Avis sur Le Silence des jambons

Pour les amateurs du genre uniquement. The silence of the hams est une parodie absurde et stupide qui a le mérite de proposer quelques excellents gags (sans poiler: le café, la vache, le téléphone, le mannequin). Le film parodie entre autres : le silence des agneaux, psychose, misery, basic instinct, la famille adams, dallas, dracula et j'en passe... Sans compter pas mals de références culturelles (thriller de michael jackson, georges bush, hilary clinton), et avec en cadeau un cameo de Mel Brooks! Le film est assez inégal alternant des gags visuels inventifs et des jeux de mots qui tombent à plat. Un film rare qui a eu le cran de pousser le niveau de la parodie, un travail minutieux pour créer des incohérences et des décalages comiques entre ce que l'on voit et ce que l'on entend.

Une parodie de films comme les américains aiment les faire. Ici on s'attaque au silence des agneaux et à Psychose. Si le film semble vient partir pendant les vingt premières minutes il devient vite très lourd et on a hâte qu'il se termine.

Le film reprend la formule des parodies de films à la manière de la bande Abrahams, Zucker. Il y a quelques passages amusants mais les gags sont un peu trop évidents et il manque quelques acteurs un peu plus efficaces.

Cette parodie du silence des agneaux est sympathique, mais c'est une des plus nulles. Je vous conseille de vous tourner vers un hot shot ou un agent zero zero !!

Dommage que ce film soit inconnu, car il est tout simplement hilarant !

Ah tiens donc, voilà un cas vraiment très intéressant. Datant de 1994 et au passage complètement inconnu, « Le silence des jambons » est un film qui parodie ouvertement deux chefs d'oeuvre du cinéma : « Le silence des agneaux » et « Psychose ». Comment vous résumer ce truc là rapidement ? Je vous dirai simplement de n'y chercher aucune once de finesse et de vous laisser porter avec délice par le délire qui est ici proposé. Ce film fourmille de gags, qui ne fonctionnent pas toujours, forcément, mais la plupart feraient marrer même une personne privée de ses zygomatiques. Je n'en dis pas plus. Si le cœur vous en dit, regardez-le, c'est la poilade assurée.

100% rire! Ah ! "l Silenzio dei prosciutti" de Ezio Greggio! Ça rappelle quelques souvenirs de VHS au bahut! Ces films sont mal connus! Quelques-uns de Greggio n'ont jamais ètè exploitès en France! Y suivre Billy Zane en agent du FBI Jo Dee Fostar à la trace est une aventure rigolote mais hasardeuse! Quelques pièces importantes manquent pour restituer le puzzle de "The Silence of the Lambs". Pouvait-il en être autrement ? Notre fil d'Ariane ne mène pas vraiment aux couloirs les plus secrets du labyrinthe du Dr Hannibal Lecter et nous sommes impuissant à achever la firme Thirtieth Century Wolf qui règurgite vraiment tout sur son passage! Qu'importe ce que Zane est allait faire dans cette parodie de "The Silence of the Lambs" et de "Psycho" aux gags amusants (les masques interchangeables avec Shelley Winters) mais douteux (la mort de Martin Balsam, le final avec Hitchcock...). A sa sortie, le film a reçu un accueil nègatif de la part des critiques et la seule version DVD a ètè distribuèe en Rèpublique tchèque! Ce fut la dure rançon d'une audace incomprise! Avec un titre pareil il ne fallait pas s'attendre non plus à des miracles...

Le film a beau dater (1994), il réalise quand même quelques bonnes parodies - aussi quelques-unes un peu lourdes - sur des classiques datant d'avant 1994. Il y a de bons moments, aussi, vu sa moyenne, je l'encourage un peu, la vérité se cachant entre 3 et 3,5/5.

Que dire... ? D'un côté, je trouve ça vraiment con et débile mais de l'autre j'ai bien rie !

Dans la lignée de Scary Movie, La tour monparnas infernal et d'autres films à la con, "Le silence des Jambons" reste un classique de brocante comme le DVD de Bigard remet le paquet !

