Avis : Short Circuit - Page 2

Le film de mon enfance que j'ai revu tout récemment,et finalement ce film est toujours aussi bon.Il faut bien sur le regarder avec des yeux d'enfant et pas en tant que cinéphile fan de david lynch,mais j'adore ce film,par contre j'ai vu qu'un remake était en route,ça fait peur.....

Ce film est un mythe pour moi il a bercé ma jeunesse, j'ai du le regarder des dizaines et des dizaines de fois sans me laisser et aujourd'hui je le regarde encore. Sérieusement pour ceux qui n'en ont jamais entendu parler loué le vous ne le regretterez pas

On s'ennuie vite devant ce film de SF dont les gags ne volent pas bien haut, tout comme son scénario très léger, très simpliste, confus et passant à côté de bons éléments. Les personnages ne plaisent pas et cette comédie, dans son ensemble, non plus !!

Le réalisateur de La fièvre du samedi poursuit, avec Short Circuit, dans le domaine de la science-fiction immature entamé dans War Games. Sur un scénario qui lie un petit robot (dont les traits ont incontestablement inspiré Pixar lors de la création de Wall-E vingt ans plus tard) à une femme pleine d’imagination enfantine, l’histoire est évidemment très proche de celle d’E.T. dont le capital sympathie était encore, en 1986, suffisamment solide pour être recyclé. La légèreté de cette petite fable futuriqte est à la fois sa force et sa faiblesse. Sa force parce que voir le petit robot danser en imitant John Travolta ou Steve Guttenberg cabotiner dans un rôle de scientifique restent des ingrédients de divertissement qui sont les seules du film à ne pas avoir terriblement vieilli. Sa faiblesse aussi car le sujet de l’intelligence artificielle est rendu complétement inoffensif et que, tandis que le scénario s’étire péniblement, seule son extrême naïveté devient perceptible. Aujourd’hui seuls les nostalgiques du temps où ils le découvrirent enfants pourront encore adhérer à la magie de cette aventure fantaisiste.

"Short circuit" est une petite histoire sympathique qui ne pourra qu'évoquer un sentiment de nostalgie auprès des spectateurs de l'époque.
Le robot militaire "Numéro 5" devient vivant après avoir pris la foudre...même si ce n'est pas le but recherché ici, le scénario n'est pas bien folichon, mais ce sera avant tout ses dialogues et sa mise en scène qui plomberont le film à coup de chevrotine. Si "Short circuit" fait partie des annales de la robotique au cinéma, il restera en terme de qualité, à des années lumières derrière l'indétrônable, et néanmoins petit frère "Wall-E" (on sait maintenant d'où s'est inspiré ce dernier). On regrettera que le projet n'ait pas été confié à Steven Spielberg, car même si ce dernier nous aurait fait part de sa niaiserie habituelle dans ce registre, il n'en aurait pas moins offert un grand spectacle pour enfants comme il sait si bien le faire, à la manière d'un "E.T. l'extra-terrestre".

En 1986, E.T. est déjà passé par là et l’histoire de l’extra-terrestre qui arrive sur Terre et qui s’allie avec des adolescents est à la mode. Mac & Me apparaîtra deux ans plus tard.

En effet, en 1986, c’est Short Circuit qui sort sur les écrans mondiaux. On retrouve le yes man John Badham derrière la caméra, une actrice à la mode à l’époque, Ally Sheedy, le duo Steve Guttenberg – G.W. Bailey de Police Academy en protagoniste-antagoniste et un second rôle comique largement offensant Fisher Stevens (l’acteur y est bronzé pour jouer un scientifique indien asexué avec un accent à couper au couteau). Bref, Short Circuit est un film calibré pour marcher auprès de tous les Américains. C’est gentil, c’est parfois sympathique, vaguement drôle, bourré d’action parfaitement inoffensive pour toute la famille et John Badham y montre sa dextérité habituelle, même si c’est très impersonnel. Malheureusement, Short Circuit est aussi sacrément long, particulièrement daté, que ce soit dans la musique ou dans les effets spéciaux et surtout dans l’humour et ne passe plus du tout en 2014.

Short Circuit est un film qui devait marcher du tonnerre en 1986 mais la société et le cinéma ont bien évolué et il se trouve que ce n’est plus assez pour être considéré comme un bon film.

bon, vu 20 ans après sa sortie..le film a super mal veilli! les dialogues sont cons comme la lune, le scénario ecrit sur un ticket de métro et les acteurs jouent pour des saucisses avec la palme pour "l'heroine" con comme un balai. Bof, bof.

Petite réflexion sous-estimée sur la nature de la vie, de la part d'un petit robot qui se déclare vivant et qui tente d'expliquer que la vie n'est "pas un mauvais fonctionnement" aux militaires venus pour le débrancher. Typique des années 80 (Steve Guttenberg !!) mais porteur d'un message intéressant, quoi qu'on en dise.

Ce film est devenu culte dans ma famille et dans tout le voisinage.Je l'ai regardé, je le regarde encore aujourd'hui et je le regarderai jusqu'à ce que ma cassette soit trop abimée pour le visionner. J'adore ce film plein d'humour qui est adapté aussi bien aux petits qu'aux plus grands : tout le monde y trouve son compte. On s'attache rapidement à ce petit robot de quelques jours dans le film et on aime suivre son évolution aussi bien dans ce premier volet que dans le second aussi bien reussi "Appelez-moi Johnny 5". Un remake est prévu été 2009 alors rendez-vous tous au cinéma pour enfin faire de ce film plus qu'une série "B".

