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    L'Empereur du Nord
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    3,6
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    19 critiques spectateurs

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    sentenza
    sentenza

    17 abonnés 30 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 29 octobre 2022
    Malgré un cadre alléchant et bien retranscrit qui nous plante dans l'Amérique de la Grande dépression, le film s'essouffle rapidement et tend même à se répéter avec les affrontements tendus entre Lee Marvin et Ernest Borgnine. Pour ne rien rattraper, le jeu du jeune Keith Carradine n'est pas bon et fait tendre le film vers un banal feuilleton.
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    3 423 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 7 juin 2021
    L'histoire suit deux clochards Marvin et un débutant Carradine qui essaient de monter dans le train d'un méchant conducteur (Borginine) pour Portland. Le conducteur nommé Shack est réputé parmi les clochards du rail comme étant le plus méchant qui soit et n'a aucun scrupule à tuer le pique-assiette s'il le doit. Il utilise diverses armes pour empêcher les vagabonds d'entrer dans son train dont certaines sont assez ingénieuses comme attacher un poids de fenêtre à une corde et le faire passer sous le wagon pour qu'il rebondisse sur les traverses et assomme un homme qui se trouve sous un wagon couvert. En ce qui concerne l'intrigue il n'y a pas grand-chose dans ce film. Les trois hommes jouent au chat et à la souris dans le train et rencontrent toutes sortes de vagabonds en chemin. Ce qui fait que ce film vaut la peine d'être vu c'est de voir Borginine s'enflammer quand il s'énerve. Il passe du statut de vieux grincheux à celui de vieux grincheux furieux et déterminé à détruire donc deux étoiles pour Borginine les autres acteurs n'en méritent même pas une...
    gregbox51
    gregbox51

    28 abonnés 1 032 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 26 juin 2017
    E. Borgnine incarne son personnage de conducteur sadique avec panache, mais franchement, de l'action dans et autour d'un train pendant 1h50 devient rapidement longuet. C'est lent, vite limité et ennuyeux....
    chrischambers86
    chrischambers86

    12 014 abonnés 12 157 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 15 février 2017
    La grande dèpression dans l'Oregon de 1933 selon Robert Aldrich! Le grand cinèaste de l'affrontement reprend ici un projet de la Fox, au dèpart dèvolu à Sam Peckinpah qui avait finalement dèclinè pour tourner "Pat Garrett & Billy the Kid". Une crise èconomique qui a constituèe la toile de fond de nombreux films où le chemin de fer est une fois de plus très convoitè dans cette immense Amèrique du Nord pour aller chercher fortune ailleurs! Pas souvent, cependant, la crise èconomique a ètè montrèe avec tant de violence et de lyrisme que dans ce film efficace et sans temps mort! Lee Marvin est ici en grande forme, incarnant excellemment cet « empereur du Nord » , souverain absolu des vagabonds sculptès dans la dètermination qui sillonnent le pays en se glissant dans des trains de marchandises! Mais l'un de ses trains est contrôlè par un autre « monarque » , Ernest Borgnine, parfait en brute sanguinaire! Entre le vagabond hèroïque et le chef de train, la lutte sera sans merci! Une opposition brut de dècoffrage filmèe dans les splendides paysages de l'Oregon avec, cerise sur le gâteau, un duel final d'anthologie à coups de chaîne, de poutre en bois et de hache...
    CH1218
    CH1218

    155 abonnés 2 754 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 10 juin 2018
    Lee Marvin vs Ernest Borgnine. Sous la direction de Robert Aldrich, le face-à-face viril entre deux gueules du cinéma US apparaît un peu tiède par manque d’épaisseur et une construction linéaire qui n’a que pour but de nous emmener vers l’inévitable affrontement final. « l’Empereur du Nord » nous divertit malgré tout par quelques bons moments autour d’un genre qui n’a pas souvent les faveurs des studios.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 31 août 2014
    Une ambiance plutôt réussie dommage que le scénario soit si limité. Ils auraient pu trouvé quelques éléments en plus pour pimenter la sauce.
    Julien D
    Julien D

