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    Speed Racer
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    490 critiques spectateurs

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    sword-man
    sword-man

    73 abonnés 1 017 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 4 mai 2013
    Après "Matrix" les frères Wachowski continue dans leur lancé expérimental d'hybridation du cinéma avec "Speed Racer" mais cette fois ci dans un film pour enfant compréhensif par tous. Mêlant les codes du dessin animé et du jeu vidéo en langage cinématographique, "Speed Racer" est une oeuvre hybride révolutionnaire ou le montage se confond avec la mise en scène. Notre notion de spectacle est redéfinit, on tient là le "Citizen Kane" des années 2000. Même si lors de plan fixe la technique montre ses limites. Beaucoup critiqué pour son scnario, celui ci est pourtant plus profond qu'il n'en a l'air, traitant du passage à l'âge adulte et d'un discours anti conformiste accessible à tous. Boudé au box office on a pourtant vu ses effets de montage repris un peu plus tard dans des films acclamés comme le Tintin de Spielberg ou passé et présent se répondent dans le même plan. "Speed Racer" est un film ultra spectaculaire et révolutionnaire, unique, mélant diverses univers geek qui devrait être reconsidéré dans les années à venir car les oeuvres visionnaires sont rarement comprises lors de leur sortie, trop en avance sur leur temps.
    Darren E
    Darren E

    9 abonnés 18 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 6 novembre 2015
    Je n’aime pas utiliser cette phrase, je trouve qu’elle fait « pédante », mais la plupart des critiques négatives n’ont juste pas compris Speed Racer. Car soyons clairs, le film ne prétend pas un instant sembler réel ou arborer un scénario révolutionnaire, le juger sur ces critères serait être hors-sujet. Alors sur quoi le juger ? Quel est son but ? Son but est d’explorer de nouvelles techniques de réalisations dans un divertissement rendant hommage à un vieux dessin-animé. Et de ce côté, c’est une réussite totale et c’est bien la preuve que blockbuster familial et film expérimental ne sont pas incompatibles. Ce qui est d’ailleurs intéressant est que ces deux différents aspects se servent ici l’un et l’autre : un exemple simple, passer de voiture en voiture en vitesse ultra accélérée pour suivre une conversation entre deux pilotes renforce le dynamisme de la scène servant ainsi le divertissement. Et le film est truffé de trouvailles de cet acabit dont je ne vous gâcherai pas la surprise. J’ai envie ensuite de souligner deux moments de bravoure du film : tout d’abord le combat contre le ninja (je resterai vague pour ne pas spoiler) déborde de bonnes idées qui, à l’inverse de la majorité du film, sont complétement orientées vers l’humour et offrent une scène hilarante. Il y a ensuite la scène d’ouverture qui est un véritable chef-d’œuvre de narration mêlant flash-back, flash-back dans le flash-back, dialogues posés, fragments de courses effrénées, le tout dans un ensemble étonnamment homogène et cohérent. C’est peut-être le seul bémol de ce film d’ailleurs : à l’image de X-Men 2 la scène d’ouverture est à un tel niveau de perfection que le reste du film déteint un peu. Je ne peux au final pas être exhaustif sur ce film : trop de trouvailles, d’emprunts, de clin d’œil aux jeux-vidéos et animés japonais, je n’en aurais jamais fini. Ce que je souhaite est uniquement que vous vous intéressiez à ce film ou que vous lui accordiez une seconde chance si vous vous étiez fourvoyés à son sujet car soyons honnêtes, ce film mérite bien ça.
    NeoLain
    NeoLain

    4 222 abonnés 4 741 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 4 octobre 2013
    Speed and color in the eyes... Depuis Matrix, Les Wachowski sont dans un cocon à part, et il nous donne tant de joie, pour la classe geek, la classe de ceux qui ont faim d'audace. Speed Racer est l'adaptation du manga. Ce long-métrage est à voir en cinquième vitesse sous un horaire la plus tardive, le soir ou la nuit donc. Votre télé, votre home-cinéma le son à fond. Les Wachowski sont une combinaison d'un alliage, c'est du titane, il est également effarant de voir la légèreté et solidité qui se peinture sur l'écran, effet bande-dessiné sous des couleurs pétantes. L'histoire est si limpide, fluide comme la vitesse de ces folles bagnoles. Ambiance derby, stock-car, wipeout. De la combativité, compétition mécanique et de l'esprit, l'espoir jusqu'à la ligne d'arrivée final, celle ou la gloire sonne comme le son d'une cloche, ainsi que comme Neo, l'élu, ici aussi l'avancée christique (superbe partition de Michael Giacchino), un aboutissement explose. Bref, Speed Racer vide son essence dans votre intérieur et le mélange opère. Jouissance.
    Critique de Monique Pantel dans Europe 1
    Critique de Monique Pantel dans Europe 1

