un Timothy Dalton qui est crédible même s'il ne fait pas oublier Roger Moore. Les James Bond girls sont sympathiques. L'intrigue vraiment fouillée est mise en images de façon spectaculaire. Franchement un de mes James Bond préférés.

ce bond est une horreur , il fracasse toute la serie avec des cliches rates , il flingue dalton, il flingue leiter,il flingue un mechant qui fait honte a la serie .bref du niveau de moonraker.
si on vous l achete flinguez la personne qui vous l offre ou telechargez le car ca vaut pas un clou ........1 sur 20

Episode athypique, Bond n'a pas de mission, Bond se fait virer, Bond fait sa propre Vendetta. Le casting est excellent benicio del toro en tête, la james bond girl pam bouvier est excellente, elle eclipse completement la maitesse de sanchez. Pour notre grand bonheur Q a un rôle étoffé dans ce film (il se montre plus que jamais son attachement pour 007). Ce film est donc très bon et personne ne pouvait prévoir les années noires que connaitra la série par la suite, probleme judiciaire, 6 ans sans films, Dalton jetant l'éponge fatigué d'attendre, et l'arrivée de Brosnan qui apres des debuts prometeurs se noiera dans la platitude. Un grand bravo tout de même à Dalton, qui ne fut Bond que 2 fois mais qui a marqué la série par sa volonté du retour aux sources, celles de Ian fleming.

Sûrement l'épisode le plus noir et le plus réaliste de la saga. Timothy Dalton campe le vrai James Bond imaginé par Ian Fleming : froid, sans cœur, séducteur malgré lui, colérique et déterminé, traversant ici une dure épreuve... Il est en effet mis à pied par son supérieur quand il chercher à venger son ami de toujours Felix Leiter, mutilé par un dangereux baron de la drogue. Son permis de tuer retiré et abandonné par le MI6, Bond va devoir faire cavalier seul (ou presque) pour infiltrer le cartel du meurtrier de son ami. Une enquête à part donc pour ce scénario qui s'éloigne radicalement des précédents films à cause de sa noirceur et sa violence.. Mis en scène par un John Glen bien plus dynamique qu'à l'accoutumée, Permis de tuer nous offre une aventure rythmée, élégante, réaliste, avec un méchant patibulaire campé par l'imposant Robert Davi (Le Contrat), baron de la drogue sadique et machiste qui n'hésite pas à mutiler, tuer ou remettre en place ses maîtresses d'un coup de fouet. Nous suivons donc un Bond plus sérieux que jamais, faisant fi des règles et jouant ainsi de son charme pour s'infiltrer dans le milieu de l'héroïne cubain, séduire la femme du chef et tuer les gêneurs avec une brutalité inhabituelle, l'agent 007 étant prêt à tout pour avoir la peau de ce détestable antagoniste sans foi ni loi. La deuxième et dernière apparition de Timothy Dalton dans le rôle de l'agent secret est donc une réussite, côtoyant l'excellente Carey Lowell, une James Bond girl moins nunuche que ses prédécesseuses mais tout aussi sexy, et paradoxalement la bimbo sans talent Talisa Soto. Ponctué d'un certain humour et poussant la psychologie de ses personnages légèrement plus loin (on notera la relation amicale entre Bond et « Q » ou encore la référence à la défunte femme de ce dernier). Oubliant quelque peu les gadgets mais se rattrapant sur des scènes d'action spectaculaires (dont une course-poursuite finale en camions des plus virulentes), Permis de tuer peut être déroutant au premier abord, le film ne jouant vraiment pas des codes habituels de la série, mais s'avère au final l'un des meilleurs Bond au scénario plus original et à l'atmosphère moins clichée.

En Floride, James Bond s’apprête à assister au mariage de son ami Felix Leiter (agent secret pour le compte de la CIA) lorsqu’ils apprennent au même moment qu’un important baron de la drogue vient d’atterrir sur le sol américain. Ils décident de l’intercepter mais rien ne va se passer comme prévu…

Deuxième et dernière participation pour Timothy Dalton dans le costume de l’agent 007. A cette occasion, on retrouve de nouveau John Glen derrière la caméra. Oubliez l’humour lourdingue à la Roger Moore, cette fois-ci, on se retrouve devant un James Bond bien plus sérieux qu’à son habitude et dans une histoire plus sombre aussi.

James Bond doit faire face à un trafiquant de drogue sans scrupule, spoiler: allant jusqu’à faire assassiner Felix Leiter et son épouse,
contraignant Bond à une vengeance musclée, quitte à se mettre à dos M qui le menace de lui retirer son permis de tuer. On se retrouve face à un James Bond torturé et violent, prêt à tout pour se venger. Pour ce 16ème opus de la saga, Permis de tuer (1989) détonne par sa violence aussi bien physique que verbale spoiler: (Felix Leiter se fait dévorer par un requin, Dario fini broyer vivant et Milton Krest à la tête qui explose dans un caisson hyperbare).


Aucun temps mort pendant 2h et ce, dès la scène de pré-générique. Timothy Dalton effectuant la plupart de ses cascades, cela nous évite d’avoir droit à des scènes tournées en transparence, comme cela était le cas avec Sean Connery ou Roger Moore. Cascades aériennes, maritimes, sous-marines ou routières, on en a clairement pour notre argent et les décors invitent au dépaysement.

Côté distribution, là aussi ils ont fait les choses en grand, puisqu’on y retrouve dans les rôles principaux Robert Davi, Benicio del Toro (dans l’un de ses tous premiers films, à seulement 22ans) et Pam Bouvier dans le rôle de la James Bond girl. Timothy Dalton incarne à merveille l’agent 007, difficile de ne pas admettre que c’est un véritable gâchis que sa participation puisse s’arrêter ici, sa prestation nous offre un avant-goût de ce que fera Daniel Craig 15ans plus tard avec Casino Royale (2006).

