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    Othello
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    Napoléon
    Napoléon

    115 abonnés 1 539 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 10 mars 2024
    Une oeuvre ultra vieillissante mais menée par l'excellent duo Welles-McLiammoir. Welles est très charismatique. Ensuite le scénario, un dérivé de Roméo et Juliette, s'avère simpliste et plutôt sadique, mais reste bien ficelé à l'écran.
    Raphaël A.
    Raphaël A.

    14 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 2 mars 2024
    Il y a Orson Welles et les autres.
    Il est une des seules à utiliser sa caméra. Vous un autre film après montre la pauvreté de ce qu'est devenu le cinéma et combien de cinéastes sont faignants.
    Roub E.
    Roub E.

    727 abonnés 4 820 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 septembre 2023
    Cette adaptation de Shakespeare par Orson Welles vaut surtout pour sa mise en scène. Dès la scène d ouverture présentant des funérailles, il se dégage une force tragique impressionnante. En revanche et ce qui est très gênant pour une adaptation théâtrale, l interprétation laisse beaucoup plus à désirer. J ai trouvé les différents acteurs engoncés dans leurs rôles respectifs, peinant à donner vie à leurs personnages et à leurs textes. Et puis il faut bien reconnaître qu Orson Welles aussi talentueux soit il n est pas crédible pour jouer un Maure (pour cela on dira que c est l époque). Visiblement en proie à d énormes difficultés pour réussir à mettre en boîte son film il s en sort tout de même avec les honneurs d un point de vue technique et de l ampleur visuelle.
    Hotinhere
    Hotinhere

    413 abonnés 4 735 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 24 août 2023
    Une adaptation qui brille avant tout par sa mise en scène magistrale dans un sublime noir et blanc, avec des jeux de lumière et clairs-obscurs fascinants ! En revanche les personnages manquent de profondeur. Palme d'or 1952
    idagnidif
    idagnidif

    3 abonnés 74 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 janvier 2022
    Amour platonique entre un chef de guerre vénitien et une douce et charmante épouse mais qui sera détruit par une conspiration diabolique.
    La manigance, la traîtrise, la jalousie...tout y passe pour pour que la fin soit tragique.
    Redzing
    Redzing

    914 abonnés 4 293 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 22 décembre 2021
    Dans le top des tournages les plus compliqués, on pourrait sans sourciller citer cette adaptation de « Othello », signée Orson Welles. La production s’est en effet étalée sur plusieurs années, obligeant le réalisateur à tourner par morceaux, et à enchaîner les financements successifs… dont ses propres cachets d’acteur obtenus parallèlement sur d’autres films... Welles dut aussi se montrer ingénieux, car au-delà de retravailler la pièce pour qu’elle tienne en 1h30 au cinéma, il modifia des scènes pour accommoder les limites de la logistique. Avec la célèbre anecdote de la scène des bains, tournée telle quelle car les costumes n’étaient à ce moment plus disponibles ! Et pourtant, ce bricolage dans la production n’est aucunement visible à l’écran. « Othello » semble être une œuvre maîtrisée de bout en bout. Mais s’il n’a rien d’un film malade, c’est bien un film de dingue ! Welles retranscrit à merveille ce récit autour d’un Maure vénitien qui déclenche une succession de péripéties en épousant secrètement la fille d’une figure locale. Tout le monde lui envie sa situation. Et, ironie du sort, son second, Iago, parviendra à planter dans cet homme qui a tout ce qu’il désire les germes de la jalousie. L’envie et les bassesses seront donc au cœur du film, qui regorge d’images marquantes. Des plans débullés et des contre-plongées dans des intérieurs labyrinthiques de forteresses, des jeux d’ombres déments, des personnages écrasés par des décors réels, de véritables tableaux créés grâce aux différents niveaux de murailles et chemins fortifiés… Avec en prime un montage très vif, qui explose par moment en mélangeant brutalement cette galerie de personnages sinistres ou naïfs. Le tout servant de bases à des dialogues shakespeariens dramatiques à souhait. A ce niveau, Orson Welles (dont le grimage en maure serait totalement politiquement incorrect aujourd’hui !) se montre moins grandiloquent qu’à l’habitude. Néanmoins l’acteur réalisateur garde sa voix caverneuse et marque dans le rôle-titre. Il est toutefois dommage que le « vrai » protagoniste du film, l’infâme Iago, soit joué par un Micheál Mac Liammóir assez terne. On aurait presque préféré que Welles incarne ce rôle… De même pour Desdemona, incarnée par une Suzanne Cloutier en retrait.
    chrischambers86
    chrischambers86