    62 abonnés 355 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 septembre 2014
    C'est mon film préféré de la semaine ! Alors pendant une heure, ce film sur les courses de voiture ne speede pas beaucoup pendant une heure. Et après ça démarre ! Ca décoiffe, c'est marrant, c'est superbement filmé avec des trucages sensationnels. C'est sympathique, et c'est bien, quoi. C'est simple comme bonjour : Speed Racer est coureur, comme on s'en doute. Il est joué par Emile Hirsch. Donc avec son papa, qui lui fabrique un bolide surpuissant, sa maman, et son petit frère, il se bat contre les méchants qui veulent truquer les courses ! Il va faire une course formidable, c'est jubilatoire. [Susan Sarandon] elle est très sympa et elle fait la maman. Ceci dit je vais rajouter un truc un peu intello : c'est quand même pas digne de ceux qui ont fait Matrix, hein. C'est pas du tout le même genre. Mais au milieu du désert cinématographique de cette semaine, c'est le film que j'ai préféré.
    landofshit0
    landofshit0

    248 abonnés 1 745 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 juillet 2008
    Ce speed racer est une bonne surprise dans le genre film de môme popcorn,il se situe a la frontière entre spy kids pour le coté enfantin et charlie a la chocolaterie pour son visuel.Même si la majeur partie du film voir la totalité donne l'impression d'assister a une partie de jeu video,a laquelle on ne participe pas.Ce n'est pas grave car le film est si bien mené que que l'on ne s'ennuie pas une seconde tant les courses de voitures sont visuellement et rythmiquement parfaitement construites.Evidement le gros point faible de speed racer reste son histoire bien trop simpliste et sont style visuel et graphique un peu trop lourd,mais en même temps ça reste un film de môme popcorn qui remplit parfaitement son rôle.
    reymi586
    reymi586

    399 abonnés 2 444 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 mars 2016
    Il n'y a que les Wachowski pour sortir un ovni tel que Speed Racer ! Je n'ai pas été passionné par l'histoire mais d'un point de vue visuel quel boulot ! J'ai trouvé ça incroyable, de très bon goût en restant fidèle au manga originel et avec un casting 5 étoiles. Un film, d'après moi, incompris qui mérite bien plus que la réputation qu'il traîne (ce qui m'a repousser de le voir jusque là).
    SpiderBaby
    SpiderBaby

    38 abonnés 619 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 23 mars 2009
    Film repoussant, propulsé vers ma corbeille à une vitesse fulgurante.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 13 août 2011
    0/20 : Une réunion d'acteurs excellents (Susan Sarandon, Emile Hirsh, Matthew Fox, Christina Ricci) où leur interprétation n'est pas du tout approfondi (d'ailleurs que font-ils ici ?), les effets spéciaux donnent au film un aspect "guimauve" à vomir, les dialogues et le scénario sont enfantins et poussifs. C'est con, long, lourd...bref, une merde.
    Wolverine1992
    Wolverine1992

