Avis : La Mort dans la peau - Page 9

Un très bon troisième volet. Matt Damon incarne toujours un homme en quête d'identité. L'adaptation du roman de Robert Ludlum s'améliore. Un beau travail du réalisateur.

On le croyait sorti du radar de Treadstone mais de nouveaux adversaires ont décidé de remettre Jason Bourne dans le jeu. Alors qu’une importante transaction afin de débusquer une taupe au sein de la CIA est sur le point d’être finalisée les deux agents sont tués et les informations ainsi que l’argent envolés. La seule piste est une empreinte de Bourne retrouvée sur une charge explosive. Un peu plus tard un tueur le retrouve en Inde et abat Marie Kreutz par erreur, convaincu qu’il s’agissait de Treadstone, c’est cette fois-ci Bourne qui se lance à leur poursuite. Même si le premier opus signé Doug Liman était un vrai petit bijou, c’est Paul Greengrass avec "La Mort dans la Peau" qui propulse véritablement la saga à son zénith. Sa mise en scène nerveuse et son montage haché donnent un rythme haletant à cette nouvelle aventure. Tony Gilroy fait également un travail remarquable en gardant l’essence du personnage tout en Bondisant un peu la franchise avec des scènes d’actions encore plus spectaculaires et nombreuses, des gadgets électroniques et différents pays (l’auteur Robert Ludlum étant un fan). On retrouve un Matt Damon en pleine forme pour ce divertissement effréné dont l’ambiance est plus portée sur l’espionnage.

Jason Bourne est de retour et ça fait du bien ! La recette est la même, on retrouve cette façon unique de filmer. La Mort dans la peau captive le spectateur du début à la fin.

La saga Bourne prend une toute autre dimension avec ce second opus explosif, mieux réussi que le premier. Tous les clichés qui avaient pû gâcher le premier épisode sont désormais absents à partir de la 20ème minutes: place à la traque, aux rebondissements, aux poursuites! La première chose qui m'a enthousiasmée est le scénario, contenant plus de rebondissements, et plus dynamique que dans la mémoire dans la peau. Certes, il est parfois un peu compliqué, mais on arrive à suivre sans peine le fil conducteur de cette passionnante histoire d'espionnage et de manipulation. D'autant plus qu'elle est très réaliste: rien dans le film n'est improbable ou fantaisiste, on sent que cette histoire aurait très bien pû avoir lieue. Deux choses ont été mieux exploitées qu'auparavant: le passé de Bourne, cette fois directement lié au scénario, et sa condition de fugitif, apportant une tension constante. Doug Liman avait réalisé le premier volet, ce second épisode a consacré Paul Greengrass: la réalisation est extrêmement nerveuse, la caméra ne tient pas en place... pour moi, c'est excellent, ça donne un style bien particuleir au film, ça le rend vraiment effréné, ça nous donne l'impression d'être dedans. Tout cela n'est pas gratuit: Greengrass veut nous faire comprendre le côté opressant et machiavélique que peuvent avoir les services secrets américains. La musique de John Powell est excellente, et colle très bien au film, notamment cet anthologique thème à 8 notes. Des scènes d'actions inégales: disons que Greengrass filme à 100 à l'heure: on ne distingue pas grand chose lors du combat dans la cuisine et la poursuite finale est un peu floue. Pas aussi spectaculaires qu'elles pourraient l'être, les scènes d'actions sont cependant très réalistes, et la poursuite à pied au milieu du film, surexcitante. Le personnage de Bourne est un autre atout fort du film: moins stéréotypé, plus humain, il acquiert une profondeur insoupçonnée, notamment dans l'avant-dernière scène émouvante. Le gros bémol du film est en fait sa durée: 1h40 seulement, beaucoup trop court! à part cela, Jason Bourne commence à devenir de plus en plus digne de concurencer James Bond avec la Mort dans la Peau.... ne l'a-t-il pas déjà dépassé?

