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    L'Homme qui tua Liberty Valance
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    4,0
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    187 critiques spectateurs

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    Flying_Dutch
    Flying_Dutch

    62 abonnés 770 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 13 mai 2011
    John Ford prouva une nouvelle qu'il était capable avec les moyens de l'époque de faire des films grandioses, en retranscrivant avec rigueur une véritable progression de la mise en place de la loi par une violence forcée face au banditisme croissant. Respect
    real-disciple
    real-disciple

    68 abonnés 1 022 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 29 juin 2011
    Un western efficace dans un sublime noir et blanc, avec deux monuments que sont Wayne et Stewart, un film qui faut savourer tellement la réalisation est superbe et l'histoire passionnante. Un des plus grands chef d'oeuvre du western, et aussi un des plus réussie de Ford qui aborde le thème du déclin des héros de l'Ouest, du cheval dépassé par le train, de la légende dépassée par la modernité. Superbe.
    keating
    keating

    49 abonnés 582 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 14 juillet 2010
    "The man who shot Liberty Valance" est un monumental western nostalgique. Le film de john ford nous présente l'Ouest à travers un regard moderne, comme un monde qui disparait. A côté de ce monde, le film présente la civilisation qui en suit : la démocratie et la force de la loi. Ces deux mondes différents sont au coeur de la tension dramatique de cette oeuvre, représentés chacun par un personnage inoubliable. A ma droite, James Stewart, avocat idéaliste qui veut installer la démocratie, et que tout le monde croit fou parce qu'il refuse un flingue et espère seulement "mettre Liberty Valance en prison". A ma gauche, John Wayne, celui qui ne se sépare jamais de son arme et prêt à jouer les héros. Ces deux-là se réunissent autour du méchant (et l'un des meilleurs méchants de toute l'histoire du western) Liberty, incarné par un génial Lee Marvin. John Ford réussit ici à faire à la fois un western grandiose et un portrait très juste de l'Amérique et son dilemme entre loi et violence. Un grand film tragique sur la mort de l'Ouest, et donc la mort du western au cinéma en quelque sorte. John Ford a réussi son testament
    Chaîne 42
    Chaîne 42

    97 abonnés 2 929 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 12 août 2022
    Grand classique de la période du western avec un groupe d'acteurs vedettes. Un peu trop formaté dans des scènes démonstratives de virilité continuelle.
    Nicolas L.
    Nicolas L.

    66 abonnés 1 658 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 janvier 2018
    Très bon western. Film intelligent. Et James Stewart est géant (au sens figuré comme au sens propre d'ailleurs...)
    Newstrum
    Newstrum

    31 abonnés 261 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 10 janvier 2017
    A la fois western classique, réflexion sur l'Histoire et la fabrication des mythes et histoire d'amour où une femme hésite entre deux hommes, L'Homme qui tua Liberty Valance est peut-être le film le plus émouvant et mélancolique du grand John Ford. Sublime. Voir ma critique complète sur mon blog :
    Alolfer
    Alolfer

    87 abonnés 883 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 février 2023
    Quel film de John Ford ! Deux légendes (John Wayne et James Stewart) nous montre leur talent dans un film très réussi ! Une histoire très intéressante ! Grand film !
    SuperMadara
    SuperMadara