    11 938 abonnés 12 157 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 avril 2021
    Une leçon de cinèma par Orson Welles qui mise tout ici sur la passion baroque et dèmesurèe! Une adaptation aussi forte que l'inattendu "Macbeth". Non seulement le respect du texte de Shakespeare est permanent mais en plus le souffle de la tragèdie balaie temps et espace spècialement conçus par Welles selon son style et sa propre personnalitè! Oeuvre ètonnante et foutrement moderne où se retrouve la passion et la virtuositè du cinèaste. "Othello" (1951) est un règal pour les cinèphiles! De l'intro (l'un de ces inoubliables moments du 7ème art) au final en passant par les extèrieurs très clairs et la beautè photogènique de Suzanne Cloutier en Desdèmone! En 1955, Sergueï Ioutkevitch donna ainsi une version d'Othello (excellente parait-il) dont on aimerait voir un jour au Cinèma de minuit ou ailleurs! Unique...
    Acidus
    Acidus

    614 abonnés 3 646 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 24 septembre 2020
    "Je ne peux vivre longtemps sans me mêler à Shakespeare". Cette phrase prononcé par Orson Welles montre bien le lien qui unit le cinéaste au célèbre dramaturge. Toute sa vie, les preuves de son admiration pour William Shakespeare se sont multipliés. En 1948, Orson Welles réalisait déjà une adaptation cinématographique de MacBeth. Trois ans plus tard, il s'attaque à une autre pièce d'anthologie de Shakespeare à savoir Othello. On y retrouve la même approche entre les deux adaptations à savoir une préservation de l'aspect théâtrale de la pièce. Je dois admettre ne pas être tout à fait convaincu par ce choix qui, de fait, rend le jeu d'acteurs nettement moins naturel et m'a empêché de m'immerger complètement dans cette histoire certes connue. En dehors de cela, il faut bien reconnaître que Welles n'est pas un manchot. Outre son talent devant la caméra, il déploie une véritable savoir-faire dans sa mise en scène. Rien que pour cela et cette ambiance tant visuelle que sonore, « Othello » mérite d'être visionné. Un bon long métrage.
    Ricco92
    Ricco92

    175 abonnés 2 085 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 28 août 2019
    S’il y a bien un réalisateur de génie dont le travail dépendit de ses contraintes économiques, c’est bien Orson Welles ! Une fois Citizen Kane tourné, son parcours fut marqué d’affrontements avec le système hollywoodien et de difficultés financières. Othello en est un parfait exemple. N’ayant pas le budget nécessaire pour le tourner en une seule fois et pour réunir les comédiens ensemble, il décide de modifier radicalement son style cinématographique. Il oublie les longs plans-séquences multipliant les comédiens et les trucages optiques et opte pour une forme extrêmement découpée où les plans très courts se succèdent. Si le montage a toujours été un élément crucial pour Orson Welles (il a toujours fait une différence entre les rares films où il a eu le contrôle total sur le montage et les autres), il devient ici un élément déterminant avec cette adaptation de William Shakespeare. En effet, grâce à lui, il arrive à rendre tout à fait cohérent un film résultant d’un tournage sur 4 ans extrêmement compliqué (tournage en différents lieux et à différentes périodes de l’année, acteurs d’une même scène ne pouvant pas être réuni en même temps, utilisation de différents types de pellicules et de 5 directeurs de la photographie différents…). Le résultat est impressionnant spoiler: (la séquence de l’enterrement d’Othello est grandiose et constitue un des meilleurs pré-génériques de l’histoire du cinéma)
    et arrive même à être spectaculaire (les décors sont tout de même signés Alexandre Trauner). Welles transforme ses contraintes économiques en éléments artistiques et un film qui serait devenu un échec entre les mains d’un autre en pur chef-d’œuvre qui reçu même le Grand Prix ex-æquo du Festival de Cannes en 1952, la Palme d’or n’existant pas encore. Après Macbeth, le génie de William Shakespeare rencontre celui d’Orson Welles qui donne une fois de plus une véritable leçon de cinéma.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 26 mars 2019
    La célèbre pièce de théâtre du dramaturge théâtral anglais parlant d’un étranger hors d’Europe, l’interaction avec un maure sarrasin considéré comme faisant parti du monde musulman et les gens à peau noire. L’acteur campe le rôle maquillée, la ressemblance frappante avec les maghrébins arabes, beaucoup de sujet à interprétation. Originaire peut-être de Mauritanie ou d’ailleurs quelque part en Afrique, sa fonction fut général haut placée au service de la hiérarchie Vénitienne, une origine certainement noble puis devenu esclave, influençant sur le cours de l’histoire. Le propre réalisateur de son film a fait du théâtre, un milieu d’entraînement qu’il connaît, ce n’est pas une surprise l’expérience de tragédien, bien joué, les mouvements de caméra sont intéressants, ça tourmente à l’image du personnage. Un courageux, bien vu, orgueilleux attisant haine et manipulé inévitablement par un méchant, courra à sa perte, saisissant l’opportunité de son caractère impulsif irascible jaloux. C’est l’essence même de la tragédie Shakespearienne basée sur une nouvelle italienne, un classique dans son adaptation cinématographique.
    Nicolas L.
    Nicolas L.

