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    Vera Drake
    Note moyenne
    4,0
    27 titres de presse
    • L'Humanité
    • Le Figaro
    • Le Figaroscope
    • Le Monde
    • Le Point
    • Ouest France
    • Positif
    • Première
    • Rolling Stone
    • Studio Magazine
    • Télérama
    • Zurban
    • Ciné Live
    • Cinéastes
    • France Soir
    • L'Express
    • Paris Match
    • Score
    • Télé 7 Jours
    • TéléCinéObs
    • MCinéma.com
    • aVoir-aLire.com
    • Cahiers du Cinéma
    • Chronic'art.com
    • Les Inrockuptibles
    • Libération
    • Studio Magazine

    Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.

    27 critiques presse

    L'Humanité

    par Jean Roy

    Certes le film est sage, classique, à l'ancienne si l'on veut, mais tant le sujet que l'époque ne demandaient rien d'autre. Mike Leigh est un humaniste, non dépourvu d'humour par ailleurs, et c'est toujours avec bonheur que l'on partage un moment de sa chaleur et de sa lucidité.

    Le Figaro

    par Marie-Noëlle Tranchant

    Voir la critique sur www.lefigaro.fr

    La critique complète est disponible sur le site Le Figaro

    Le Figaroscope

    par Françoise MAUPIN

    est-il vraiment possible que cette charmante quinquagénaire (...) n'ait pas connu d'accident de parcours en vingt ans d'exercices clandestins ? C'est toute la force du film et de son interprète, Imelda Staunton, primée elle aussi sur la lagune que de faire croire en l'invraisemblable. Mike Leigh parle avec délicatesse d'un grave et insoluble problème de société, ce dont on peut lui savoir gré.

    Le Monde

    par Jean-luc Douin

    Il y a quelque chose de cette sombre philosophie des déshérités dans le film de Mike Leigh, qui montre comment une personne propre peut subir une expérience dévastatrice à être définie comme criminelle. Son propos n'est pas d'excuser un acte qui pouvait avoir des conséquences dramatiques, mais de souligner qu'il fut (...) deux poids deux mesures et de renvoyer à ces gens condamnés pour avoir résolu leur dilemme moral d'une façon différente de la loi (...).

    La critique complète est disponible sur le site Le Monde

    Le Point

    par Olivier De Bruyn

    Voir la critique sur www.lepoint.fr

    La critique complète est disponible sur le site Le Point

    Ouest France

    par La rédaction

    Mike Leigh (...) évite le traquenard d'une démonstration engagée ou d'une approche morale sur un sujet épineux. Et il se prémunit tout autant contre les effets lacrymogènes d'un sujet mélodramatique. Il préfère, dans une démarche emprunte d'humanité, donner à penser et à réfléchir, à travers une galerie de portraits justes et délicats, qui éclairent le jugement de tout un chacun.

    Positif

    par Olivier De Bruyn

    Avec une rigueur implacable, Leigh donne à voir un processus terrifiant. Terrifiant et ordinaire. Ce faisant, il offre à la fois un portrait de son pays dans la torpeur persistante de l'après-guerre, et surtout ajoute une pîerre (de choix) à son édifice personnel, voué à la traversée des apparences.

    La critique complète est disponible sur le site Positif

    Première

    par Sophie Grassin

    Imelda Staunton, au visage inquiétant, trottinant dans un Londres monochrome, sert avec abnégation ce film dur, impératif et bouleversant.

    Rolling Stone

    par Isabelle Danel

    Vera Drake est un immense film. Jamais appuyé, le constat de Mike Leigh sur la Grande-Bretagne des années 50 est implacable. Une époque d'après-guerre où les moeurs se libèrent mais où les lois restent de fer, où la pauvreté, l'absence de choix, sont le lot quotidien des petites gens. C'était hier, mais ça ressemble à aujourd'hui. Et c'est ce qui est beau et terrible à la fois.

    Studio Magazine

    par Thomas Baurez

    Voir la critique sur www.studiomag.com

    Télérama

    par Pierre Murat

    Lion d'or à Venise 2004, Vera Drake est un pamphlet contre l'hypocrisie de sociétés édictant des lois que les pauvres subissent et que les riches déjouent. (...) Pour Mike Leigh, l'entraide entre déshérités s'avère une évidence et une nécessité. Et tant pis si certains violent la loi.

    La critique complète est disponible sur le site Télérama

    Zurban

    par Addison de Witt

    Le talent conjugué d'un cinéaste et d'un actrice font d'un destin minuscule une tragédie universelle. Du grand cinéma.