    1 107 abonnés 3 461 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 3 août 2014
    On pourra regretter que le projet d’adapter le roman de Leon Ray Livingston n’ait pas, comme il avait été prévu, été réalisé par Sam Peckinpah mais par Robert Aldrich, un réalisateur que l’on sait talentueux pour filmer la virilté exacerbé de ses acteurs et les grands espaces mais moins à même de transcender la violence de ses personnages. Evidemment les visages patibulaires des protagonistes, à commencer par ceux incarnés par Lee Marvin et Ernest Borgnine, donnent un ton brutal à la lutte que mènent les tribardeurs pour profiter de leur liberté au cœur de ses grands trains qui traversent une Amérique en train à la grande dépression des années 30. L'Empereur du Nord est donc bien à une belle métaphore d’un pays socialement dévasté mais désireux de vivre ses rêves (une thématique illustrée par le magnifique générique d’ouverture) confronté à un système d’une extrême sévérité. Le scénario est un peu léger, et beaucoup trop de scènes s’attardent davantage sur les facéties du charismatique N°1 et une dédramatisation de la situation difficile de ses compagnons de voyage, à défaut de nous faire profiter de leur combat contre le sadique Shack.
    Plume231
    Plume231

    3 488 abonnés 4 639 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 21 juin 2014
    Les instincts primaires de l'homme ne se portent jamais aussi bien que pendant les pires moments de l'Histoire. La Crise économique suite au Krach de 1929 étant un de ceux-là, on sait qu'avec un tel fond et le féroce et cynique Robert Aldrich derrière la caméra on ne va pas avoir un grand moment de tendresse. Les gueules très charismatiques mais qui savent à la perfection se faire peu avenantes de Lee Marvin et d'Ernest Borgnine ne peuvent que le confirmer.
    Ici l'enjeu en lui-même n'a aucun intérêt puisqu'il s'agit d'un banal voyage clandestin en train ; en fait le véritable intérêt réside, et on le devine sans mal, dans l'affrontement sans pitié entre un clochard rusé et dur à cuire, incarné par un Lee Marvin au sommet, et un chef de convoi particulièrement sadique, interprété par un Ernest Borgnine qui prouvait une fois de plus que pour jouer les pires fils de pute il était très fort.
    Tout le cinéma viril et violent de Robert Aldrich, ici pas exempt de longueur et autres scènes inutiles mais très bien représenté par cette oeuvre.
    Raw Moon Show
    Raw Moon Show

    115 abonnés 829 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 28 janvier 2014
    Injustement méconnu... D'abord parmi les grands films de train on évoque souvent le Runaway Train de Konchalovsky mais c'est sans compter sur ce merveilleux Emperor of the North. D'abord casting de malade : Marvin, Borgnine et Carradine. Ensuite l'univers... Un duel à mort à bord d'un train en marche. Ca a l'air d'une histoire basique de cache-cache entre un hors-la-loi plutôt humain et un représentant de cette loi sans grand sens de l'honneur... Et puis le génial Aldrich transcende son propos en faisant de ce film une puissante allégorie de la société moderne où tous les moyens sont bons pour prendre le train en marche du capitalisme coûte que coûte si on ne veut pas finir dans le caniveau... Propos révolutionnaire s'il en fut. Du coup il y a quelque chose ici qui dépasse le simple cadre du film et qui emporte le spectateur. et je ne parle même pas de l'incroyable sens de la mise en scène d'Aldrich. A revoir impérativement. C'est d'la balle !
    Max Rss
    Max Rss