(critique rédigée en 2008, réactualisée en 2022)

● http://bit.ly/CinephileNostalGeek ● http://twitter.com/B_Renger ●

Depuis quelques semaines, je regarde tous les Bond.
Et je dois dire que dans mon cœur, celui-ci va désormais occuper un place prépondérante.
En effet, je le trouve atypique et orienté action au premier abord, comme tout le monde.
Mais il y a des scènes d'infiltration, des gadgets marqués fin 80's qui sont géniaux, Q a une place intéressante dans l'histoire, n'étant plus terré dans son labo. Les Bond Girls sont jolie, ne se ressemblent pas, et jalouses, c'est une situation cocasse et inhabituelle.
De plus, Bond n'agit pas pour la Reine, mais pour venger Félix Leiter son ami, et se montre du coup plus féroce, moins policé, comme un vrai agent en somme.
Benicio del Toro est pas mal, assez cinglé, comme Max Zorin ou May Day dans A View To A Kill. Le big boss est lui aussi très cruel, et Bond semble répondre a la violence par la violence.
L'esthétique est géniale, marquée mais pas vieillotte, le Palais est superbe dans son genre.
La course poursuite finale rappelle encore une fois A View To A Kill,avec l'aspect impressionant.
La drogue est un theme assez peu usité dans les 007, et force est de constater qu'elle a tres bien été incorporée dans ce film qui a vu dans un laps de quelques années sortir des Die Hard, Van Damme, Schwarzy et consors en guise de concurrents.
Dalton est décrit par de nombreuses personnes comme peu charismatique, mais force est de constater qu'il tient parfaitement la route et le role.
Un James Bond génial, plus réaliste, comme un Casino Royale avant l'heure.

Un James Bond de très grande qualité avec Mr Dalton en grande forme . Plus violent que les autres , Bond est impitoyable dans sa vendetta contre Sanchez pour Venger Felix , dévoré par les requins ... Excellent tout simplement !

Un des James Bonds les plus violents et les plus impressionnants en terme d'action, un excellent divertissement!!

Une superbe James Bond Girl (en la personne de Carey Lowell), un méchant vraiment très méchant, des scènes d'action violentes mais efficaces, cela donne un très bon James Bond qui ne connut malheureusement pas le succès escompté.

Le meileur James Bond avec Casino Royal avec bcp plus de classe.

Ce deuxième james bond de timolthy dalton est encore meilleur que son premier bond.Plus de violence,un des plus violents de la saga pour moi avec ce célèbre sanchez,impitoyable face à bond et ses amis.Encore une fois un bond dont on ne se lasse pas avec des scènes toutes aussi géniales les unes que les autres.Conseil que je vous donne,regardez le.

Bonderie numéro 16. Licence to Kill est le premier opus à ne pas être adapté d’une œuvre de Fleming et conjointement le premier film de la série à écoper d’une interdiction aux moins de treize ans aux Etats-Unis. Vous l’aurez compris, ce film se démarque pas mal des épisodes précédents. Il est par ailleurs réputé pour être l’opus le plus violent et le plus dur de la série, ce que ne démentent pas certaines scènes inhabituelles où 007 élimine de sang froid plusieurs adversaires, qui plus est au moyen d’un harpon ou secondé par un requin. Quant au récit, à l’image d’un héros plus que jamais en solo, il s’éloigne pas mal de la trame « bondienne » habituelle pour, comme le précédent, s’orienter davantage vers le gros film d’action mâtiné d’espionnage et de cascades en tous genres. C’est désormais chose sûre, le SPECTRE n’est plus qu’un lointain souvenir dans la saga. Concernant l’action, ce n’est généralement pas très subtil. Et qui dit film d’action dit méchants stéréotypés piochés dans une galerie de seconds couteaux. Ici le choix s’est porté sur Robert Davi, remarqué l’année précédente pour un petit rôle dans Die Hard, on retrouve également Benicio del Toro dans un de ses tout premier rôle, forcément une petite frappe (à 21 ans lors du tournage il reste à ce jour le plus jeune adversaire de James Bond). Du côté des filles, c’est par contre une fois de plus le désert. Elles sont superbes, au point que Bond les fait chavirer toutes les deux et en oublierait presque sa vengeance dans le palace de son pire ennemi, mais ne servent à rien. Résultat, un film agréable mais sans plus. Ce n’est plus vraiment du James Bond mais les amateurs des eighties apprécieront.

"Licence to kill"(1989).Ah,mon James Bond numéro 1!Bond,toujours représenté par Timothy Dalton,bascule du côté obscur.Ulcéré par la mort de son meilleur ami,il se lançe dans une quête de vengeance éperdue,lâché par les agents du MI-6,traquant l'ennemi sur ses terres,une dictacture sud-américaine.Corruption à tous les étages,évangélisme de bas étage,général fantôche.Critique établie du fonctionnement des pays latinos.Un parrain de la drogue règne sur son empire,entouré d'un véritable commando,et n'hésite pas à dépressuriser un gars qui l'a trahi!Sans se douter que Bond,dangereux et enragé,arrive.Cette fois,on est dans l'espionnage pur et dur.Rien à voir avec les facéties de Roger Moore ou le raffinement de Sean Connery.Dalton donne une vraie âpreté à Bond,qui s'éloigne de l'esprit conforme,mais gagne tellement en maturité et densité.Courtisé par 2 femmes séduisantes,Bond finira par choisir lors d'une belle scène.La BO très bonne.L'orchestration du final,trucks contre trucks,laisse une magnifique impression.Première classe mondiale.