Suite directe de La mémoire dans la peau, respectant minutieusement la trame initiale, rajoutant une intrigue plus développée, plus brutale, plus haletante, cette séquelle se veut nerveuse grâce au frénétique Paul Greengrass, remplaçant son prédécesseur Doug Liman. Le metteur en scène aime le réalisme et tourne donc des plans rapides, hachés sur la table de montage pour se sentir happé par la vivacité des évènements, le tout étant filmé avec sa caméra virevoltante. Car c'est caméra à l'épaule que le réalisateur anglais va poursuivre cette aventure palpitante commencée en 2002. Courses-poursuites incroyables, combats rapprochés virulents, faces-à-faces au suspense insoutenable : tout est là pour retenir l'attention et projeter le spectateur dans le vif de l'action, quasiment aux côtés d'un Matt Damon plus charismatique que jamais. Le casting est par ailleurs tout bonnement impressionnant : Joan Allen remplace haut la main Chris Cooper en traqueuse forcenée, Brian Cox se retrouve plus impliqué dans cette affaire louche aux côtés d'un Karl Roden hélas un peu effacé au profit de deux tueurs des plus efficaces tous droit sortis du Seigneur des Anneaux : Karl Urban et Marton Csokas dans des rôles à contre-emploi mémorables... Le scénario réserve comme le précédent son lot de rebondissements progressifs où l'on en apprend plus sur Jason, sur son passé de tueur et sur ses méthodes toujours plus imprévisibles. Si dans La mémoire dans la peau, il était traqué de toutes parts, le revoici ici toujours poursuivi mais changeant nettement la donne : il traque également ses poursuivants et non sans haine. Devenu une proie chassant son chasseur, nous découvrons avec plaisir un nouveau Bourne... Respectant l'œuvre de Liman, Greengrass réussit à s'imposer et propose l'exemple-type de la séquelle parfaite.

Une suite qui se défoule encore plus que le premier. Enormément d'action, voilà ce qui manquait à "la mémoire dans la peau". Autrement, rien à dire si ce n'est que ce film possède les mêmes critères positifs du premier. Jason Bourne est sur la bonne voie!!

Quelle claque ! Ce deuxième volet est bien supérieur au premier qui était déjà pas mal ! Derrière la caméra, Paul Greengrass fait étalage de tout son talent. Si le scénario demeure classique, très bien ficelé, la mise en scène est brillante, maîtrisée, échevelée ! Ce deuxième volet des aventures de Jason Bourne, interprété de main de maître par un Matt Damon plus convaincant que jamais, est l'occasion pour Paul Greengrass de montrer au monde du cinéma qu'il faut désormais compter sur lui. Caméra sur l'épaule, montage ultra serré, images saccadées... Le style "Paul Greengrass" marquera, c'est sûr, son époque. Ce film redonne un coup de jeune au bon vieux film d'espionnage. Il ne manque rien, ni cascades, ni meurtre, ni intensité émotionnelle, et Greengrass rajoute encore de son génie personnel. Une vraie découverte.

Une Véritable Tuerie. Aprés un Premier Volet Explosif,le réalisateur Paul Greengrass succède a Doug Liman pour livre un Second Episode qui surpasse sur tous les points sur son aînée. Pour cette suite, la Réalisation est Maîtriser avec panache en étant filmée cette fois caméra a l'épaule qui peut déranger quelques uns mais qui s’avère particulièrement Intense pour nous plonger au cœur de l'action.Ajouter a cela des Séquences D'Actions beaucoup plus Nerveuse et Mémorables dont la chorégraphie des Combats sont irréprochables tout comme les Courses Poursuites qui sont a vous couper le Souffle tout en allant a un rythme Frénétique qui vous fera voyager en allant de Naples a Berlin en passant par Moscou sans oublier une BO trés Efficace signée John Powell. Ensuite les enjeux prennent plus d'ampleur grâce a son Scénario toujours aussi Prenant et Mouvementer qui réserve son lot de Rebondissements incessants pour pimenter le tout. Enfin le Casting est remarquable avec Matt Damon qui est excellent en reprenant le rôle d'un Jason Bourne plus tourmenter et sans pitié qui est seconder par une galerie de seconds rôles en or qui réunit a la fois anciens et nouveaux personnages de la saga tels que Karl Urban,Joan Allen,Brian Cox,Julia Stiles,Franka Potente et Michelle Monaghan qui livrent une trés bonne performance. Au Final, La Mort Dans La Peau est une suite a la fois Survitaminée,Sombre et Palpitante qui atteint des sommets en matière D'Action et D'Espionnage pour notre plus grand plaisir avec ce divertissement de haut vol.