John Badham, capable du pire (Tonnerre de feu - 1983 & Drop Zone - 1994), comme du meilleur (La fièvre du samedi soir - 1977 & WarGames - 1983), réalisait ici un ersatz d’E.T., l'extra-terrestre (1982). Si le film emprunte beaucoup à l’œuvre culte de Spielberg, il sera lui-même très largement copié/inspiré à travers le film d’animation Wall-E (2008) des studio Pixar.

Short Circuit (1986) narre l’histoire d’une arme militaire (sous les traits d’un robot de combat) mise en place dans le cadre d’une expérience scientifique & militaire. Numéro 5 (c’est son prénom) se retrouve pourvu de la parole, d’une intelligence artificielle et des caractéristiques humaines lorsque la foudre lui tomba dessus. Complètement chamboulé, il trouve refuge chez Stéphanie avec qui, il va essayer d’échapper à sa condition de robot (et par la même occasion, en pièces détachées).

Imaginez un robot en lieu et place d'un extra-terrestre, qui est recueilli chez une nana (écolo à ses heures perdues) qui finira vieille fille à force d'accueillir tous les animaux errants d’Astoria. Comme dans le film de Spielberg, ils sont poursuivis par des militaires. Là où les enfants faisaient barrage aux forces de l'ordre, cette fois-ci, c'est la nana qui va s'efforcer de venir en aide au robot. Voilà pour les similitudes.

Si vous avez eu (quand vous étiez enfant) un robot en guise de jouet et si par chance, vous étiez tombé sur ce film étant gosse, impossible pour vous ne pas succomber aux charmes et à l’humour de Numéro 5, ce gentil robot doté d’une conscience. Maintenant, si vous n’avez jamais joué avec des robots et que vous découvrez ce film sur le tard, vous risquez fort de vous y ennuyer. En effet, Short Circuit (1986) accuse le poids des années, il jongle entre l'action et la comédie mais à trop vouloir verser dans la comédie familiale, il devient rapidement lassant, pour ne pas dire lourdingue. Avec ses inévitables personnages stéréotypés à outrance, entre les vilains militaires et les gentils (et parfois benêts) scientifiques. L’anthropomorphisme poussé à outrance, avec des gags qui n’en sont pas, des personnages fatigants (l’immonde VF de Fisher Stevens avec son ignoble accent pakistanais et Ally Sheedy, plus fatigante qu’autre chose).

Sous couvert de réaliser un film familial donneur de leçon (d’humanité et de tolérance), au final, le film accuse lourdement le poids des années, voir cette boîte de conserve sur chenilles se dandiner pendant 90min, s’avère bien long et lassant. Autant voir ou revoir le chef d’œuvre de Pixar ou le film culte de Spielberg.

A noter qu’il existe une suite intitulée Appelez-moi Johnny 5 (1988) et réalisée par Kenneth Johnson.

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Les tribulations de Johnny 5, un robot
attendrissant qui échappe à ses créateurs et à l’armée. Une comédie très 80’s assez niaise et très kitch mais sympathique qui se regarde (surtout) avec nostalgie. 2,25

Une sympathique comédie d'aventure qu'il vaut mieux avoir découvert à l'époque parce que les années se font méchamment sentir. Les effets spéciaux y sont amusants et numéro 5 est des plus attachant mais le manque de rythme plombe sacrément l'ensemble, la faute notamment à un script assez faiblard, ce n'est pas toujours hilarant. Malgré tout les scènes d'action passent bien et le final est bien trouvé. Sa suite directe Appelez moi Johnny 5 sera, selon mes souvenirs, plus dynamique.

Une petite comédie sans prétention, drôle parfois, touchante par moments. Les effets spéciaux font sourire quelque peu, mais on passe un bon moment tout de même.

J'ai vu que certaines personnes avaient sensiblement et généreusement mis 3 voir 4 étoiles, il ne faut quand même déconner c'est pas un grand film, le robot est sympa mais le reste est décousu...

Mélangeant comédie et science-fiction, Short Circuit est film familial sympathique. L'histoire nous fait suivre un robot destiné à des fins militaires, qui après avoir été frappé par la foudre, va se découvrir une conscience et un sens de l'humour très développé. Complètement déboussolé, il va faire la rencontre d'une femme, alors que dans le même temps l'armée le recherche. Ce scénario intrigant est plaisant à suivre de bout en bout sur toute sa durée d'une heure et demie, forte d'un rythme soutenu par cette chasse au robot, malgré une intrigue sans réelle surprise. Si le ton se veut amusant, au fond il traite d'un sujet complexe et passionnant. Une thématique abordée d'une belle manière grâce à ce robot devenant rapidement attachant. Un superbe personnage, bien plus humains que les Hommes eux-mêmes, qui entretient une relation grandement appréciable avec sa protectrice interprétée par Ally Sheedy. Les autres personnages sont un peu moins agréables, notamment les antagonistes. La machine est tellement géniale que les scènes sans elle perdent de leur saveur. Car si les répliques sont si marrantes, c'est en grande partie grâce à numéro cinq, qui balance ses pensées sans filtre, sa crédulité le rendant très drôle et même touchant. L'ensemble est convenablement réalisé par John Badham et les environnement ou se déroule l'intrigue sont variés. Les effets-spéciaux sont eux convaincants et le robot paraît plus vrai que nature. La b.o. pour sa part se veut dans le ton en accompagnant bien l'action. Reste une fin satisfaisante venant mettre un terme à Short Circuit, qui au final s'avère être un long-métrage méritant d'être découvert.