    96 abonnés 405 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 15 mars 2015
    Grâce à des effets spéciaux hallucinants et des séquences d'action éblouissantes, Speed Racer nous propulse au volant d'un bolide pour une expérience hors du commun !
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 30 janvier 2013
    Un an avant la consécration d'Avatar par la presse et les spectateurs, les frères Wachowsky réalisaient un film unique, sans futur ni passé, donc. Pour comprendre l'aboutissement qu'est Speed Racer, il faut remonter une dizaine d'années auparavant : Matrix, premier du nom, évoquait la fascination qu'éprouvaient les deux cinéastes pour le pourvoir du numérique. Malheureusement, l'intrigue tarabiscotée du film en laissait aussi supposer leur méfiance, et la libre expression des procédés virtuels en était altérée. L'objet de la passion des Wachowsky ne s'épanouissait alors que dans quelques séquences qui offraient au cinéma d'action sa définition la plus actuelle. 8 ans plus tard, ils décident enfin de laisser libre cours à l'objet de leur fascination.
    Snobé (voire méprisé) par la presse, il a été reproché à Speed Racer une certaine stupidité de son intrigue. En vérité, l'intrigue de Speed Racer n'est pas stupide. Elle est simpliste, tellement simpliste qu'elle en devient faiblarde, donc facilement eclipsable par la gloutonnerie du numérique. Car les Wachowsky, au final, n'en ont cure de l'intrigue de leur objet : elle n'est là que pour éviter que leur film adopte un rythme répétitif (le cas de Sucker Punch, cette année), et pour satisfaire les exigences du marketing. Ainsi, le film accouche de quelques scènes bancales, des scènes de dialogues, assez inintéressants en somme, mais d'où semble tout de même s’échapper quelques restes du délire visuel de Speed Racer : les couleurs pops qui enveloppent l'image dans une hystérie numérique, les effets de mise en scène et de montage excentriques (superposition visuelle de l'énoncé et de la situation d’énonciation), les étrangetés de perspective et de profondeur de champ. Pour le reste, c'est une incroyable orgie visuelle. La problématique du réel abordée grossièrement dans Matrix est complètement inexistante ici : ce n'est qu'un déluge d'images virtuelles époustouflantes, s'affranchissant des lois physiques, optiques et logiques. Il ne s'agit ici que d’impressionner, que d'éblouir, c'est là que se situe la fascination des Wachowsky pour le virtuel. La méfiance que les deux cinéastes avaient évoquée dans Matrix se justifie ici : lâché à toute vitesse, l'entité numérique dévore tout ce qui peut la ralentir : la trame n'existe plus, au profit d'une narration visuelle complètement folle, et les personnages sont happés par l'intensité du montage (le présentateur, dans son enthousiasme excentrique, redevenant Melvil Poupaud : « putain de sa mère il a un flingue ! »). La scène finale marque l'aboutissement de cette gloutonnerie visuelle : le montage alterne tout d'abord les images de la course, abstraites, avec celles d'une sorte de « bilan » de l'intrigue. Puis, tout s'accélère, la trame disparaît et laisse place aux spectateurs hystériques, aux regards époustouflés de la foule. La logique voudrait que les gens crient car Speed gagne. Or, toute trace de logique anéantie par l'abstraction visuelle et la vitesse folle, il ne s'agit ici que de spectateurs acclamant cette orgie visuelle. Ainsi, lorsque Taejo Toghokan bondit de joie lors de la victoire de Speed, il n'est plus à nos yeux qu'un spectateur comme un autre, comme nous, s'enthousiasmant devant le spectacle impressionnant, vain, vide, du numérique dans son épanouissement le plus total.
    Dawasta
    Dawasta

    45 abonnés 635 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 3 avril 2015
    Une horreur visuelle, une mise en scène de mauvais goût vomissant de la couleur saturée pendant deux longues heures. Le scénario est sans surprise, l'univers enfantin et ses personnages énervants sont un vrai calvaire... Le début ressemble à Charlie et la chocolaterie et la dernière partie à Tron. On a l'impression de regarder la cinématique d'un jeu de course sur console. La seule chose que l'on retrouve des Wachowski est cet esprit de vouloir changer les choses, en rébellion contre l’oppression et l'ordre établi. Un gros navet coloré. (Nul)
    Malevolent Reviews
    Malevolent Reviews

    892 abonnés 3 207 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 1 mai 2013
    Les Wachowski sont deux êtres extrêmement intrigants. Après avoir réalisé le petit thriller intimiste Bound, ils ont explosés au grand jour avec la trilogie Matrix et sont devenus des réalisateurs cultes auprès d'une toute nouvelle génération. On les savait fans de mangas, aussi décident-ils en 2008 d'adapter le dessin animé "Speed Racer" sur grand écran. Annoncé comme quasi-révolutionnaire avec des graphismes inédits et des courses futuristes dantesques, le long-métrage a énormément intrigué. Au final, on croit à une blague, une parodie de ce que les Wachowski voulaient faire, ou pire encore : une insulte, autant pour leurs fans respectueux de l'univers visuel ahurissant de Matrix, autant pour les fans du manga originel. Une 3D affreuse (dite la 2D ½), des décors mal incrustés, des couleurs fluos criardes digne de Thunderbirds, un montage des plus mal fichus et des personnages aussi ridicules qu'inconsistants, rien n'est à sauver ! Le scénario est également à blâmer : entre flashbacks mal gérés et scènes d'action incompréhensibles le tout sous fond d'histoire archi-vue, Speed Racer ne peut que décevoir. Je ne m'éternise pas sur la musique cartoonesque et les dialogues sirupeux qui enfoncent le film dans le navet intersidéral... Que font Emile Hirsch, John Goodman et Susan Sarandon dans cette galère ? On soutient que c'est une simple erreur de parcours galvaudée, autant pour les acteurs sus-nommés que pour les frères Wachowski.
    lhomme-grenouille
    lhomme-grenouille