    73 abonnés 935 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 décembre 2012
    Un très beau western, qui fait primer les dialogues et le sens profond de son intrigue a de simples fusillades, un western épuré et assez touchant. Grand flashback, le scénario raconte l'arrivée a Shinbone du sénateur Ransom Stoddard pour assister aux funérailles d'un certain Tom Doniphon, et qui va raconter son histoire dans cette petite ville de l'Ouest a un journaliste, l'histoire de l'homme qui tua Liberty Valance, une intrigue vraiment intelligente et pleine de subtilités, qui fait passer son message a travers des répliques remarquables et offre de magnifiques moments de mélancolie, jusqu'au final, une vraie réflexion sur les légendes et sur l'Ouest américain. Formidable acteur, d'une classe et d'une sympathie folle, James Stewart est vraiment incroyable, entre le doute, la conviction et l'envie de pousser cette petite ville vers un avenir meilleur, et c'est John Wayne qui en pâtit, il a certes tout d'un cow-boy mais n'est pas si bon acteur que ça, et puis Lee Marvin en fait des caisses mais reste beaucoup en second plan. Avant-dernier western de sa longue carrière, John Ford offre une vision plus intelligente, plus mélancolique du grand Ouest américain, et évite les grands bains de sang pour laisser plus de force au scénario, un choix judicieux et réussi !
    Un western particulier, une réflexion mélancolique et intelligente sur la valeur d'une légende, et porté par un grand James Stewart.
    Bertie Quincampoix
    Bertie Quincampoix

    74 abonnés 1 737 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 août 2017
    Superbement porté par James Stewart et John Wayne, L'homme qui tua Liberty Valance est un western politique d'une grande force. Il questionne les thématiques de la loi, de la force et de la violence dans la construction d'un État, en prenant pour cadre l'ouest américain de la seconde partie du XIXème siècle, rappelant par moment le scénario de L'homme aux colts d'or, sorti en 1959. Il est d'abord et surtout un grand moment de cinéma, avec une magnifique confrontation d'acteurs, et une mise en scène sobre et efficace signée John Ford.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 6 août 2010
    Du très grand John Ford servis par un casting quatre étoiles; James Stewart, John Wayne et l'un de mes acteurs préférée de tous les temps; l'immense «Lee Marvin»

    Un film très captivant malgré un début un peu lent et long comme souvent chez Ford, mais dès l'instant où le personnage de Stewart commence à nous raconter son aventure (tout le film étant sous forme de flashback) je me suis retrouvée absorbée par ce récit dont le point fort est sans doute et avant tout; l'authenticité de son scénario, le genre où l'on croit connaître l'issue à l'avance car il faut bien le dire l'idée de départ ne semble pas novateur pour un western mais c'est le chemin que va emprunter Ford pour arriver au dénouement de l'intrigue qui est vraiment ingénieux.
    L'homme sans nom
    L'homme sans nom

    140 abonnés 896 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 juin 2023
    Grand classique du western, L'Homme qui tua Liberty Valance met le trio le plus marquant des années 50, John Ford en réalisateur, John Wayne et James Stewart dans les deux rôles principaux. Peu rythmé, mise en scène classique, le film est avant tout une histoire de l'Amérique, au propos politisé. Amoureux du western spaghetti et post, je suis encore resté peu sensible à ce film culte. Un second visionnage ferait peut être rehausser ma critique.
    orlandolove
    orlandolove

    114 abonnés 1 722 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 26 juillet 2010
    Ce film de John Ford dépasse largement le simple cadre du western. Le scénario bien ficelé, les dialogues remarquables et le casting gigantesque (Stewart, Wayne dans un de ses meilleurs rôles, Marvin, O'Brien, Devine, la touche féminine de Vera Miles, Van Cleef en second couteau, etc) en font non seulement un grand film de genre mais aussi un grand film du cinéma en général bourré d'émotions.
    Housecoat
    Housecoat

