Avis : La Légende de Beowulf - Page 4

film sans aucun interet ormi peut etre les magnifiques speciaux mais alor un scenar comme sa on sen passerai volontier.On doit comme meme lui accorder quelque chose beowulf connait son nom par coeur.A EVITER

D'habitude Zemeckis fait des trucs bien donc je me suis dit qu'il fallait que je vois le film. Enorme erreur, même si visuellement c'est bien fait, on se fait chier pendant le film à attendre des scènes d'actions ( y en à 3 de 3 minutes environs) qui ne viennent pas et à attendre que l'histoire décolle un peu !

Un très bon moment avec ce film !
Certes il y a quelques moments longs mais moi j'ai adoré et c'est un film visuellement impressionant ! Les acteurs jouent très bien et charismatiques !
Un pur divertissement !

La 1er partie est sympa avec pas mal d'actions bien sanglantes. La 2e partie est ennuyeuse au possible. A passage Angelina Jolie ne sert à rien si ce n'est à faire la potiche 2 mn dans tout le film.

Voilà un film artistiquement vraiment abouti, dommage seulement que le scénario ne soit pas franchement à la hauteur.
L'histoire se déroule au VI ème siècle, un viking ( Beowulf ) hérite de la couronne d'un royaume après avoir vaincu un terrible démon.
Voilà donc une histoire certes intéressante, mais qui aurait mériter d'être un peu plus approfondie a mon sens. Neanmoins, les décorations , les effets spéciaux et les scènes d'actions sont d'une franche réussite. L'interprétation est très bonne, surtout celle de Ray Winstone vraiment très convaincant dans le rôle de Beowulf. Il s'agit d'un film qui mélange l'animation et le fantastique avec un certain talent et qui se doit d'être vu au moins une fois.

13/20

Artificiel et sans intérêt, ce film ne fait que narrer les aventures d'un viking dans un scénario vide (il faut INTERPRETER une légende, pas simplement l'illustrer dans des images de synthese ignobles).

LA CHAIR ET LE SANG. Et les burnes d'Odin. Un mythe nordique sans marteau mais avec les crocs des ténèbres. 100 mètres pour s'adapter, les bras en crawl et les jambes en brasse pour ce film hybride, brut et courageux.

Oubliez l'immonde version de 1999 : ce "Beowulf" de 2007 se veut comme une adaptation plus fidèle du célèbre poème anglo-saxon. On y suit un royaume aux prises avec un démon, qui va être défendu par un guerrier vaniteux et sanguinaire. Et pour retranscrire cet univers proche de l'heroic fantasy, Zemeckis opte pour les CGI et la performance capture. Le procédé permet plusieurs plans audacieux, ou des jeux de lumière intéressants, et était à l'époque techniquement excellent. Le souci est que, en à peine quelques années, le film a vieilli : les décors ou animations paraissent aujourd'hui parfois simplets, et les émotions ont de temps à autres du mal à transparaître des personnages. Ceux-ci sont néanmoins interprétés par de très bons acteurs (Anthony Hopkins, John Malkovich, Ray Winstone, etc.). On regrette également l'intrigue un peu maladroite, mais le film a le mérite de ne pas ennuyer, avec de nombreuses séquences d'action. A noter que de par sa forme, "Beowulf" peut paraître proche d'un film d'animation. Mais attention, son univers violent et sombre ne destine pas à tous les âges...

Encore l'un de ces films qui s'inscrit dans la nouvelle vague d'oeuvres visuellement révolutionnaires mais qui n'en oublie pas le fond (300). Car ici on comprend tout à fait l'usage qu'il a été fait de la "performance capture" : ne pas faire un cartoon tout en s'affranchissant des contraintes d'un tournage et donner toute liberté à son imagination. Et question liberté, le film n'a pas grand chose à voir avec les canons hollywoodiens usuels : c'est une oeuvre encore plus adulte que "Le seigneur des anneaux" (les scènes gores explicites, des monstres d'une laideur avilissante et un film puissamment sexué, sans trop de gêne pour la nudité -Angelina Jolie !!!). Tout celà pour nous conter superbement une légende qui vaut vraiment le coup d'être entendue, originale dans la fond (le héros qui n'en est pas un puisqu'il ment, pactise avec l'ennemi pour accéder au trône, les méchants formellement novateurs), tortueuse et digne d'un classique récit shakespearien, remuante tout en ménageant de beaux silences. C'est bien sûr visuellement éblouissant (photo, décors) même si la technique usitée n'est pas encore tout à fait parfaite (certains mouvements rapides ont du mal à passer, certaines textures ne rendant pas toujours très bien) et j'ai envie de dire que c'est tant mieux... Mais il ne faut absolument pas confondreave "Beowulf' qui lui (bie que le sje ne soit pas le même), soit somplètement iutile à tout niveau

