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    Glengarry
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    54 critiques spectateurs

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    Charlotte28
    Charlotte28

    94 abonnés 1 749 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 24 novembre 2022
    Un drame qui tire sa force de ses acteurs impliqués ainsi que de sa satire acerbe du monde de la vente (immobilière) dont les vices bien que déjà mis en scène ne perdent ni de leur fascinante cruauté ni de leur pertinence politique. Malgré une plate réalisation, les diverses attitudes face à la pression ou à l'âpreté du métier ainsi que les glissements psychologiques confèrent du sel à ce pamphlet. Plaisamment grinçant!
    Julien Vasquez
    Julien Vasquez

    27 abonnés 1 080 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 15 novembre 2022
    Sans être techniquement novateur, le film se distingue par d'excellents dialogues et le jeu de ses acteurs.
    NeoLain
    NeoLain

    4 295 abonnés 4 741 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 6 mai 2014
    Un casting qui en attirera plus d'un, Al Pacino et Ed Harris pour ne pas citer le reste. Mais Glengarry est un sacré piège. Du début à la fin c'est que des paroles et paroles sur les enjeux d'agents immobiliers, ça ne s'arrête pas (véridique...), Doliprane time.
    Yves G.
    Yves G.

    1 302 abonnés 3 302 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 29 avril 2021
    L'antenne new yorkaise d'une société immobilière, dirigée par John Wiliamson (Kevin Spacey), emploie quatre vendeurs chargés de démarcher des clients potentiels et de les inciter, par tous les moyens, à acheter des terrains. Un représentant du siège (Alec Baldwin) y débarque un soir et les houspille : les résultats sont préoccupants et les deux plus mauvais commerciaux seront licenciés d'ici la fin de la semaine.
    L'annonce exacerbe les rivalités entre les quatre hommes. Richard Roma (Al Pacino), le plus brillant, n'a pas grand souci à se faire ; en revanche Shelley Levene (Richard Lemon), un vieux vendeur sur le retour dont l'heure de gloire est passée depuis longtemps, est au désespoir.

    "Glengarry" est un film de répertoire, souvent cité dans les différents palmarès. Il doit sa célébrité à son casting exceptionnel. C'est l'adaptation d'une pièce de théâtre à succès, couronnée par le prix Pulitzer huit ans plus tôt, de David Mamet (dont l'excellent "Engrenages" (1987) figure au panthéon de mes films préférés).

    Mais je dois hélas avouer avoir été bien déçu en le voyant près de trente ans après sa sortie. Je l'ai trouvé horriblement vieilli, comme s'il s'agissait moins d'un film du début des années 90 que de la fin des années 70. Adapté d'une pièce de théâtre, il en charrie les défauts : d'interminables joutes verbales très bavardes, une unité de temps, de lieu et d'action qui rend ses cent minutes bien longues.

    Connaissant le machiavélisme de David Mamet, on attend et on espère un twist final renversant qui nous fera considérer tout le film sous une autre perspective. Las ! rien de tel ne se passe....
    Redzing
    Redzing

    941 abonnés 4 300 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 2 septembre 2016
    Des vendeurs en immobilier sont soumis à un ultimatum : soit ils seront parmi les meilleurs, soit ils seront licenciés. "Glengarry Glen Ross" est adapté d'une pièce de théâtre, et cela s'en ressent. Les décors sont très limités, et la mise en scène est professionnelle mais minimaliste. Toutefois, le scénario est de très bonne qualité. Outre la plongée dans l'univers des commerciaux à grande gueule et aux méthodes sournoises, le film propose des personnages bien dessinés et des dialogues percutants. Le tout servi par un casting royal : Jack Lemmon en vétéran ringard, Al Pacino en premier flamboyant, Ed Harris en excité anti-système, Alan Arkin en compère modéré, Kevin Spacey (alors inconnu) en chef à moitié dépassé mais inflexible, Jonathan Pryce en client paumé, et Alec Baldwin en "motivateur" infecte ! Un drame de bonne tenue, malheureusement peu connu à cause de son échec financier à l'époque.
    this is my movies
    this is my movies

