Avis : Spider-Man 3 - Page 4

A trop jouer avec le feu on se brûle ! Une décéption. Spider-man 3 n'est pas mauvais mais flirt entre le gros blockbuster d'action bien bourrin et le film psychologique avec un héros et des méchants torturés.. Mais le mélange n'est pas un résultat abouti. En effet, un poil d'action en moins aurait servit au film. Venom (même si je l'adore) est de trop ainsi que l'humour, parfois limite. Il en reste un bon film c'est indéniable, mais pas dans la continuité narrative des 2 premiers opus.

Ce troisième opus est le moins bon des trois (le meilleur étant le 2), ceci est due à beaucoup de longueurs, mais ça reste quand même un très bon film. Tobey Maguire et James Franco sont toujours au top dans leurs rôles, et les effets spéciaux sont réussit. Bref, un bon film mais qui n'est pas à la hauteur des deux autres. 4/5.

Bon autant être franc, Spiderman 3 et mauvais, pas au point de non retour, mais ce n'est pas loin, comment après les 2 premiers qui sont super, on pas pu pondre un film avec autant d'incohérence? comme une grue qui démonte tous un immeuble, Spiderman sauve la fille, puis s'en va et laisse la grue continuer a tous explosé? un astéroïde qui tombe a 2 mètre de spiderman, sans aucun explication (le mec qui a pas de bol, pourtant la terre est grand) un méchant qui court dans un champ, et paf celui-ci tombe dans un puis ou on change les particules, qui sert a quoi? pourquoi c'est la? personne va voir le résultat de l'expérience? enfin ... Bon si il y avais que ça, mais le film pêche surtout par sont manque cruel d'action, et surtout le film est long.. trop long.. dommage

Après des premier opus bien mené et un provisoire projet de suites, ce "Spider-Man" ne devait pas décevoir et il réussit. Plus sombre, plus complet, il passe par toutes les émotions avec S.Raimi au mannette qui nous offre une réalisation époustouflante lors des scènes d'actions et même intimes. Ensuite tout les personnages sont développés suffisament par rapport à leur importance. Lorsque T.Maguire sombre du côté obscur de son être nous avons à des scènes plus que surprenantes. Une fois de plus, S.Raimi nous offre un film complet avec même de l'humour, grâce notamment au directeur du journal qui malgré un changement garde son côté marrant, et à des moments innatendu. Seul bémol, l'histoire d'amour qui prend un peu trop de place dans un couple qui peine à se trouver vraiment et à s'exprimer. Un subtil mélange de blockbuster et de film plus profond.

Après deux excellents épisodes, Spider-Man 3 reste quand même une réussite malgré quelques faiblesses. En effet Spider-Man perd un peu de son charme dans ce troisième épisode préférant l'action à la réflexion plus présente dans le 2nd volet. Un léger côté comique, ajoutant une petite touche de fraîcheur aux personnages y fait son apparition. Ici Peter est confronté au symbiote; créature parasite, enveloppant son hôte d'une substance noire. Ainsi naît le fameux costume noir que porte Spider-Man, et Venom, son célèbre némésis. Mais les scénaristes ne se sont pas contentés d'un seul méchant dans cet opus, mais de trois ! Notre héros sera alors confronté à l'Homme Sable (joué par Thomas Haden Church), à Venom (Topher Grace) et à son ami Harry Osborn (James Franco) qui avait juré de venger la mort de son père dans le 1er film. Les moments d'actions sont éblouissants et les personnages plus ou moins aussi travaillés (je pense notamment à Venom qui aurait mérité beaucoup plus d'attention et une Gwen Stacy qui ne sert pas à grand chose.
Mais le véritable point faible du film est sa durée. En effet il aurait mieux valu diviser le film en deux parties; la première opposant Peter Parker à son meilleur ami Harry Osborn suivit du symbiote plus la venue de l'Homme Sable et enfin le film se terminant sur spoiler: la transformation d'Eddie Broke en
Venom. La 2ème partie se consacrant essentiellement sur ce personnage malheureusement laissé à l’écart faute du studio qui souhaitait absolument l'avoir dans dans le film contrairement à Raimi qui préférait avoir l'Homme Sable.
Spider-Man 3 sera malheureusement le dernier film de la trilogie de Raimi, celui-ci ayant quitter le projet du quatrième opus alors en cours d'écriture, suite à un désaccord avec la production. C'est néanmoins un troisième volet réussi que ce Spider-Man 3 qui clôture en beauté une des plus grande saga de super-héros de tous les temps.

