Avis : Dreamgirls - Page 3

Malgré une époque et une musique qui ne me passionnent pas, il faut reconnaître dans ce film une fluidité magnifique que ce soit dans la réalisation, ou l'enchaînement des morceaux.
Le casting est excellent, les voix sublimes et les costumes et les décors incroyables.
Il y a un peu trop de partie narrative chantée, propre des comédies musicales, même si aux 2/3 du films j'aurais dit que justement ces passages étaient mieux intégrés que d'habitude.

Une très bonne comedie musicale comme on les aime. De bons acteurs et chanteurs. Une belle mise en scène.

La crème du cinéma afro-américaines réunit dans ce biopic, Eddy Murphy, Jamie Foxx, Jennifer Hudson, Keith Robinson, Anika Noni Rose et la chanteuse, Beyoncé Knowles, qui font tous des prouesses vocaux exceptionnelles et Danny Glover. Un biopic, doublé d'une comédie musicale, tourné parfois en clip, qui veut se faire justice, en défendant, pour des artistes noirs, qui ont été volé par des artistes blancs, pour ce frayer un chemin vers le succès, l'histoire des Dreams et sur le racisme des années 60/70. Une superbe bande son, évidemment, avec de jolies chorégraphies. Et de jolies chansons Funk. Des morceaux de bravoure, des scènes jubilatoire, drôle, énergique et très émouvante. Ce biopic est un beau bijoux de cinéma.

Un film qui nous en mais plein les oreilles et les yeux mais sait tout dans l ensemble sinon il a rien d autres

La réussite de "Dreamgirls" passe beaucoup par la réussite des numéros musicaux parfaitement interprétés et mis en scène. Quant à l'histoire racontée, elle est banale, mais les personnages sont suffisamment bien dépeints pour qu'elle soit accrocheuse.

Loin de l’éclatant Chicago, Bill Condon signe ici tout de même un brillant divertissement plein de paillettes et de musiques chic et choc. On peut souligner l’artificialité de l’affaire, la longueur de l’entreprise et le scénario ultra convenu mais il faut reconnaître le talent des acteurs, de Eddie Murphy à Beyonce (qui n’a pas peur de se ridiculiser en tant que chanteuse à la voix sans personnalité adoré pour son unique physique) en passant par la jeune Jennifer Hudson à la voix si puissante. Dommage cependant qu’on ne retrouve que peu d’éléments réels (notamment le ridicule happy end), que les noms soient modifiés (jusqu’au Jackson Five) et qu’on en retrouve pas les chansons originales, ça manque.

Une très bonne comédie musicale sur la carrière du groupe des Dreamgirls. Beyoncé knowles est exceptionnelle dans son rôle de diva.

Annoncé comme l’un des grands favoris aux Oscars, "Dreamgirls" n’est malheureusement pas à la hauteur des espoirs suscités. Pourtant, le réalisateur Bill Condon s’est donné les moyens pour nous livrer un grand spectacle avec une mise en scène , un scénario riche en rêves de gloire, en amitiés déçues et en trahison, un BO très sympa ("One night only" en tête) et une touche de nostalgie très en vogue ces derniers temps. Quant au casting, il s’avère pour le moins surprenant avec ses révélations (Beyoncé Knowles qui démontre de vrais talents d’actrice, Jennifer Hudson et sa voix exceptionnelle…), ses résurrections inespérées (Eddie Murphy en showman dépressif qui aurait mérité un Oscar) et ses valeurs sures (Jamie Fox en manager, le taulier Danny Glover…). Malheureusement, à trop vouloir en faire, la mise en scène souffre d’une lourdeur éprouvante tant sur le plan du rythme (beaucoup de longueurs sont à déplorer) que des excès pathos d’un scénario qui veut faire pleurer le public à tout prix. Autre gros défaut : le parti-pris du réalisateur de balancer des dialogues chantés (alors que "Dreamgirls" n’est pas, à proprement parler, une comédie musicale) tout en multipliant les passages sur scène. Trop de chants et des ficelles scénaristiques prévisibles font donc de ce "Dreamgirls" un film pas forcément raté mais bien trop boursouflé.