    627 abonnés 3 087 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 23 avril 2017
    Rien qu'à la vue du casting, on sait déjà qu'on va passer un bon moment, qu'on va se régaler à admirer les performances prodigieuses du gratin du genre. Imaginez un peu, A. Pacino, J. Lemmon, E. Harris, K. Spacey et A. Arkin qui déclament un texte ciselé par cet orfèvre de D. Mamet ! Derrière la caméra, le pourtant guère brillant J. Foley s'en sort avec les honneurs, arrivant à contourner l'écueil du théâtre filmé avec certes de longues prises mais aussi beaucoup de mouvement et un vrai sens de la scénographie (il n'y qu'à voir comment il suit les mouvements des acteurs dans ce bureau dont on finit par connaître les plans). Le film dénonce avec virulence l'exploitation des êtres humains (clients ou employés) par des groupes déconnectés de la réalité. Si le discours de A. Baldwin (une scène, mythique) peut être vu comme un modèle de motivation, c'est surtout une preuve flagrante de l'abus dont font preuve ces groupes envers leurs employés et le manque de considération pour leurs clients. Construit de manière alambiqué (une longue partie d'exposition sous la pluie, une 2nde partie qui tend vers le polar), le film est un véritable écrin à performances avec chacun des acteurs qui a droit à minimum un grand moment. Il n'est d'ailleurs guère étonnant que certains d'entre eux, en dehors de leurs journées de tournage, venaient assistés aux prises de leurs camarades de jeu (et la plupart des scènes ont été faite en une prise !). Sous-estimé par la critique à sa sortie (très peu de récompenses, aussi bien pour le scénario que pour les acteurs), le film est véritablement prophétique sur plusieurs plans, c'est un véritable film culte qui mérite le détour ! D'autres critiques sur
    Candice L
    Candice L

    25 abonnés 827 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 6 mars 2014
    Un bon film sur la pression dans le monde professionnel et sur comment la peur peut pousser les gens à commettre des actes qui vont contre leur propre morale. Un bon casting (Al Pacino, Ed Harris, Alec Baldwin, entre autres), qui rend le tout très crédible.
    Eowyn Cwper
    Eowyn Cwper

    92 abonnés 2 038 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 26 septembre 2020
    Glengarry Glen Ross s'est fait connaître au théâtre avant de passer au grand écran où le travail de David Mamet s'est trouvé magnifié par une réécriture qui sonnait juste. Je ne peux donc pas râler comme d'habitude que je ne vois pas l'intérêt de filmer du théâtre de manière littérale comme le fait ici Foley. Du reste, il apporte à l'œuvre un casting épatant qui est resté dans les annales autant pour les noms qui le composent que pour l'alchimie qui les lie.

    Tout de même, on touche à la limite entre théâtre et cinéma et la vocation de ce transfert d'un art à l'autre est difficilement explicable autrement que par le geste marketing. Le septième art permet en théorie des secondes chances que la scène ne peut pas se permettre, mais où passent-elles sinon dans le bourrage des dialogues dans des images qui étouffent ? Le texte, voilà le petit noyau noble emballé dans un grand et joli paquet cadeau, histoire d'apporter Broadway dans les foyers américains. Mais en ce qui me concerne, c'est à la fois trop peu et plus qu'assez.

    → https://septiemeartetdemi.com/
    Benjamin A
    Benjamin A

    654 abonnés 1 922 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 24 novembre 2017
    Lumière, costume, musique ou encore atmosphère bleutée, les premières minutes de *Glengarry* sont très ancrées dans son époque, ce qui n'est pas forcément pour me déplaire, et nous font directement entrer dans cette fable pointant du doigt l'inhumanité du capitalisme moderne.

    James Foley adapte une pièce de théâtre signée David Mamet et s'il y a bien un aspect critiquable ici, c'est l'incapacité qu'a *Glengarry* à s'en détacher, que ce soit dans les lieux, dans les dialogues ou certaines transitions, assez brutales. Néanmoins, l'oeuvre en prend aussi quelques qualités, à commencer par des comédiens qui se mettent au service des propos et qui portent littéralement le film sur leurs épaules, à l'image d'un Alec Baldwin furieux et mémorable, un Kevin Spacey fourbe et pistonné, un Ed Harris aigri ou encore un grand Jack Lemmon, à bout de course, pathétique, dépité et prêt à tout, incluant la corruption, pour faire signer ses contrats.

    Hormis de remarquables prestations, on retient bien évidemment de *Glengarry* sa charge contre le capitalisme à outrance et la déshumanisation provoquée par celle-ci, notamment par le biais du caractère des personnages, ainsi que de la mission qu'ils vont devoir accomplir. Là où James Foley se montre assez adroit, c'est dans sa façon de mettre en avant à quel point tout cela est devenu ordinaire, comment le capitalisme a banalisé l'humain, et quelques échanges verbaux tendent à le prouver, sans que ça en devienne excessif, il trouve toujours le ton juste.

    Il parvient à plutôt bien utiliser les lieux qu'il a à sa disposition, il se révèle efficace et parvient à faire monter la tension, qui atteint des pics lors de quelques face-à-face entre les personnages, à l'image du dernier, mémorable, entre Jack Lemmon et Kevin Spacey, puis Al Pacino. On retrouve dans *Glengarry* une vision mondiale digne du capitalisme sauvage prôné par Ronald Reagan ou Margaret Tatcher et franchement, ça fait froid dans le dos, et chaque centimètre de pellicule est propice à un questionnement.