Contrairement à beaucoup je n’ai pas aimé le 2ème opus, un écart manifeste des comics et une identité secrète aux fraises étant mes principaux griefs. Les 3ème épisodes sont souvent signe de surenchère (encore) et de ramassage en règle. J’avais beaucoup de doutes quand c’est sorti, mais la présence de Vénom m’a convaincu de tenter et…
… ben non, loupé, encore une fois, et c’était prévisible (comme la trame). Que le film soit loupé c’est indéniable, même Sam Raimi l’a avoué (« horrible, un échec »), mais pourquoi saborder la franchise et un méchant charismatique alors ? Oui je sais : les thunes, et vu que c’est l’opus qui a rapporté le plus le but est atteint, mais bravo pour la pérennité vu qu’il a fallu rebooter. A part ça je remarque que chaque opus de Raimi compte un vilain de plus, s’il fallait un argument sur la surenchère… Sauf que là on a un Homme Sable pas trop mal (le meilleur des 3 en tout cas), un Vénom pas encore trop raté (il manque de masse) mais un Eddie Brock à côté de la plaque, et enfin un Harry aux fraises, sans doute pour ça que tout s’est arrêté, à foirer un perso mythique pareil… Bon par la suite des studios on réussit à faire pire avec Deadpool donc ça « rattrape ».
Si les ennemis sont ratés le perso principal n’est pas mieux loti, entre sa version emo ridicule pour faire sombre et sa petite danse (même Spider-man new generation s’en moque) c’est ardu de s’accrocher. Je n’apprécie toujours pas Tobey, au contraire de Kirsten, mais même elle a du mal à relever la tête de l’eau tant le niveau est bas. Bon les cascades et les FX sont bons, mais le montage chaotique (ça part dans tous les sens en essayant de se sauver par des explosions à foison) les rendent anecdotiques, l’humour (forcé) est pathétique ; quant au récit il ressemble davantage à un assemblage aléatoire et sans transitions de scènes piochées en brainstorming (voir un patchwork) qu’à une réelle volonté de sortir une histoire cohérente et intéressante, d’où un rythme cassé évidemment notamment à cause de nombreuses longueurs.
Alors pourquoi la même note qu’au 2, réputé le meilleur pourtant et disposant d’un méchant au top au moins ? Parce que le 2, indépendamment de ses erreurs, s’écartait aussi pas mal des comics, ce qui est moins le cas ici. J’ai peut-être été sévère (trop ?) mais pour moi ça a son importance, surtout maintenant qu’on loue les talents de raconteur de Stan Lee, s’en affranchir et adorer ça c’est hypocrite. Bon puis le fait que le peuple ait foncé en masse sur le plus mauvais épisode en dit long sur le sens critique actuel. Bref, un opus génial qui a sonné la fin de Spidey pendant un temps, ainsi que Sam Raimi à la réalisation, obligeant à un reboot et à modifier en profondeur Vénom, non franchement une belle réussite dans le pire.

Ca commence très fort ! On retrouve un peu de ce qui faisait la force du 2, la découverte progressive d'une face sombre et noire de Spiderman pimente même sacrément l'univers en le densifiant. Mais hélas, la deuxième partie sacrifie à trop d'effets pyrotechniques, à trop d'adversaires pour le Super-Héros torturé. D'une façon générale, il tombe dans le coté facile de la franchise qui cherche à aller plus loin dans le spectaculaire. Il perd dans le même temps le côté terriblement personnel que possédait le deuxième volet. Dommage 3 fois dommage....