    66 abonnés 1 656 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 26 septembre 2018
    Adaptation de Shakespeare, le film est novateur par sa technique. Cadrages, plans, mouvements de caméras ; tout y est extrêmement esthétique. Seul le montage est assez laid mais il y a une explication : le film s'est fait sur 4 ans à cause d'une faillite durant le tournage du producteur du film, obligeant Welles à user de ruse pour compléter les manques et les incohérence des scènes filmées. Pour finir, mon seul véritable ennui devant cet œuvre c'est le texte ancien, je ne suis pas bilingue donc entendre tout le long du vieux anglais ça gave sacrément...
    Estonius
    Estonius

    2 463 abonnés 5 222 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 31 décembre 2017
    Sur le papier ça pouvait donner n'importe quoi : un jaloux compulsif manipulé par un méchant et qui tombe dans le panneau de façon tragique. Oui mais c'est du Shakespeare et de haute cuvée et en plus c'est Orson Welles qui s'y colle. Un Welles qui habite littéralement le personnage, un Iago tellement bien joué qu'on le déteste de suite, une Desdemone de rêve, une scène d'entrée d'une beauté à couper le souffle, des plans de folies. Que peut-on vraiment reprocher à ce film ? Peut-être les déclamations trop shakespeariennes aurait-elles pu être modernisé… non, ça ne gêne même pas ! L'un des chefs d'œuvre de Welles.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 12 janvier 2017
    Orson Welles est un étrange personnage mais il en impose par sa grandiloquence et sa présence qui semblent convenir à merveille aux drames dramatico-dramatiques de Willy J'expire dans lesquels (presque) tout le monde expire sur un malentendu instigué par une abjecte félonie d'un odieux félon. Ainsi est Othello, le dindon de la farce et sa princesse ravie de la crèche, la ravissante cruche tête à claques et plus si affinités.

    La mise en scène est clairement recherchée, surtout les premières minutes avec cette procession majestueuse sur cette musique digne d'un crépuscule des dieux. Tout est dans la grandeur de ces beaux mouvements de caméra et d'un jeu d'ombres et lumières soignées.

    Cela dit, on ne l'apprécie que modérément, empêtré que l'on est dans ce baragouinage d'un vieil anglais sclérosé sorti d'outre-tombe dont la déclamation est incompréhensible. Même les sous-titres désirant coller au plus près à cette soupe ayant dépassé la date limite s'avèrent particulièrement pénibles à suivre.

    On peut saluer un louable effort d'adaptation de cette pièce imbuvable de Willy Jesoupire bien que cet effort vain demeure voué à l'échec, tant la lourdeur incommensurable de l'oeuvre originale écrase toute vélléité à cet égard.

    En vérité, nous préférons retenir notre respiration pendant 10 mn que de réitérer un autre visionnage de ce somnifère bavard débilitant.
    Bertie Quincampoix
    Bertie Quincampoix