    Si *Glengarry* ne parvient pas toujours à s'émanciper de ses origines théâtrales, ça n'en reste pas moins une oeuvre passionnante pour sa juste dénonciation de la déshumanisation ordinaire et du capitalisme moderne, le tout porté par de remarquables comédiens capable de donner de la vie et de l'authenticité à cet univers de requins.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 21 décembre 2009
    Le film ressemble à une adaptation de pièce de théâtre tout est basé sur les relations entre les personnages. Malheureusement, le réalisateur a raté son coup (dommage) le film est trop séquencé et pour ne rien arranger les dialogues ne sont pas vraiment à la hauteur. Pourtant le film se regarde bien, on a toujours l'impression qu'il va se passer quelque chose et le casting vaut le coup d'oeil.
    Richard L
    Richard L

    21 abonnés 69 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    A mon sens le seul film au monde qui décrit la vie des vendeurs ou des commerciaux avec autant de justesse. Bien sûr le trait et légèrement grossi, mais jamais caricatural.
    L'arrivée du Manager qui vient du siège pour présenter le "challenge" est un morceau d'anthologie. La joute finale entre le "meilleur" vendeur et son boss est dans la même veine.
    La distribution - époustouflante - et la réalisation de James Foley sont à la hauteur pour cette pièce originale de David Mamet.
    A posséder dans toute bonne vidéothèque.
    cylon86
    cylon86

    2 271 abonnés 4 430 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 août 2015
    David Mamet adapte sa propre pièce de théâtre au cinéma et offre à James Foley un scénario en béton. Le cinéaste n'a donc plus qu'à laisser libre cours au talent de ses acteurs pour nous offrir un très grand moment de cinéma. Moment de cinéma qui ne brille pas par sa mise en scène (très classique et très théâtre filmé) mais par la qualité des dialogues et des acteurs qui sont tous excellents et qui ont tous l'occasion de prouver l'immensité de leur talent (Al Pacino, Jack Lemmon, Kevin Spacey, Ed Harris, Alan Arkin et même Alec Baldwin dans une des scènes les plus mémorables du film). Radiographie brute et sans concessions du monde du travail et de la pression à laquelle peuvent être soumis les employés d'une firme immobilière, "Glengarry" nous montre des personnages tantôt attachants, tantôt odieux mais surtout profondément humains et agissant en conséquence de la situation dans laquelle ils sont. Un vrai film d'acteurs, à découvrir ne serait-ce que pour l'ensemble du casting.
    Nicothrash
    Nicothrash

    298 abonnés 2 949 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 1 novembre 2012
    Un thème intéressant et très bien traité, les méthodes peu scrupuleuses des vendeurs en immobilier, poussés au vice par leurs dirigeants, sont parfaitement mises en image. On sent les vendeurs, à bout de nerf, prêts à tout pour conclure leurs ventes, seulement malgré ce casting impressionnant, les acteurs sur-jouent beaucoup et les dialogues sont extrêmement répétitifs, on a l'impression de tourner en rond pendant une heure et demi, fort dommageable pour un film avec un si gros potentiel et quelques retournements de situation bien pensés. Ca reste tout à fait regardable mais l'impact aurait été bien plus fort avec un meilleur traitement.
    orlandolove
    orlandolove

    116 abonnés 1 722 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 26 juillet 2010
    Le réalisateur James Foley m'avait énormément déçu avec le navrant et déjà oublié "Dangereuse séduction" sorti en 2007... Il semble qu'il fut un peu meilleur lors de la décénnie précédente, preuve à l'appui avec "Glengarry". Quoiqu'il n'avait pas grand chose à faire : un scénario solide tiré d'une pièce de théatre et donc un cadre limité peu propice aux acrobaties de caméra, et un casting 4 étoiles qui se charge du reste, Pacino, Lemmon et Spacey en tête... Du travail propre...
    AlphaWolf
    AlphaWolf

    63 abonnés 805 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 30 octobre 2013
    Ce film est l’adaptation d'une pièce de théâtre et la majorité du temps, on ne peut pas dire que cela augure quoi que ce soit de positif car nombreux sont les flops dans cette catégorie, et malheureusement, Glengarry Glen Ross en fait partie.
    Si le casting 4 étoiles est de qualité, notamment le regretté Jack Lemmon, on ne peut pas dire autant du scénario qui s'appuie en grande partie sur de longs, parfois très longs monologues qui, bien que pour certains finement écrits et excellemment bien joués, assomment souvent le spectateur: même au théâtre, on se demande comment cela pouvait fonctionner. L'intrigue est mince et ne parvient jamais à captiver, et l'action figée couplée à une mise-en-scène à base de champ contre-champ sans saveur ne fait qu'accentuer le désintérêt porté à cette histoire.
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