Avis : Harry Potter et l'Ordre du Phénix - Page 5

Franchement ayant lu les 6 bouquins, je n´ai trouvé que mon bonheur dans les 2 premiers films, pour moi à partir du 3 la qualité du scenario, le 4 n´en parlons même pas c´est une catastrophe, donc je suis allé voir le 5 en sachant que cela n'allais pas être terrible, ce fut le cas. On s'ennuit du début à la fin, c'est mou, seul le duel final vaut le cou d'être vu car c'est le seul moment ou on se dit que l'on n'a pas gaspiller notre argent. C'est beau les effets speciaux, mais ca ne fait pas tout car même si le livre 5 n'est pas le meilleur, ils ont encore une fois baclé le film en proposant un scenario très mal interprété. Encore une deception, vivement le 7 que cette saga se termine au cinéma.

Encore de nombreuses aventures et péripéties pour Harry et ses acolytes pour les forces du mal travaillant dans l'ombre de Voldemor !! Un opus assez rythmé avec un final explosif entre Dumbledore et Voldemor !!

Et encore un! Les Harry Potter se suivent et se ressemblent tous. C'est bien pour les fans de la saga, mais pour les autres, c'est un autre épisode qui ne sert à rien.

Un épisode agréable à regarder comme les précédents. Une histoire prenante et plus sombre, la menace Voldemort grandit. On retrouve le trio Daniel Radcliffe, Emma Watson et Rupert Grint. Le reste du casting est excellent, une fois de plus : Michael Gambon, Alan Rickman, Gary Oldman, Ralph Fiennes, Jason Isaacs, Brendan Gleeson et avec l'arrivée d’une nouvelle méchante Bellatrix Lestrange jouer par Helena Bonham Carter. Les duels à la baguette magique sont réussis.

Certainement le plus mauvais Harry Potter de la saga filmique. Si David Yates reprend les trames les plus importantes du livre (l'A.D., la prophétie, la connexion Harry/Voldemort et la tyrannie du Ministère), le tout est mal rendu à l'écran. Le rythme est affreusement mal géré, la réalisation est trop hachée, la narration n'est pas du tout fluide au point que les scènes ressemblent à un patchwork imbuvable. Harry Potter 5 est donc un film très désagréable à suivre et très ennuyeux. Avec peu d'action, ce film est censé être plus psychologique et traiter de thèmes assez riches. Mais en plus du manque de fluidité dans la narration, tout s'enchaine trop rapidement, rien n'a le temps de se poser, beaucoup d'explications primordiales passent à la trappe, les scènes se suivent sans avoir de lien entre elles, les passages intenses du livre sont expédiés en quelques secondes et perdent ainsi de leur force, et des personnages importants font de la pâle figuration (Drago Malefoy, Luna Lovegood et surtout Kreattur). Je passe sur les changements par rapport au livre car ils ne sont pas si graves, les défauts du film résidant avant tout dans sa réalisation qui ne fait ressentir aucune émotion, ni même une ambiance angoissante et épique. Les acteurs sont affreusement mauvais, Emma Watson et Evanna Lynch en tête. Cependant, et c'est bien le seul point positif du film, la performance de Daniel Radcliffe et de Imelda Staunton (Dolores Ombrage) est remarquable. Cette dernière réussit à rendre son personnage détestable même si elle est moins tyrannique et révoltante que dans le livre. En bref, Harry Potter et l'Ordre du Phénix est un véritable gâchis. Comble de tout, il s'agit du film le plus court de la saga alors que le livre est le plus long. Lisez-le plutôt que de voir ce carnage.

« Harry Potter et l’Ordre du Phénix » est donc un très bon film fantastique où la magie tient toute sa place. L’histoire est plaisante et l’intrigue tourne une nouvelle fois autour de Voldemort. Les personnages principaux semblent avoir perdu leur naïveté et les jeunes acteurs prennent en maturité. Les effets spéciaux sont plaisants tout comme les décors qui associent éléments références et nouveautés. Quelques nouveaux visages font leur apparition dans ce cinquième opus de manière remarquée. Le divertissement est au rendez-vous et on ne voit pas le temps passer malgré les deux heures vingt.