    102 abonnés 392 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 5 novembre 2017
    Après près d'un demi-siècle au service du cinéma, John Ford qui atteint le point crépusculaire de sa carrière mit en scène un film, sonnant comme une réponse ou plutôt comme la suite logique et inévitable de toute sa carrière dans le western à lui comme à sa vedette John Wayne: L'Homme qui tua Liberty Valance. Ici, point de couleurs, de grands espaces ou de déroulé s'achevant sur une fusillade, Ford met en scène la fin d'une époque, la transition entre la conquête de l'Ouest sauvage donnant sa place au monde civilisé, les deux mondes étant bien sûr représentés respectivement par John Wayne fidèle à lui-même et James Stewart en homme de loi. La fin d'une époque est proche, Ford exploite plusieurs symbolismes pour marquer la dualité entre la civilisation qui, inévitablement ne pourra que prendre l'ascendant sur la facette libre et traditionnelle de l'Ouest qui s'efface de plus en plus, rendant par le même coup la position de John Wayne mélancolique quant au statut de son personnage de même que celui de James Stewart profiteur malgré lui d'une légende que son respect envers la justice l'oblige à subir. John Ford nous montre à travers ses yeux la réalité qu'il voyait dans ses westerns, la fin de cette période comme la fin de son cinéma se ressent avec une profonde tristesse partagée par tous les personnages nostalgiques, lâchant leur larme dans le souvenirs de leur vieil ami représentant de cette époque perdue. Un magnifique testament.
    NicoMyers
    NicoMyers

    50 abonnés 302 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 19 novembre 2008
    Réalisé en 1962, L’homme qui tua Liberty Valance est comme un "bilan" du western, un film nostalgique qui lance une réflexion sur le peu qui sépare les légendes de l’Ouest de la réalité. Le film commence et se termine en 1910, et est coupé par un long flash-back qui se déroule au temps du Far West.Trois entités jalonnent le film : James Stewart représente l’homme moderne et éduqué, tandis que Lee Marvin et John Wayne représentent une Amérique en voie d’extinction, où on répare le mal par le mal. En arrivant sans fusil mais avec un livre de droit, bouleversa les codes du village, comme avoir éduqué une partie des villageois, jeunes ou vieux, et surtout avoir réduit à peu le statut de personnages comme Valance ou Tom Doniphon. Comme le dit Hallie à la fin du film : "C'était sauvage autrefois aujourd'hui c'est un jardin. Tu n'en es pas fier ?".Justement, il n’y a pas forcément de quoi être fier pour le Sénateur. Car si l’Ouest Américain avait ses défauts, on voit que Ford l’aimait profondément, et son extinction ne se fait pas dans la joie. John Wayne, symbole du cow-boy toujours courageux pour défendre par les armes les honnêtes citoyens, fini seul et désabusé. Stewart, quant à lui, se rend compte que sa vie est basée sur un mensonge. Lui qui est le symbole de la justice a sciemment choisi de taire les dires de Tom Doniphon pour réussir sa carrière et son couple. Cette ambiguïté dans la présentation des héros/vilains, Ford l’a toujours utilise,mais elle est ici à son paroxysme. Il faudra attendre les toutes dernières scènes pour remettre en question le statut de héro de Stewart. Cette noirceur, Ford la transfère dans les images : l’Ouest en phase finale est filmé de nuit majoritairement(...)Liberty Valance est donc bien plus qu’un simple western(..). Une œuvre à plusieurs facettes, brillamment mise en scène et dans un noir et blanc somptueux, avec une pléiade de monstres sacrés.
    10/10
    In Ciné Veritas
    In Ciné Veritas

    81 abonnés 922 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 25 novembre 2017
    Ce western peut être qualifié de crépusculaire. Il l’est d’abord par sa photographie à la tonalité renforcée par un noir et blanc sobre. Il l’est ensuite dans son genre cinématographique d’appartenance, le western. Alors qu’en 1962, tout semblait avoir été montré dans les westerns, John Ford, expérience aidant, parvient à éviter les clichés du genre et réussit à faire arpenter des sentiers nouveaux à un brillant casting emmené par James Stewart et John Wayne. Le metteur en scène a su aussi imprimer à L’homme qui tua Liberty Valance une allure alerte alimentée par de nombreuses ruptures de tonalité. Certaines répliques sont excellemment senties telle que ce « C’était mon steak, Valance » que John Wayne assène au redouté Liberty Valance incarné par Lee Marvin !
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