    3 139 abonnés 3 170 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 28 juin 2008
    S'il s'agissait seulement de partir du bon vieux principe du simple film de courses, prétexte à de multiples giclées d'adrénaline, où aurait-été le problème ?! Mais « simple » ne semble plus vraiment faire partie du vocable des frères Wachowski puisqu'ils ont estimé indispensable de plonger le tout dans un gros marasme épileptique de guimauve fluo dont le but avoué apparaît bien être l'overdose. Même s'il est bien évidemment assumé, on a du mal à comprendre cette surenchère de ringardise et ce mauvais goût surappuyé. Aux décors Lego criards s'ajoutent en plus des musiques très « tabadaboum-tsoin-tsoin », des jeux d'acteurs surjoués, des situations stéréotypés ...et un chimpanzé domestique comme on en voyait au temps des pubs Homo-Micro ! « Oula ! Muy crapoto le dernier Wacho ! » En un mot c'est infâme. Même les moments de courses – somme toute les véritables attractions de ce film - sont finalement irregardables tant elles ressemblent à des stroboscopes de couleurs disco en image de synthèse. Après tout ça. Si vous résistez à ce déluge de mauvais goût, si vous n'avez pas dû quitter la salle en raison d'un décollement de rétine, vous pourrez toujours vous laisser surprendre par un léger frémissement sur le final. Non pas qu'on est vu ou compris grand-chose, mais on commence à deviner dans quel délire épileptique ces cher Wachowsky aurait voulu nous conduire. Bref, entre la vaste foutaise qui vaut zéro et le beau gâchis qui peut valoir une petite étoile, il est difficile de trancher. Mais, une chose est sure : voilà un "Speed Racer" qui passe bien à côté de son sujet et qui peinera terriblement à vous faire passer ne serait-ce qu'une bonne soirée.
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    6 156 abonnés 7 228 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 24 juin 2008
    Les frères Wachowski, à qui l’on doit l’impressionnante et révolutionnaire trilogie sur la Matrice : Matrix (1999) , Matrix Reloaded & Revolutions (2003) adapte au cinéma la série animée Japonaise Mahha Go Go Go (1967) de Tatsuo Yoshida. Et le résultat est pour le moins, inattendu et limite écoeurant !
    Un mix entre des comics, des cartoons et des mangas, les frères ont voulu toucher à tout sans chercher à ce que le résultat final soit digeste, si bien que l’on en ressort exténué, mal de crâne et fatigue, après deux longues heures où la première partie paraît interminable face à la seconde qui bizarrement est tout son contraire, plus rapide, plus d’action, plus distrayante. Speed Racer est un film de voitures de courses à conseiller aux enfants, trop colorés, les plans en accélérés s’accumulent devant vos yeux sans pouvoir les voir. Cela va trop vite, on ne peut lors de certaines séquences, rien distinguer ! On a l’impression de voir une partie de jeu vidéo avec de vrais acteurs. D’ailleurs, c’est un peu du gâchis d’avoir réunit un tel panel de stars pour un film si exténuant (Emile Hirsch, Christina Ricci , John Goodman , Susan Sarandon & Matthew Fox). Sans oublier les blagues lourdingues, notamment entre l’enfant et le chimpanzé, trop répétitifs et lassants !
    14caen
    14caen

    40 abonnés 1 087 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 14 avril 2011
    C'est un vrai bordel ce film. Trop de couleurs. Il y a pas de scenario et la mise en scène est complément ratée et les effets speciaux c'est un cauchemar. Les réalisateurs de Matrix m'ont déçu.
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