Harry Potter and the Order of the Phoenix à la réputation d'être le mauvais rejeton de la série. Il y'a bien des errances, des gros trous d'airs, des passages à vides sur lequel on peu clairement décrocher, un rythme exagérément saccadé qui a cependant quand il s'énerve un peu de quoi compenser ses carences.

David Yates se colle ici à la tache, ce cinquième opus à sa charge cherche à poursuivre le sillon déjà tracé, franchement, il s'en sort ! Il ne tire évidemment pas le summum de son matériel mais il parviens à cadré, à reprendre le train en route et ajoute une petite plus value pour ce qui concerne sa lecture des personnages secondaires qui sans vraiment réussir le pari, capte l'attention. Le gros soucis reste, sans se mentir, ses séquences d'entrainements un peu nunuches, rien n'y ressort et pourtant il y avais de quoi convaincre. Il faut blâmés ses scènes vides, pas le reste ...

Car oui le film sur sa première heure distille un discours plus axé sur la trame et viens entrouvrir des portes plus politiques que je trouve grossier, oui, mais assez habiles et justifiés. De sa ligne conductrice - un peu bancal - ressort un enjeu que l'on devienne interne, une manigance qui relève avec audace une combine que l'on décèle avec aisance mais qui met ses scuds avec efficacité. Comme Harry, on se retrouve démunis. Ces quarante-cinq minutes initiales sont les plus réussies.

David Yates décide de faire le maximum d'entrée, il bâtit sur son scénario, crachote sur quelques points, il introduit néanmoins une Ombrage vraiment tyrannique et détestable, un sommet. Cette peau de vache dévoué à une autre forme d'ordre, autoritaire et dévoyé est clairement le mal le plus terrifiant de ce cinquième film. Tout de rose vêtu, avec son amour des chats, son autoritarisme sadique fais froid dans le dos.

Passés les trous d'airs et virages faciles, le film reprend de l'allant avec son incursion au ministère. L'endroit qui laisse à l'action, aux combats, une veine épique faisant son petit effet. Il y'a des frissons et de l'émotion.

Le film est parfois un tantinet désincarné, il pâtit aussi de la comparaison ( comme son prédécesseur ) avec Le Prisonnier d'Azkaban, plus aboutit et visionnaire que ne l'est ce dernier qui s'inscrit dans la zone de confort orchestré autour d'une histoire fantastique. Le résultat à défaut d’être audacieux concrétise ses gains ...

La saga tourne définitivement en rond pour mieux rentabiliser ce qui est devenu l'une des plus grosses machines hollywoodiennes des années 2000. De plus, les acteurs sont inégaux et la tournure du film prévisible. Je laisse une étoile pour Gary Oldman.

Un bon film dans l'ensemble, que je trouve mieux réalisé que le précédent. L'histoire contient quelques longueurs mais ça reste très divertissant. 15/20

C'est le moins bon des opus à mes yeux surtout à cause du personnage de Dolores Ombrage (Imelda Staunton) qui est incroyablement agaçant.
Sinon les décors sont fantastiques tout comme la réalisation d'ailleurs.
Le casting est le même mais avec cet opus...on assiste à la mort d'un personnage relativement important.
Avec ce film on a le droit à l'amour,l'amitié,la rébellion,la mort et la trahison mais aussi à des doutes et à de la manipulation.
Les scènes dans le département des Mystères (vers la fin) sont d'une puissance inégalable.

5 ème épisode de Harry Potter!!! Continu leur descente dans le coté obscure car il est encore plus que les deux précédent!! Mais toujours aussi génial , les acteurs sont toujours aussi bon et on les voit adulte maintenant dire que l'on les as vu il n'avaient que 12 ans à peine!! Bref l'histoire est génial encore une fois et pour le moment aucun des 5 films n'est raté espérons que les 3 derniers seront aussi bon et on aura une des sagas les plus réussi du cinéma!!