Un 2ème épisode qui maintient le cap en restant dans la lignée du premier mais tout en trouvant son identité propre. On retrouve avec plaisir Jason Bourne toujours interprété par un excellant Matt Damon à la recherche de la vérité sur son passé. Les scènes d'action de combats et de poursuites sont toujours très spectaculaires et haletantes. La mise en scène de Paul Grenngrass est très nerveuse, réaliste et haletante avec un montage ultra-rapide et minutieux dans les scènes d'action ainsi que beaucoup de tension dans les moments plus posés. Par rapport à la mise en scène de Doug Liman, on regrette un peu moins de suspense hitchcockien mais on peut relever ce côté ultra-réaliste et audacieux avec toutes ces séquences filmées caméra à l'épaule. L'intrigue, toujours sur fond de programme treadstone et de complot, est toujours très prenante. Les nouveaux personnages secondaires sont assez intéressants. Quant à la composition musicale, elle est très réussie car reprend les thèmes majeurs de l'opus précédent contribuant ainsi à la forte personnalité de la franchise tout en apportant des tonalités nouvelles et variées ( et parfois touchantes ). Les dernières minutes sont très réussies avec un excellant double-climax, l'un touchant qui clot cette histoire et un autre qui la relance nous faisant attendre la suite avec impatience.

La Mort dans la peau réalisé par Paul Greengrass en 2004.
*Les points que j'ai appréciés →
• La dynamique du film
• L'histoire qui est toujours aussi efficace
• Matt Damon (évidemment

*Les points que je n'ai pas appréciés →
• Le fait qu'il est un peu sombre (je suis tatillon

*Conclusion →
J'ai aimé, c'est dynamique et toujours aussi efficace. 9/10.

Suite d’un premier opus déjà incroyable, le film de Paul Greengrass le dépasse de loin, ce qui est en soi une prouesse des plus louable. Plus mystérieux, plus sombre, plus tonitruant, plus impressionnant, cette séquelle est à tous les niveaux un chef d’œuvre d’action pure qui n’épargne toujours pas le côté intimiste, principe amorcé dès le premier film. La réalisation plus viscérale et davantage proche du documentaire (caméra à l’épaule, montage serré), accentue le réalisme, et donc mène l’œuvre à son paroxysme. L’esthétique du film est irréprochable. En effet la photographie bleutée très « urbaine », et la qualité des prises de vue (notamment pour les scènes d’action) participent à la totale réussite du film. Les nouveaux personnages, la dualité entre les agents du gouvernement et Jason Bourne est plus approfondie, les scènes d’action et d’espionnage définissent un virage dans l’industrie du film d’action. Enfin la partition de John Powell, compositeur attitré de la saga, signe ici une riche partition, à la fois emphatique et intimiste. L’usage de thèmes simples mais enlevés, interprétés presque exclusivement par les cordes est très efficace. En somme, ce deuxième opus des adaptations des romans de Robert Ludlum est l’un des plus grands films d’action jamais fait. Mais cela n’est rien face à la conclusion, qui est encore supérieur…

Aussi bon que le premier, adrénaline puissance maximum et courses poursuites pour ce thriller qui suit parfaitement "La mémoire dans la peau". Matt Damon y est encore meilleur, et l'histoire est bien montée. Très bonne suite.

Un second volet d'une excellente qualité, plus spectaculaire et prenant que le premier, déjà très bon.
Matt Damon est bluffant de vérité dans la peau de cet ancien agent de la CIA, amnésique et perdu entre ses bribes de souvenirs et la triste réalité. Le scénario ne s'essouffle à s'avère très bien ficelé. La caméra est vive et les scènes d'actions très bonnes, encore une fois.
Le film nous fera voyager à travers l'Inde, les Etats Unis ou encore l'Allemagne et la Russie.
...Vraiment bon!

Deuxième partie de la saga Jason Bourne, La Mort dans la Peau voit changer de main la réalisation qui est confié cette fois ci à Paul Greengrass qui réussi lui aussi à bien transposé l'œuvre de Robert Ludlum. Cette deuxième partie remplie de plus d'action nous en apprend particulièrement plus sur le passé de Bourne notamment sur une de ces anciennes missions. L'action est toujours présent et les scènes de poursuites en voitures plus impressionnantes. Matt Damon réussi à nous prouvé une nouvelle fois qu’il est parfait dans ce genre de rôle et rend son personnage vivant et encore plus intense que dans le premier. Jason Bourne définitivement culte dans l’univers de l’espionnage grâce à son histoire toujours rempli de trou qui fond de lui un personnage ambigüe et très complexe. Au final un magnifique film rythmé au suspense captivant .

Un très bon second volet de la saga Jason Bourne de Paul Greengrass.Matt Damon est toujours aussi bien,l'histoire toujours aussi dynamique et la réalisation est très bonne.Mais,l'action est moins au rendez-vous que le premier,pour ma part.Je préfère le 3,le 1 et celui-ci.