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gunbuster
355 abonnés
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0,5
Publiée le 24 août 2008
Quand on mélange Bienvenue dans la Jungle et le cinéma fait d'OVNI, de fumage de moquette, des univers de Terry Gilliam et David Lynch, cela donne Southland Tales. Disons-le tout de suite à d'éventuels "aventuriers du 7ème art" : le film est non seulement raté de A à Z, rien à sauver, mais il est interminable : 2h30 ! La logistique du film a du créer un pont aérien entre Medeline, Colombie et Los Angeles, Californie pour approvisionner toute l'équipe du film en 'farine' (de la blanche, de la pure, rien à voir avec ces merdes qu'on trouve dans la rue ou chez le dealer de votre quartier). Imaginez bien un réalisateur-scénariste totalement stoned pour pondre un pareil déchet et osez l'écrire. Des acteurs qui signent ici l'arrêt de mort de leur carrière au cinéma. Déjà que pour la plupart, c'est pas fameux, mais là, c'est game over. The Rock joue un attardé mental durant tout le film (en principe il est amnésique, mais bon, comme il est catcheur à la base, on ne peut pas lui demander la Lune), Seann William Scott se ridiculise une dernière fois. Des nymphettes qui se montrent dans de belles robes (Sarah Michelle Gellar, même pas crédible en reine du porno, Bai Ling en salope, et Mandy Moore en belle pouffe blondasse). Ne parlons même de l'apparition d'acteurs ratés et éternels seconds rôles (trop longue liste pour les citer tous), ou de caméo minable de Christophe Lambert et Justin Timberlake... Et "cerise sur la mort aux rats" : le film n'a même pas de fin. Il y a des dizaine de milliers de litres de napalm qui se perdent...
Bravo, l'exploit consiste à faire un film à l'absurdité qui n'a aucun temps mort; faut-il prendre une substance illicite pour apprécier le délire? Une fumisterie pour moi...
L'affiche du film est jolie c'est à peu près tout. Non mais qu'est-ce que c'est que ça ? Un casting de premier choix pour les navets. Justin Timberlake, The Rock... C'est mauvais !
Encore une fois, j'en attendais beaucoup de ce film, probablement trop d'ailleurs... J'ai trouvé ce film très soporifique. Le scénario est bien trop complexe, et ça rend le film ennuyant du début à la fin. J'ai eu du mal à le regarder jusqu'au bout (2h20 tout de même), mais je continuais en espérant que ça s'améliore. Ce ne fut pas le cas... Ce que je conseillerais aux gens qui comptent le voir, c'est de se documenter sur l'histoire et de lire les BD qui racontent les précédents chapitres, parce que là, on a effectivement vraiment l'impression d'avoir loupé une grosse partie.
La Troisième Guerre mondiale aura bien lieu, c'est en tout cas le propos du film de Richard Kelly, Southland Tale, délire paranoïaque d'un réalisateur qui ne s'est pas remis d'avoir créé Donnie Darko, film cultissime d'une génération perdue. Avec cet objet totalement délirant, Richard Kelly raconte l'histoire d'un acteur amnésique pris en otage par une pornostar pendant qu'un membre de la police tente de sauver le monde, le tout enrobé autour d'une thématique énergétique incompréhensible, placée à l'ombre d'un Zeppelin géant et de Christophe Lambert. Hein ? Oui, c'est ce que l'on retient, au mieux, de ce film boursouflé, mégalomane, fourre-tout, d'un réalisateur porté aux nues et persuadé de pouvoir gérer seul un tel projet. Richard Kelly avait trouvé un équilibre délicat entre la réalité et le fantastique dans Donnie Darko. Il sert cette fois-ci un steak haché géant de « Zeitgeist » qui semble avoir été écrit avec le moteur de recherche google un soir de beuverie. Le tout est absolument indigeste, plombé par une réalisation prétentieuse, des acteurs hallucinés - Christophe Lambert brille par sa sobriété au milieu de la folie des autres - et des couleurs verdatres sorties d'une machine à laver déréglée. Sous l'emprise de substances illicites, ce film est sans doute un chef d'œuvre philosophique incompris. Le regarder à jeun relève du supplice interminable : deux heures et vingt minutes de vide grandiloquent. Une bonne nouvelle quand même : la bande originale est une des meilleures compilations pop du moment, mêlant Pixies, Radiohead, Muse, Moby et quelques autres pointures. Contentez-vous du disque.
Je ne suis pas étonné de voir autant de critiques négatives, les gens d'aujourd'hui ne savent plus apprécier les vrais films ( qui se font rares d'ailleurs ). En effet, les personnes qui ont notés 0.5/5 ont tous bonnement rien compris au film. Je trouve ça complètement stupide. C'est comme juger une personne alors que l'on a même pas pris le temps d'essayer de la comprendre ( HS je sais c'est pour l'exemple ). Bref, ce film est très compliqué, certes, mais il vaut la peine que l'on se penche dessus pour mieux le comprendre. Un grand merci au réalisateur pour ce film et sa plus belle oeuvre : Donnie Darko.
C'est quoi cette GROSSE DAUBE !!!!! sa parle de la 3eme guerre mondiale et apres spoiler: il y a un camion qui vole vraiment deçu de Dwayne Johnson dans se film
Pour résumé simplement : j'ai rien compris à l'histoire, surtout quand une Voie Off au début du film met 20 min à vous expliquer le contexte. Film inutile.
Difficile de noter un tel film... Réalisateur du culte "Donnie Darko" et scénariste de "Domino" Richard Kelly explose son égo et son ambition avec "Southland Tales" qui a, lui aussi, le potentiel d'un film culte, peut-être avec le temps. Cependant pour moi ce film manque cruellement d'une scénario plsu construit ; si on comprend le film sur sa longueur il n'en demeure pas moins que c'est un vrai capharnaüm, aussi difficile à suivre qu'à comprendre (faut se concentrer de A à Z). Le manque de rythme n'aide pas, trop monocorde. Le casting est original mais les acteurs n'ont pas l'air à l'aise, à coire qu'ils ne comprennent pas leur film. Un film d'anticipation (et non de SF) d'une grande ambition. Dommage car il y a clairement un gros potentiel et de vrais audaces. Tout à fait le genre de film dont on peut croire à un remake plus solide dans le futur.
Mais que ce film m'a semblé loooooooooooong... ça se veut drôle et décalé mais c'est vulgaire et chiant... Je me demande comment j'ai pu tenir les 2 interminables heures que dure ce navet. Avec sa ribambelle de stars, dont l'inutile Christophe Lambert, et son scénario alambiqué avec des magouilles entre losers, on se croirait dans une très mauvaise imitation d'un film des frères Cohen. Jamais Dwayne Johnson alias "The Rock" ne m'a semblé aussi mauvais à l'écran! Une étoile pour les passages musicaux qui ressemblent à des clips. (Très mauvais)
Le réalisateur de "Donnie Darko" revient avec un film toujours aussi mystérieux mais beaucoup plus ambitieux autour de l'annonce de l'apocalypse. Richard Kelly impose sa patte en matière de mise en scène dans un style qui rappelle David Lynch avec une bonne dose de surréalisme : c'était déjà très clair dans son précédent filmet ça l'ait encore plus dans le suivant : "The box". Mais sur le fond, il ne semble pas maitrisé son "Southland Tales" et ses envolées philosophiques sur fond de bible face à un monde au bord du précipice. Une approche très ou sans doute trop originale du concept, qui ne répond pas aux attentes des spectateurs, ni des producteurs au regard de sa sortie en DVD sans passer par les salles et de son remontage chaotique après sa virée cannoise.