Bouzi Bouzouf n'aime pas « La Comtesse » de Julie Delpy, film qui confirme tout le mal que l'on peut penser de sa réalisatrice, cette petite bourge tête à claques qui a cru être une comédienne suffisamment talentueuse pour passer un beau jour à la mise en scène, infligeant ainsi au cinéma l'une de ses pires humiliations en 115 ans d'existence. Bien qu'elle se soit naturalisée américaine en 2001 (pfff), Bouzi Bouzouf range cette Barbie fadasse dans la catégorie des « connasses insupportables du cinéma français », où elle est en bonne compagnie puisqu'elle y côtoie d'autres quiches interchangeables donnant des envies de meurtre telles que Sophie Marceau, Marion Cotillard, Virginie Ledoyen, Ludivine Sagnier, Sara Forestier, Clotilde Courau ; Bouzi va s'arrêter là – bien que la liste soit encore longue – car il craint qu'une telle accumulation de betteraves ne se termine par un rejet gastrique. Retour à « La Connasse », euh à « La Comtesse ». Bouzi Bouzouf pourrait jeter l'anathème sur ce film parce que sa mise en scène est plate et poussiéreuse, mais cela ne serait pas très pertinent car l'absence de talent de Delpy réalisatrice est aussi évidente à constater que, par exemple, la vulgarité d'un Nicolas Sarkozy. De même, alors que Julie-la-star se la joue « regardez comme je me mets en danger », cela en exhibant de temps en temps deux rides sur son visage, Bouzi pourrait démontrer au contraire que le long métrage est un caprice d'enfant gâtée complètement auto-promotionnel où le narcissisme de la cruche explose comme jamais. Mais Bouzi Bouzouf dira en fait que s'il a les nerfs contre ce film, c'est parce que son actrice/réalisatrice/scénariste/compositrice/productrice (rien que ça) massacre littéralement la comtesse Elisabeth Báthory en faisant de son histoire une bluette pour lectrices de « Closer ». En gros, dans sa version, si la noble hongroise s'est abandonnée à la cruauté, c'est parce que, un jour, son bel amant lui a posé un lapin. Qu'on emmure Delpy à vie !