Avis : 13 Tzameti - Page 7

Superbe!! le seul bémol c'est la longueur du début du film, je ne connaissais pas l'histoire avant de le visionner, donc quelle surprise!! Le N&B donne un ton d'autant plus macabre, stressant, opressant. N'hésitez pas un instant à regarder "13"!

Un film très froid, mais maitrisé. Je ne suis pas certain que de filmer en noir et blanc était la meilleure des idées. De plus, le film se passe presque de dialogues, ce qui est parfois frustrant pour adhérer réellement à l'histoire. D'autant plus que l'ensemble, filmé avec réalisme, ne s'avère pas vraiment réaliste.

Malgré un début un peu lent/long ce film est très agréable à regarder voir fascinant que sa soit par le thème employé "une variante de la roulette russe" et pour sa vision de la déchéance humaine qui est prête à tout pour assouvir son besoin de sang/d'adrénaline au détriment de gens nécessiteux, prêt à tout pour s'en sortir...
Certes il y a beaucoup de défauts : un manque de rythme causé par certaine longueur du scénario et le noir et blanc pour citer qu'eux mais l'originalité est telle que l'on ne peut qu'apprécier la noirceur de ce film !!!

Excellent thriller, au titre peu évocateur mais que je recommande fortement. Le choix du noir et blanc est on ne peut plus judicieux, l'atmosphère y gagne en noirceur. On reste sous tension pendant tout le film, on en sort même KO tant l'histoire est prenante. J'ai apprécié le casting, que des têtes pour l'emploi et le comédien principal, peu connu y est remarquable. Bande son, prises de vue, montage, cadrage, tout est parfait, même les rôles secondaires et l'histoire, j'invite vraiment à courir vite la découvrir, pour les plus de seize ans en tout cas.

Un film immoral qui se veut dérangeant mais est trop banal pour cela. Le scénario est indigent, la réalisation prétentieuse.

Un film complaisant, fascisant presque, avec sa violence gratuite et son mépris de l'humain.

Premier essai superbement réussi pour ce jeune réalisateur qui nous pond la une merveille, dont la noirceur et l’intensité de certaines scènes sont une véritable torture psychologique. La peur a rarement été aussi bien filmée.

Minable. L'acteur principal (frère du réalisateur) joue comme un pied. Les américains qui ont filé un prix à Sundance n'ont pas dû le remarquer mais toutes ses phrases, toutes ses intonations sont fausses. C'est lent, mal réalisé (sauf la scène de la roulette russe) et on n'a jamais peur. Un film coup de poing, ça ? Non mais vous rigolez !

Un film très marquant et très original. Je l'ai vu il y a un petit moment maintenant mais il m'a laissé un souvenir fort. C'est pas le genre de film qu'on oublie dès le lendemain. Certes le film n'est pas dénué d'une certaine violence psychologique mais le résultat est convaincant. à voir !

Ce film est exellent et contrairement à ce que disent plusieurs personnes ce film ne montre pas de la violence il s'en moque et d'autre qui trouve se film est ennuyeux ne regarde ni la qualités des acteurs ni celle du scénario ni la façon de filmé. Des acteurs qui tienne leurs rôle je prend l'exemple dunuméro 6
qui joue l'agressif le méchent, du numéro 13 qui joue le rôle du peureu et de celui qui est dépassé par les évènements.

Un vrai coup de génie.
Un film d'une heure 30 où pas une minute n'est à jeter.
Le premier quart d'heure pose gentiment l'intrigue, on se demande un peu où ça va nous mener, mais on arrive à partager la curiosité du personnage central.
Lorsque celui-ci part à l'aventure, guidé par sa curiosité, on est pris et captivés par chaque seconde de l'intrigue, un vrai jeu de piste commence ... jusqu'à ce que le film bascule.
La suite nous plonge dans un univers angoissant, mis en scène de façon magistrale, la tension est étouffante, le suspense ne se repose jamais...

Le noir et blanc convient très bien, je l'aurais peut-être juste retiré au début, mais ce n'était pas dérangeant pour autant.
L'acteur principal est très juste dans son personnage,et le scénario super bien ficelé, chaque détail compte.

Un film pas du tout grand public, certes, mais sous estimé car il méritait d'être mieux reconnu que cela.
Un ovni qu'on oublie pas

Un film-choc qui reste gravé en mémoire pendant un sacré moment.
Il faut dire qu'on ne peut pas rester indemne face a ce jeu de massacre tendu et ultra-nerveux.Un film qui parvient a transmettre un veritable stress,reservé a un public averti et adulte.

Féroce, intelligent, simple et sérieux. Vous en voulez encore ?

Un film coup de poing (j'ai reçu l'Oscar de l'utilisation du terme le plus galvaudé par la critique néosmart hexagonale, merci, je voudrais remercier les Inrocks et leur vacuité de tous les instants qui m'ont soutenue lors de mes difficiles passages à plein...). en parlant des Inrocks, ils ont détesté, étonnant, leur bon goût ne faillit décidément jamais. Le film ? Ah oui. Un pur moment de bonheur, à partir d'une intrigue relativement classique et un portrait de la violence pas vraiment original, Babluani nous impose par une photo N&B superbe un voyage initiatique jusqu'aux tréfonds de l'âme à l'origine pure d'un jeune homme en quête de... sous. Pour les crétins au fond à gauche qui clament que l'intrigue est conne et l'immoralité du film gratuite et scandaleuse, je me contenterais de les renvoyer à Luc Besson. Car ici rien n'est laissé au hasard, la mise en scène léchée, oppressante, faite de plans très serrés et de travellings latéraux sobres et lents qui fascinent autant que le contenu de l'image horrifie Aucunement gores, les pics d'adrénaline et déchaînements de violence se traduisent souvent en plans fixes sur des objets anodins qui prennent un sens très particulier, au point que l'on pense parfois à Hitchcock et son fameux fétichisme. Exemple : l'ampoule, et le travelling qui la conntourne lentement tandis qu'on est cloué au mur d'en face par l'angoisse. Je ne révèle rien, c'est mieux de se laisser porter par une découverte progressive d'un sadisme psychologique raffiné. Même si pour ma part, j'avais globalement deviné le concept. Là où pèche le film en effet, c'est par un amateurisme parfois tangible, à travers lequel on sent poindre l'autoémerveillement du réalisateur devant son nouveau joujou, quelques dialogues du début et rebondissements finaux s'avérant un peu faibles. Cela reste cependant une fascinante plongée (technique beaucoup usitée) dans un monde qui pourrait être nulle part et partout, fable anonyme et brûlante où seuls les euros nous parlent.

J'ai adoré ce film, ultra noir ( le film est en noir et blanc) ce qui accentue encore un peu plus l'ambiance glauque. On ressort pas indemne, dans cette torture psychologique. Le questionnement du film reste, peut-on faire n'importe quoi par désespoir ?