Un bon film d'action animé dans ce milieu des vikings, si riche en puissance et en contes. Ça passe tout seul, on est accroché aux personnages et la fin n'est pas un happy end classique, bien au contraire! Techniquement plus abouti que le "Pôle express" du même réalisateur, il reste encore et toujours en deçà de la qualité monstrueuse de "Final fantasy". Néanmoins, comme les techniques sont différentes, il est plus difficile de vraiment les comparer. Cependant, au jour d'aujourd'hui, c'est celle de "Final fantasy" qui est la meilleure (naturel des mouvement, texture de peau, vivacité de l’œil, éléments naturels comme l'eau, le vent ou le feu etc...). Un point positif tout de même. Ce sont ici les vrais acteurs qui bougent (enfin presque!). Pas loin du 3,5 étoiles car c'est vraiment un bon moment d'aventure.

Malgré une performance capture impressionnante sur les visages, et quelques séquences réussies, comme le combat contre le dragon, cette légende de Beowulf version Zemeckis ne convainc qu'à moitié. Le scénario, même s'il aborde une structure en deux temps, n'est pas des plus intéressants, et les répliques sont parfois limites. Visuellement, c'est souvent très beau, notamment avec des effets de lumière travaillés, mais les environnements ne sont pas suffisamment ouvert et on se sent trop cloisonné. Reste quelques touches de poésie et des acteurs géniaux.

Ça se laisse regarder (surtout pour Angelina Jolie), mais il y a rien d'extraordinaire dans ce conte fantastique. Vous ratez pas grand chose si vous ne l'avez pas encore vu car tout est prévisible et calculé, le rythme est irrégulier, et j'ai eu du mal à m'intéresser à l'histoire. Par contre, visuellement c'est assez plaisant (les décors, les effets-spéciaux, ect).

Réalisé en Motion capture Beowulf traîne sa particularité comme un boulet. En effet aussi réussi soit elle quand on la regarde aujourd hui on a juste l impression de voir une cinématique classique de jeu vidéo et pas un film de cinéma. Il ne se dégage aucune émotion des personnages et franchement je ne comprend pas le choix de Zemeckis d avoir choisi ce procédé pour raconter une histoire qui aurait pu donner lieu à un film épique proche d un Excalibur auquel son scénario m a fait beaucoup penser. Car ce dernier est très bon et aurait mérité à mon sens un bien meilleur traitement par une technique qui prend le pas sur tout le reste et qui apparaît aujourd'hui bien dépassée.

L’histoire n’est au service de personne et les personnages ne sont jamais attachants ou plus vivants qu’une quelconque photographie couleur. L’action est efficace au début et à la fin, mais c’est insuffisant...

Nous sommes devant le meilleur film d'heroic-fantasy. Contrairement à des films comme le SDA ou bien 300 qui sont essentiellement basés sur le spectaculaire et la surenchère, Beowulf traite essentiellement des personnages qui constituent le mythe. Certes, on a bien quelques scènes spectaculaires qui en mettent plein les yeux, mais ce n’est pas le faire valoir du film. Ce n’est pas pour autant qu’on assiste à un gentil film d’aventure destinés aux enfants. Non, Beowulf est un film très mature en ce sens que les « héros » dont il traite sont très humains. Du coup, ça parle cru, c’est violent, dur et surtout, les caractères des personnages sont très ambigus. A des lieues des protagonistes au profil simpliste (le gentil héros contre les méchants monstres) comme il s’en fait si souvent dans le cinéma hollywoodien , tous les personnages de l’histoire sont dotés d’une psychologie assez trouble. Concernant l’histoire proprement dite, les scénaristes sont d’une grande fidélité quant au fait racontés dans le poème originel tout en l’interprétant de manière contemporaine et en lui donnant une dimension bien plus subversive. On dépasse largement le statu de simple film de divertissement pour un film à l’ambition bien plus grande : le questionnement sur la construction du mythe et des héros. A ce titre, le parallèle fait avec le christianisme et cette légende païenne est particulièrement bien vu et osé. Toutefois, c’est plus sous la forme d’insinuation et de détails assez subtiles que le scénario distille son discours. Du coup, bon nombre de personne passeront à côté et ne devront se contenter que d’une histoire somme toute assez basique si on la prend superficiellement. A la fois réaliste et magique, spectaculaire et subversif, intelligent sous ses aspects basiques, Beowulf en déroutera plus d’un. Mais le temps et les visions successives rendront justice au culot de Zemeckis et à l’intelligence de Neil Gaiman et Roger Avary.