    Ciné Live

    par Véronique Trouillet

    Voir la critique sur www.cinelive.fr

    Cinéastes

    par Vladimir Lecointre

    Si, en cherchant à faire le bien, Vera s'affronte inévitablement à la Loi, c'est que cette dernière est mauvaise. Cette démonstration un peu simpliste serait pesante si Mike Leigh n'avait pas dirigé d'excellents comédiens. Il prend le temps de nous présenter notre famille d'accueil en accordant un soin particulier aux gestes quotidiens. La sobriété formelle laisse toute la latitude aux acteurs pour déployer leur talent méticuleux : bien qu'incarnant des figures archétypales ils évitent tous la caricature par la justesse de leur jeu.

    La critique complète est disponible sur le site Cinéastes

    France Soir

    par Richard Gianorio

    le cocon familial s'effiloche sous la caméra de Mike Leigh, le brillant réalisateur anglais qui signe ici un solide mélo piqué d'une réflexion sociale.

    L'Express

    par Christophe Carrière

    Voir la critique sur www.lexpress.fr

    Paris Match

    par Christine Haas

    Le résultat est curieusement ambigu. A la fois pour la vie et pour l'avortement. Et le dilemme moral posé, il laisse le spectateur trancher.

    Score

    par G.D. Jones

    Qu'est-ce qui fait que ce film là fonctionne pplus que les autres ? La mise en scène, parce que pour la première fois de sa carrière, Leigh abandonne ses tics télé horripilants pour réaliser un vrai mélo, multipliant les scènes tendues et réussissant à créer une émotion juste, avec un minimum de moyens.

    La critique complète est disponible sur le site Score

    Télé 7 Jours

    par Gérard Lenne

    Mike Leigh a tiré un film criant de vérité, d'une sobriété et d'une profondeur humaine rares, reposant pour une bonne part sur l'interprétation d'Imelda Staunton.

    TéléCinéObs

    par Elodie Lepage

    Si le nouveau long métrage de Mike Leigh, lion d'or au dernier Festival de Venise, n'est pas un film politique à proprement parler, sa mise en scène, habile, invite constamment le spectateur à chercher à comprendre le comportement et les motivations de cette femme énigmatique, incarnée avec sobriété par l'impressionnante Imelda Staunton.

    MCinéma.com

    par Marc Kressmann

    Imelda Staunton livre effectivement une performance très juste d'une femme avorteuse dépourvue de cynisme qui fait son boulot comme on sert la soupe aux nécessiteux. Rien à redire de ce côté-là. Hélas, Mike Leigh abuse des grosses ficelles scénaristiques. Il oppose sans grande finesse exploiteurs et victimes, capitalisme et travailleurs, histoire de bien plomber l'ambiance et souligner ses propos. Trop de pathos tue le pathos, et l'on sort de ce film sans le souvenir d'une grande émotion.

    aVoir-aLire.com

    par Romain Le Vern

    le réalisateur édifie à travers son portrait une parabole sur une société d'apparence et en creux décortique l'hypocrisie sociale sans verser dans le manichéisme, en peignant avec la même acuité ceux qui compatissent, ceux qui haïssent parce qu'ils se haïssent eux-mêmes et ceux qui ne comprennent pas. Plein d'empathie et de compassion pour un coeur simple innocent et manipulé mais le résultat est un peu pesant.

    Cahiers du Cinéma

    par Antoine Thirion

    125 minutes monochromes en vitrines Laura Ashley vintage s'acharnent à déjouer toute piste trop facile. (...) à force d'immobilité, toute devient simplement idiot.

    Chronic'art.com

    par Guillaume Loison

    Le plus triste, c'est finalement le niveau du film, aussi inattaquable que le sujet. Leigh sait indéniablement faire du cinéma, mais sa mise en scène enfonce des portes ouvertes (...). La suite est pire encore. Plus l'étau de la justice se resserre et plus Mike Leigh déroule son talent au profit d'un larmoiement putassier.

    La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com

    Les Inrockuptibles

    par Amélie Dubois

    Une dénonciation facile qui s'appuie sur la victimisation (...) et le chantage affectif, pathétique démonstration de l'humanisme de pacotille d'un réalisateur pétri d'autosatisfaction.

    Libération

    par Ange-Dominique BOUZET

    Derrière cette misogynie travestie en analyse de classe, c'est une vision très particulière de l'avortement qui est montée en épingle : un crime "excusable" face à ces drames extrêmes que sont le viol pour les jeunes filles et le fait de cumuler déjà dix-huit enfants dans un deux-pièces sans toilettes pour les femmes mariées. Dans les années 50, cela pouvait passer pour une vision progressiste. En 2005, la "croisade" de Mike Leigh relève d'une régression accablante.

    Studio Magazine

    par Michel Rebichon

    Voir la critique sur www.studiomag.com

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