Dans Spider-Man 3, l'homme araignée a du fil à retordre. Non seulement d'être confronté à trois méchants en un seul film - l'Homme Sable, intéressant mais pas transcendant, sauvé de justesse grâce à une histoire suffisamment poignante ; le Bouffon Vert Junior, bien interprété et mis en avant même si quelque peu désorienté et complexe selon les situations ; Venom, très clairement sous-exploité et au motif de vengeance bien trop cliché et simpliste (quand on dit que Sam Raimi n'aime pas ce personnage !), notre Spider-Man doit aussi faire avec sa part d'ombre qui s'empare enfin de lui, grâce ou à cause de la découverte du symbiote, sorte d'espèce extraterrestre gluante laissant part au côté obscur du protagoniste (là où dans le 1 il se découvrait et se remettait en question dans le 2, on a maintenant droit au super-héros tantôt émo', tantôt danseur, tantôt sombre, tantôt normal). Quoique très nettement supérieur aux blockbusters estivaux annuels, Spider-Man 3, bien réalisé et époustouflant selon certains moments, rompt quelque peu les toiles communes qu'il pouvait y avoir avec les deux premiers, même si certaines réponses essentielles y sont ajoutées. Capotant dans son élément le plus important qu'est le traitement infligé aux personnages (Venom arrivant facilement en tête de liste, apparaissant grosso-modo un quart d'heure à l'écran en toute fin dans un film de plus de 2 heures) et la gérance de ces derniers les rendant beaucoup moins attachants (un Peter Parker au bord de l'arrogance extrême, une Mary-Jane parfois agaçante, un Harry Osborn aux changements d'humeur trop brusques, une Gwen Stacy limite figurante), le troisième opus de Spider-Man, bien qu'impressionnant et loin d'être mauvais, se contente plus de jouer la carte du (très) bon divertissement qu'autre chose. Pas du niveau des deux premiers, mais un opus de bonne facture malgré tout, avec ses qualités et ses défauts.

Dans ce troisième épisode de la saga, les ingrédients ne changent pas, les thèmes non plus. Les fans retrouveront un flot de cascades et d'effets spéciaux, des sentiments, du romantisme et de l'émotion. Brillant et divertissant, ce spider-man 3 est bien réussie et reste sur une bonne série qui ne déroge pas à la règle imposée par les deux premiers opus de la saga à savoir un scénario cohérent parfaitement soutenu par les bonnes interprétations des différents personnages principaux.

Le dernier de la trilogie qui est pas mal mais qui a du mal à se renouveler par rapport au 2 premier ça tourne un peu en rond même si le coté sombre de spiderman offre quand même quelques bonnes idées.

un divertissement toujours aussi spectaculaire où les affrontements, les morceaux de bravoure sont nombreux. un super héros aussi virevoltant que sentimental, le spectateur vibre avec et pour lui. un 3ème épisode également bien écrit, une série qui garde son empreinte avec constance, portée par son casting récurrent et donc attachant.

Après un 2nd opus décevant voici que l'homme-araignée revient pour de nouvelles aventures palpitantes, bonne histoire et scène d'action réussies notamment avec L'Homme-sable. Humour aussi notamment avec le rédacteur en chef, du très bon divertissement mais on ne retrouve pas la magie du 1er film.

Le film de trop.
Points positifs: les méchants Sandman et Venom, et une scène dans un restaurant français avec Bruce Campbell (hilarant!!!).
A part ça, une succession de scènes d'action ou de blabla, souvent ennuyeuses mais surtout extrêmement ridicules qui casse complètement le personnage de Peter Parker.
Heureusement le ridicule ne tue pas, car sinon Spiderman serait mort.
Pour moi, il l'est.

spiderman dans une niaiserie... Les 2 premiers volets étaient pas mal du tout... Voir le 3ème volet c'est comprendre comment finir dans l'affligeant.
Dans les 20 premières minutes on se croirait dans une comédie cucu la praline, le scénariste a bien du mal à faire coexister ensemble les 3 méchants (à chacun sa petit 1/4 d'heure), la transformation de Parker en play-boy est trop jusqu'au-boutiste et nian nian à mort, et les leçons de moral à répétition lassent fortement, sans compter les longueurs et les lenteurs appuyés qu'on nous impose entre chaques scènes d'action... Et comment expliquer que le jeune arriviste se transforme aussi en homme araignée ?!?! Heureusement à chaque fois que j'ai failli m'endormir une belle scène d'action est venu me réveiller... L'homme sable est aussi impressionnant... Ces 2 dernières remarques sont justes assez suffisant pour éviter la bulle !

Une conclusion réussie, dans la veine du premier film. Avec cette fois, plus de noirceur et plus de psychologie chez les personnages.