Un des Harry Potter les moins réussi, on commence a se lasser, personnellement, je n'ai pas lu le livre et certains passage sont difficilement compréhensible, peut être un peu baclée, on s'ennui un peu devans se film de plus de 2h sans beaucoup d'action. Dommage.

Alors que la saga "Harry Potter" tourne à la machine à fric gothique, en voir un ancien fait toujours plaisir. Et même si celui-ci a été quelque peu massacré par les critiques (qui semblent ne pas aimer le réalisateur) et un peu par les fans, "L'Ordre du Phénix" reste pour moi l'épisode le plus convaincant et le plus réussi. Même si son histoire ne sert à rien (juste pour dire que Voldemort -et oui, j'ai osé !- est de retour) ne fait pas avancer le contexte principal. Il faut dire aussi que David Yates est un petit malin: fini le temps où il fallait se coltiner 2h3594 de film qui ne servent qu'au final à nous rapprocher de la baston final: Harry vs Voldemort. Mais malheureusement, il y a un petit problème... Autant que David Yates fasse un résumé d'un bouquin de 1 000 pages en 130 minutes, d'accord, mais certains passages pourrait être beaucoup plus exploités (les scènes à londres, le Ministère de la Magie...) et d'autres aurait pu êtres complètement supprimés (le personnage de Luna Lovegood joué par Evanna Lynch, qui n'est qu'une blondasse aussi timbré que n'importe quel film gohique de Mr Burton (ou d'un clip de Cure, a vous de voir). Si les acteurs principaux sont... (voilà mon avis) les seconds rôles tels Gary Oldman en Sirius Black ou Imelda Staunton en Dolores Ombrage sont excellents.
On s'amuse tellement en le regardant qu'on ne vois pas le temps passer. Un vrai bon film voilà !

Après Chris Columbus et ses deux premiers volets d'une platitude certaine servis sans suppléments d'âme, Alfonso Cuaron nous avait livré pour "Harry Potter et le Prisonnier d'Askaban" une oeuvre gothique somptueuse et d'une rare qualité graphique. Mike Newell est revenu à un ceratain académisme, sans en détourner la qualité. 2007, et voilà David "State of Play" Yates, qui signe ici un grand film à la hauteur de l'ouvrage de JK Rowling. Moins d'action, plus introspectif, voire subversif (critique du pouvoir et de la hiérarchie), cet Ordre du Phénix est encore superieur au précédent. Le film n'est certes pas en soi un virage dans la saga (on en est toujours au même point, le scénario se concentrant sur les effets du retour de Voldemort sur les personnages, c'est-à-dire le déni et la peur). Critique de la société et du pouvoir, David Yates l'a déja montré dans sa série télé State of Play, et montre au monde entier son réel talent de metteur en scène. Les nouveaux personnages sont exquis, et la réalisation très soignée et plus viscérale et stylisée que La Coupe de Feu. Enfin les effets visuels sont extrêmements impressinnants, la plupart concentrés à la fin du film, pour matérialiser le combat entre les Mangemaorts et les écoliers, puis entre Dumbledore et Voldemort. Le choix d'une approche plus réaliste de cet univers, finalement de moins en moin féerique, signale une réelle volonté de changement et d'évolution dans la saga la plus populaire de ces dernières années. David Yates réalisera le Prince de Sang Mêlé, et celà s'annonce comme être le premier pas vers la fin d'un univers, déjà entier et clos avec la sortie du dernier livre Harry Potter.

Un opus plus centré sur la psychologie que sur l'action ! très bien et très agréable a suivre mais peut être le moins bon de la saga si il faut en choisir un ... la magie des premier opus disparaît petit a petit pour laissez place au chaos 16/20