    169 abonnés 1 713 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 mars 2019
    Durant sa carrière, le cinéaste Robert Aldrich s'est essayé à plusieurs genres, mais c'est dans les films d'hommes où la virilité battait son plein qu'il s'illustra particulièrement. Avec «L'empereur du Nord», Aldrich démontre à nouveau sa maîtrise du cinéma que l'on pourrait qualifier de physique. Dans ce film, il met en scène deux gueules, deux grands noms du cinéma américain: Lee Marvin et Ernest Borgnine. L'un est un trimardeur célèbre et respecté, l'autre est un chef de train violent et sanguinaire. Bien entendu, la rencontre entre ces deux acteurs ultra charismatiques va déboucher sur un affrontement d'anthologie. Pour accompagner ce duo, on retrouve un jeune Keith Carradine qui joue un personnage qui a beaucoup de gueule mais qui n'a pas grand chose en dessous de la ceinture et auquel on mettrait bien quelques gifles au travers du museau histoire de le recadrer une bonne fois pour toutes. Lee Marvin, égal à lui même fait parler sa prestance dans le rôle de ce vagabond chevronné. Ernest Borgnine est épatant et plus que crédible dans ce rôle de brute épaisse. Aldrich, comme à son habitude filme bien tout ça et parvient sans mal à instaurer une certaine tension jusqu'à la fin. Un film maîtrisé de bout en bout.
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 009 abonnés 4 091 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 27 août 2021
    Aldrich était le spécialiste des films d’hommes. « L’empereur du Nord » ne déroge pas à la tradition. D’aucuns lui reprocheront son caractère machiste toujours empreint à exalter les prouesses viriles de ses héros. Tout ceci est un peu vrai, mais Aldrich s’évertue au-delà de ce tropisme, à toujours nous montrer l’envers du décor et la part d’humanité derrière la façade de ses personnages. Dans « L’empereur du Nord » jugé à tort comme l’une de ses productions mineures, il brosse un portrait pertinent et acerbe de l’Amérique de la grande crise frappée par le chômage avec sa cohorte de vagabonds jetés sur les routes. De pauvres bougres voyagent à travers le pays à la recherche de petits boulots en tentant souvent au péril de leur vie de monter en marche à bord des trains de marchandise. Comme souvent dans le caractère masculin tout est prétexte à compétition afin de se remplir la tête de mythologie pour dresser des statues à de nouveaux héros. Sur cet aspect, le film est un peu un pendant au célèbre « On achève bien les chevaux » de Sydney Pollack. Tout s’organise donc autour de paris un peu idiots sur la capacité d’untel ou untel à relier un point à un autre du territoire à bord de tel ou tel train. Le must étant de voyager sur le n°19 où sévit un surveillant sadique joué par l’immense Ernest Borgnine. A ce jeu de la mort, Lee Marvin est le meilleur et il entend bien le rester afin de conserver son titre d’Empereur du Nord. Aussi quand un jeune godelureau un peu hâbleur tente de lui ravir la vedette, il rappellera vite le jouvenceau à la dure réalité de cette vie de champion. Mais à vouloir s’incruster le jeune rebelle joué par Keith Carradine, finira par s’attirer les sympathies du vieux dur à cuir qui se prendra à vouloir le former. Le passage de témoin entre les générations n’est pas la partie du film la moins intéressante et Lee Marvin nous montre à cette occasion qu’il savait faire autre chose que de tirer avec son colt ou donner le coup de poing. La scène du combat entre Borgnine et Marvin est assurément le moment de bravoure de ce film rempli d’humanité et se déroulant dans des décors magnifiques. Comme Don Siegel et Samuel Fuller, Robert Aldrich est un cinéaste au talent éclectique à réhabiliter. Heureusement le travail a été entrepris depuis quelques années et le support DVD nous permet de redécouvrir une filmographie embrassant tous les genres avec succès
    Gabriel B
    Gabriel B

    4 abonnés 358 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 19 février 2013
    Une belle reconstitution du monde ferroviaire des années 30, un trio d'acteurs trés bon, cependant le scénario est bien trop léger...
    AMCHI
    AMCHI

    5 057 abonnés 5 934 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 mars 2011
    Si L'Empereur du Nord se déroule durant la grande dépression des années 30 tout ceci est un fond peu exploité qui ne sert que de prétexte pour raconter l'affrontement entre un vagabond des rails et un chef de convoi particulièrement vicieux. L'Empereur du Nord est loin d'être parfait comme son scénario finalement très léger mais malgré tout on accroche à ce film sans problème car L'Empereur du Nord est rythmé (bien que quelques scènes m'ont semblé inutiles) , ce film dégage aussi un certain vent de liberté, on y montre des hommes qui n'ont rien et qui pourtant sont libres de toutes contraintes (seul le cinéma nous donnerait presque envie de devenir clochard) mais c'est surtout le face à face entre ses 2 gueules du 7ème Art Lee Marvin et Ernest Borgnine qui donne tout son sel à L'Empereur du Nord comme le mémorable combat final.
    softy76
    softy76

    22 abonnés 315 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 18 novembre 2010
    un bon petit film de aldrich avec un scénario assez mince mais qui malgré tout se regarde sans problème grâce notamment à ce trio d'acteurs"marvin,borgnine,keith carradine",j'ai beaucoup apprécié la scène de fin.
    halou
    halou

    101 abonnés 1 532 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 novembre 2009
    Dans l'ensemble un bon Aldrich. Simple, certes, mais tellement bien mené.
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