Rayon comédie musicale, Bill Condon n’est pas vraiment un novice, puisque le scénario du multi-oscarisé “Chicago", c’était lui. Ce n’est donc pas vraiment une surprise de le retrouver, pour sa quatrième réalisation, aux commandes de l’adaptation de “Dreamgirls”, spectacle-phare des années 80 à Broadway. Marqué à vie, selon ses dires, par le show sur le destin des Dreamettes (trio inspiré des Supremes), il réalise, en quelque sorte, un rêve. Et ça tombe bien, dans la mesure où le rêve est ici l’un des thèmes centraux, au même titre que l’amour ou l’ambition. Sauf que leur traitement parfois un peu convenu donne au long métrage certains défauts d’un postulant avoué aux Oscars.
Mais passons, l’intérêt majeur de “Dreamgirls” n’étant pas là, mais, bien évidemment, dans les numéros musicaux. Et là, le spectacle, soutenu par une bande-originale du tonerre, est total, et nous happe dès les premiers instants, pour ne nous relâcher qu’au terme de cette longue (parfois un peu trop) traversée des années 60-70, période-clé de la percée de la musique afro-américaine aux États-Unis. Mais le film va au-delà de l’aspect musical, et dresse, en filigrane, un état des lieux de la situation interraciale de l’époque, et des tensions qui règnaient, aussi bien niveau politique (assassinat de Martin Luther King, émeutes de Watts) que culturel.
Bien orchestré, “Dreamgirls” séduit également grâce à ses interprètes, qui assurent le show, aussi bien sur le plan vocal que dramatique, même si la performance majeure ne vient pas de là où on l’attendait : si Jamie Foxx (en manager fourbe), Beyoncé Knowles(dont le rôle de membre du groupe qui devient star en solo apparaît comme un miroir de sa propre carrière) ou Eddie Murphy forcent le respect, ils se font voler la vedette par la débutante Jennifer Hudson, issue de la “Nouvelle Star” locale.
Sans atteindre le niveau de dertains cadors du genre, “Dreamgirls” possède néanmoins de quoi passer un moment agréable et entraînant. That's entertainment

Ce jouant d’ordinaire sur les planches de Broadway, "Dreamgirls" retrace l’histoire du mythique label de musique Motown Records au travers du parcours des Dreamettes qui rêvent de notoriété depuis leur plus jeune âge. Cette opportunité leur sera offerte par l’ambitieux Curtis Taylor Jr. suite à un concours de chant lors duquel elles se feront repérer, mais au prix de quels sacrifices cela se fera-t-il ? Dès les premiers instants le film de Bill Condon laisse pleinement le spectateur entrer dans cette histoire grâce aux chansons et aux rythmes entraînants des multiples talents qui signent les différentes compositions venant parsemer ces 2h11 de film. Mais c’est également grâce à une reconstitution minutieuse qui nous transporte ici de l’Amérique des années 60 à celle du milieu des 70’s, une reconstitution qui va jusqu’à aborder des évènements marquants de l’histoire comme la lutte des droits civiques des noirs. Mais c’est avant tout dans la représentation du show-business qui est dépeinte que "Dreamgirls" passionne. Passant du modelage complet d'un artiste au travestissement des origines musicales dans le but d’être diffusé sur les stations de grande écoute. A côté de cela le film peut se reposer sur un casting extrêmement solide que ce soit lors des scènes de chants ou les autres, avec une standing ovation de méritée pour la performance puissante et passionnée de Jennifer Hudson. Mais qu’on ne se fasse pas d’illusions, le film de Bill Condon avait clairement des ambitions d’Oscars, c’est bien connu les performances chantées d’acteurs et les contextes historiques riches font bien souvent partis des critères ayant les faveurs des votants, et c’est bien cela bien vient gâcher notre plaisir de spectateur, la mise en scène kitsch est vite pompeuse et les personnages pas assez fouillés. On passe un bon moment mais rien de transcendant au final.

Un casting gigantisme au service d'un scénario proche de la perfection, entaché seulement par quelques longueurs. La bande son de DreamGirls brille elle aussi d'une vingtaine de titres tous aussi efficaces les un que les autres, emmenés par la plupart par Beyonce, star du R'N'B le jour, et actrice de talent la nuit. La mise en scène est calculée au millimètre près, traitant l'histoire comme un biopic crédible et sensible inspiré de groupes féminins et noir-américains mythiques des années 60.

Plat et mal écrit il faut sans doute pour apprécier ce film avoir vu le spectacle sur scène. La faute ne vient des comédiens qui fournissent beaucoup et pour certain même un peu trop parfois . C est ennuyeux car l histoire démarre finalement qu au bout d une heure avant pas moyen de s attacher aux personnages. Très décevant.

Je n'est pas du tout aimé cette comedie musicale qui a mon gout etais trop longue.
Certaines scenes trainent en longueurs,heureusement que Jamie fox et Eddie murphy sont la pour remonter le niveau du film.
Film triste et navrant.

je ne rate jamais la sortie d'une comédie musicale au cinéma tout simplement parce que pour moi le cinéma ne peut exister sans musique. C'est d'ailleurs pas pour rien que les plus grand films bénéficient tous d'une bande originale magnifique. le film à pas mal de petits défauts mais l'ensemble ce laisse regarder avec énormément de plaisir tout simplement parce que le film est à l'image de l'affiche: pleins de payettes et plus brillant que jamais. Personnellement j'ai adoré toutes les musiques et je me suis pas embêter 5 minutes. Qui plus est le casting est quand même impeccable, la surprenante Beyoncé Knowles qui trouve enfin un rôle pour elle, Jamies Foxx impeccable comme d'habitude mais aussi le grand retour de Eddy Murphy dans un rôle à sa mesure. Ce film apporte une vraie fraîcheur t fait passer 2h de bonne heure.

Super drame musical avec une ambiances extra autour de belles chansons. Le tout est très captivant et les acteurs en pleines bourres.
Beyoncé est assez surprenante et aurait largement mérité une récompense.