    72 abonnés 1 737 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 mai 2016
    Orson Welles, qui interprète aussi le rôle titre, adapte brillamment la pièce éponyme de William Shakespeare, auteur auquel il était particulièrement attaché. Tout est parfaitement réussi : la direction d'acteurs, les décors d'Alexandre Trauner, la lumière – un noir et blanc superbe. Et surtout, impossible ne pas tarir d'éloges sur cette mise en scène somptueuse, géniale et regorgeant d'innovations, qui fait prendre à cette terrible histoire de trahison une force toute particulière. Un chef-d'œuvre.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 17 mai 2016
    Il s’agit ici de mon deuxième volet cannois pour ma seconde rencontre du moment avec le génie du cinéma Orson Welles.
    « The tragedy of Othello : the Moor of Venice », titre originel du film, est la troisième adaptation au cinéma de la tragédie de Shakespeare jouée pour la première fois en 1604. La pièce fût portée à l’écran en 1922 dans une version muette et en 1946 à l’époque du parlant.
    Véritable forcené du travail, Welles mit du temps à monter ce projet ambitieux : production incertaine (Orson ira jusqu’à jouer dans « Le troisième homme » pour réinvestir son cachet pour le financement de « Othello »), aléas de tournage (désistements de comédiens, costumes impayés, problèmes de doublage, de montage, de décors…). C’est donc en persévérant que le réalisateur de « La dame de Shanghai » s’est investi pour arriver à présenter, monter puis achever le métrage mettant en scène le héros désespéré shakespearien.
    Scénario : Après un mariage secret avec Desdémone, Othello, le Maure vénitien, est désigné pour aller combattre la flotte turque sur l’île de Chypre. Vite rejoint par sa femme, Othello devient gouverneur. Son fidèle lieutenant Iago entre en action pour déstabiliser l’ordre établi.
    A priori, sur le papier, cela pouvait être inadaptable. Et pourtant, maître Welles prouve qu’il a toutes les qualités et les idées pour mettre en scène des œuvres réputées difficile d’accès. Surtout quand on voit toutes les difficultés par lesquelles il est passé. Rien que pour ça, j’affirme qu’il s’agit d’un génie visionnaire hors norme du cinéma moderne. Je ne vais donner que trois raisons.
    La première, c’est par la première scène du film. Démarrant par la mort d’Othello (magnifique visage charismatique d’Orson Welles) sur son lit de mort, les premières notes de musique s’apparentant à un requiem dont le compositeur Willy Ferrero (il a également travaillé pour Visconti sur « La terre tremble ») apporte toute sa démesure, la mise en scène et l’idée scénaristique de commencer par la fin est novatrice pour une pièce de théâtre filmée. Comment ne pas rester de marbre face à cette roublardise étonnante du réalisateur à transformer et façonner une quelconque pièce de théâtre en une telle tragédie antique dès les premières minutes ?
    Le second atout de « Othello », c’est de pallier toutes les difficultés économiques, de costumes, de décors et de comédiens en une mise en scène baroque (comprenez esthétiquement finie). Egalement dotée d’un N&B parfait (et toujours de belles ombres portées tels Curtiz pourrait le faire), d’un rythme soutenu (les puristes diront que certains passages de l’original sont écourtés) et d’une ambiance oppressante (l’action se déroule dans un espace unique : le palais de Chypre est bordée par les falaises et la mer), le metteur en scène Orson Welles magnifie sa réalisation par sa griffe habituelle et rend ainsi « Othello » flamboyant, épique et lyrique. Parfois, on a même l’impression d’assister à un Visconti en N&B, la flamboyance des décors et des costumes se faisant sentir autour de sa patte.
    Le troisième et dernier point, c’est bien par la direction du casting que le réalisateur de « La splendeur des Amberson » s’illustre. De n’importe quel acteur ou actrice, il obtient le meilleur. Et « Othello » ne déroge pas à la règle.
    Ici, Orson Welles campe le Gouverneur Othello. A la fois arrogant, bienveillant, odieux, miséreux et misérable, il transcende son personnage et prouve (encore une fois !) qu’il est capable de tout jouer. Magnifique, Orson !
    Dans le rôle de Desdémone, on trouve une Suzanne Cloutier (vue chez Duvivier dans « Au royaume des cieux ») à la sensibilité fragile, tout en délicatesse. Du beau travail en somme. Michael McLiammoir () prête ses traits à l'infâme Iago, lieutenant et serviteur d’Othello. D’une extrême justesse, McLiammoir affronte Welles dans un combat/duel d’acteur au sommet. Il en ressort une interprétation intense, digne d’être un représentant majuscule des meilleurs méchants du septième art. Machiavéliquement parfait, Michael incarne le mal shakespearien absolu, viscèrement parlant. Simplement extra !! Le duo Welles/McLiammoir atteint des altitudes totalement appréciables. Super !
    De l’autre partie du casting de générique, on notera Joseph Cotten (l’éternel ami wellesien) et Joan Fontaine (« Rebecca », « Lettre d’une inconnue »).
    Pour conclure, « Othello » (1952), est un chef d’œuvre d’époque qui ravira les amateurs de fresque biblique et les inconditionnels du cinéma en général. Un film mythique aujourd’hui qui a atteint ses lettres de noblesse une fois le tournage accompli. Le Grand Prix à Cannes (en 1952) est amplement mérité.
    Spectateurs, pour une culture cinématographique complète.
    Accord parental souhaitable.
    PS : je pense que Disney s’est penché sur le perfide Iago de Shakespeare pour en faire le vil perroquet animé, copain de Jafar, dans « Aladdin » (1993).
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