Je suis en général sensible aux films à l’humour absurde, mais là il faut reconnaitre que ce n’est pas du tout imaginatif, et qu’en dehors de quelques rires, souvent par la témérité totale de l’objet, on ne pourra guère compter que sur l’impressionnant casting pour relever un peu l’affaire.
Le casting est franchement bon. Le réalisateur a su s’entourer de quelques guest de prestiges (Mel Brooks, Joe Dante, John Landis…) qui font des apparitions, et il a su composer un casting principal reluisant lui aussi. On trouve ainsi Shelley Winters, Dom deLuise parmi les anciens, et Billy Zane, Charlene Tilton, Joanna Pacula chez les jeunes. Le réalisateur est même là en tant qu’acteur. Sa prestation est d’ailleurs tout à fait honnête en parodie de Perkins dans Psychose. Franchement les acteurs assurent, au moins dans ce qu’on leur fait faire, c’est-à-dire souvent n’importe quoi. Une petite préférence pour le duo Zane-Tilton, la seconde étant particulièrement déchainée dans son rôle et le premier étant tout à fait à propos avec son physique de jeune premier.
Le scénario ne ressemble à rien. Le film accumule les parodies, souvent très lourdes et grosses comme une maison. L’humour absurde c’est bien, mais pas n’importe comment, et autant parfois cela réussit fortement, autant là c’est le minimum du minimum, un peu dans la conception des parodies absurdes de films que l’on sort c’est dernier temps. Quelques gags sympas, mais des trucs énormes, une histoire sans consistance qui finit vite par lasser tant elle ressemble à rien, et c’est assez regrettable car il y avait moyen de conduire une vraie enquête policière dans l’absurde, un peu comme ce que l’on voit dans les bons Leslie Nielsen et les films des ZAZ.
Pour le reste le film offre quelques décors sympathiques (la maison), mais globalement Le Silence des jambons n’est pas vraiment tonitruant. Pas raté, on peut dire que le film fait ce qu’il faut pour s’en sortir, et la mise en scène d’Ezio Greggio n’est pas mauvaise, mais enfin ça manque un peu de gothique (vu que l’ambiance visée relève surtout de cette catégorie). J’ai aussi été un peu déçu par la bande son, qui aurait pu être plus punchie et simplement plus marquante.
Enfin bref, j’attendais quelque chose de décapant et de franchement drôle, ce que peut laisser supposer les vingt premières minutes, mais ensuite on s’enfonce dans la lourdeur et la sympathie que nous inspire le casting ne parvient guère à relever l’affaire. Je lui accorde 1.5 pour les quelques qualités soulignées, mais c’est vraiment dommage.

Lourdingue! J'aime bien parfois des films un peu bebete avec Leslie Nielsen par exemple (pas tous), mais pourtant je trouve ce silence des jambons trop nul et lourdingue. Aucune finesse ni tact, on nous balance toutes les secondes un gag tout pourri et lourdingue. Comment ça peut faire rire et être regardé pendant 1h20mn ?

Une comédie parodique très conne qui plait par son humour lourd et ses blagues à deux balles. Le film comporte quelques belles scènes bien marrantes et certaines répliques font mouche. La multitude d'incohérence fait aussi le succès du film.

Le résumé du synopsis dit tout du film. Avec un casting composé de perdants Charlene Tilton, Stuart Pankin, Phyllis Diller, Rip Taylor, Larry Storch et d'autres personnes qui auraient dû être mieux informées avant de jouer dans ce film comme Billy Zane, Dom Irrera et les réalisateurs Mel Brooks, Joe Dante, John Carpenter et John Landis. Il n'y a pas un seul rire dans Le Silence des jambons qui contient certains des gags les plus minables et les plus révoltants jamais filmés. C'est bien beau de parodier des films populaires comme Psychose ou Le Silence des agneaux mais il faut au moins essayer d'en faire une parodie amusante plutôt que de simplement faire référence au film. Au lieu de cela M. Greggio nomme son héros Jo Dee Fostar et ses méchants Antonio Motel et Animal Cannibal Pizza. La scène de Psychose avec Martin Balsam dans le rôle du détective Martin Balsam une autre référence indescriptiblement non drôle qui était juste bizarre et stupide. Quelqu'un a-t-il sérieusement pensé que cela ressemblait de près ou de loin à de l'humour ou a une parodie...

C'est vraiment du gag bien lourd! Du burlesque comme on en fait plus, pur et dur et élevé au maïs! Super drôle du début à la fin!
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Avec un titre pareil il ne fallait pas s'attendre à des merveilles mais bon il faut être curieux de tout si l'on veut débusquer un petit film méconnu qui vaut le détour. « Le silence des jambons », comédie parodique italo-américaine, fait partie de cette lignée de films qui manipulent sans vergogne l'humour mitraillette au rythme d'environ 1 con./sec. (une connerie-seconde). Mais là où quelques-uns de ses prédécesseurs ou successeurs font mouche en bombardant allègrement (« Y-a-t-il un pilote... », « Y-a-t-il un flic... », « Hot shots », « La cité de la peur » ou dans une moindre mesure les « Scary movies », pour ne citer qu'eux), ce film fait figure de cancre du genre en voyant, au bas mot, 90% de ses vannes tomber lamentablement à la flotte (1 étoile pour les 10% restants et c'est gentil). Tellement idiot, grotesque, et par dessus le marché grassement misogyne, que l'on ne s'étonne même pas d'y retrouver au générique la mention « Silvio BerlusCONi Communications », boîte de production du célèbre bouffon emplastiqué qui mériterait bien de finir ses jours dans la même cage que le « Dr Animal Cannibal Pizza ».