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chrischambers86
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2,5
Publiée le 11 août 2013
Le paradoxe des cultures selon Djamel Bensalah! Johnny est montrè comme un jeune français de banlieue qui vit avec des beurs mais aussi comme un garçon sympathique et attachant partagè entre deux pays même s'il se dit algèrien à part entière! Comèdie haute en couleur, "il ètait une fois dans l'Oued" èvoque sur un ton plaisant l'histoire de sa rèussite, celle de devenir un èpicier en Algèrie! Dommage que la rèalisation ne soit pas vraiment maîtrisèe et que le scènario se laisse aller à des facilitès (le mariage arrangè) car Julien Courbey est constamment habitè par son personnage! La partie de foot prend même des allures de tragèdie. « Un vieil homme assis vaut mieux qu’un jeune homme debout »...une perle de sagesse qui portera ses fruits pour ce petit blanc beau parleur! Avec la participation amicale de Atmen Kelif, Eric et Ramzy et Elie Semoun qui ne font que passer dans le film! Musicalement, Hoba Hoba Spirit nous revisite le mythique « Reality » de Richard Sanderson entre fusion rock et reggae...
Mouais ... pas vraiment convaincu par cette comédie. Le sujet est caricatural, comme les français savent si bien le faire. Je ne comprends pas bien l'intérêt du personnage principal, qui par la même occasion a une méchante tête à claque, mais bon nous devons pas avoir la même vision des choses. Le côté "bled" est plutôt réussi et parfois, il peut nous faire esquisser un sourire, seulement, ça ne va pas plus loin. Les acteurs sont de bas étage, ça c'est certain, le meilleur est l'enfant. Y a pas de fond, ça sent le vide et puis surtout y a pas de musiques ! A part quelques petits passages sympathiques, il n'y a pas grand chose à tirer de "Il était une fois dans l'Oued", dommage. 7/20.
Le postulat de départ était intéressant quoique étrange, mais après ça s'enlise carrément, et on a même du mal à finir ce mauvais film, qui n'a rien d'une comédie, puis que c'est pas drôle, il faudrait d'ailleurs créer un nouveau jour pour toutes ces comédies pas drôles, au moins on le saurait à l'avance...
Genial,comedie hilarante avec un Julien courbey qui joue très bien et qui porte une partie du film sur ces épaules. le scenario est magnifique. Rien d'autre a dire sauf de courir le voir.
il y avait une telle ambiance dans la salle qu'il m'est difficile d'écrire une critique objective sur ce film drôle et touchant. la salle était pleine et vibrait à chaque réplique franco-arabe bien sentie, claquant des doigts, frappant dans leurs mains... je me suis donc laissé emporté par le flot de bonne humeur, par les vibrations de légèreté qui traversaient la salle tout le long du film. le début est très drôle, les blagues font mouche et c'est un réel plaisir de constater que le réalisateur apprend de film en film et nous livre une copie toujours plus soignée, rythmée, aboutie. courbet est remarquable et donne plein de poésie à un personnage déjà bien écrit. le seul bémol serait que le film ne décolle pas d'un point de vue émotionnel, le réalisateur semblant être mal à l'aise avec les émotions à fleur de peau de son personnage. il privilégie donc le suspens avec l'histoire qui frappe son second rôle, restant ainsi dans l'humour. néanmoins, c'est une très bonne surprise, légère et dynamique. à découvrir!
Dans le petit monde du cinéma français, il y a Djamel Bensalah, réalisateur plutôt habile de films grand public, toujours drôles mais avec une petite dimension dramatique et intelligente sous-jacente à un propos potache.
Son troisième film, pitché par les énergumènes du 113 (pas les rappeurs français les plus intelligents, mais assurément les plus drôles, ou presque), est une chronique sur les étés au bled des jeunes de banlieue à la fin des années 80. Une comédie évidemment, comme d’habitude chez Bensalah, mais aussi un film un peu amer, très nostalgique de cette époque qui paraît révolue, à la réalisation plutôt efficace (même si Bensalah ne peut s’empêcher de mettre des scènes potaches hors de propos), au scénario plutôt étonnant et aux interprétations vraiment bonnes. Julien Courbey sait être un emmerdeur sans être hystérique, il arrive à insuffler une sympathie bienvenue à un personnage plutôt bien écrit, mais l’acteur qui tire vraiment le meilleur de son personnage, c’est l’excellent Sid Ahmed Agoumi, dans le rôle du patriarche, convainquant, drôle et émouvant.
Il était une fois dans l’Oued est donc un film étonnant, convainquant, amusant et surtout passionnant, une vraie chronique réussie comme on en voit trop peu aujourd’hui.
Une comédie gentillette mais un poil caricatural dans sa peinture de l'Algérie et dans son désir de défendre le mariage forcé. A voir pour quelques scènes amusantes...
excellent comédie avec un panel d'acteurs assez jeunes qui nous font tous rire avec des gags bien marrants.
Ce jeune français qui veut à tout prix être mulsuman et se prendre pour un maghrébin et d'une rare originalité, avec des remarques pertinentes asses drôles.
Ce film se laisse regarder en toute tranquilité, et vous fera passer une superbe soirée, l'histoire change de l'ordinaire et quoiqu'un peu loufoque est assez drôle ; mais cette comédie a de bonnes bases et tient bien la route.
Une bonne comédie à la française comme on les aime que je vous recommande à tous, les enfants et les vétérans seront ravis devant ce film.
Pas un film très captivant, ni très drôle, ni très orginal, avec beaucoup de clichés (j'adore les clichés mais là le second degré n'est selon moi pas assez frappant pour que ce soit drôle). Et le personnage principal, Johnny dit Abdel Bachir est insupportable et difficile à cerner. Néamoins, le film de Bensalah reste plutôt agréable à regarder, avec de belles images de l'Algérie et une bande originale plutôt réussie. Les apparitions d'Eric & Ramzy et Elie Semoun sont très comiques. 'Il était une fois dans l'Oued', sitôt vu, sitôt oublié.
Il était une fois dans lOued est à coup sur, lun des meilleurs films de Djamel Bensalah (Le Ciel, les oiseaux et ... ta mère ! - 1998 & Le Raid - 2001). Johnny Leclerc, alias Abdel-Bachir, un jeune banlieusard, dune mère Normande et dun père Alsacien, simagine quil est un Algérien pur souche et décide donc de retourner dans son pays natal. Entre des parents catholiques et méchamment beauf, et un ami qui ne le croit pas du tout, Abdel-Bachir va devoir compter que sur lui même pour prouver quil est bien, ce quil est. On retrouve un Julien Courbey méconnaissable et vraiment formidable, dans une comédie où lon prend plaisir à rire des nombreux clichés que nous offre Djamel Bensalah, sur la famille Algérienne. Des répliques Franco/Arabe excellentes et une B.O du groupe 113 tout à fait remarquable.
On veut essayer de faire un "vérité si je mens" en sens inverse, et c'est la catastrophe. Trop bavard, on essaye par tous les moyens de faire rire, mais ça ne marche pas. L'acteur principal a une tête à claque tellement il veut être pitre... Aucune subtilité dans ce film, et ce n'est pas en faisant trop qu'on arrive à sa fin. Cette caméra qui ne se pose pas une minute finit par éclater les yeux du spectateur, déjà que les oreilles elles sont foutues. Bref... un vrai massacre du genre, mais pourtant cette seule étoile est dédiée à la réussite de pouvoir tourner avec pleins de figurants anarchistes.qui réussissent après tout à situer l'ambiance...