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    Docteur Folamour
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    384 critiques spectateurs

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    annatar003
    annatar003

    61 abonnés 852 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 3 novembre 2011
    Une fois de plus c'est avec un goût amer que je me sort d'une œuvre de Kubrick. Se déroulant durant la Guerre Froide, le réalisateur américain a décidé de la tourner en ridicule par l'usage d'un humour noir rarement efficace. Car il faut dire qu'il est difficile, même en se projetant dans le contexte des années 60, de trouver dialogues ou situations suscitant le moindre sourire. Humour au premier degré souvent d'un niveau élémentaire, c'est surtout l'étonnement qui vient au contact d'un spectateur surpris par tant de simplicité de la part du réalisateur de "2001 : L’Odyssée de l'espace".
    Côté scénario, le rythme est assez bien mené malgré quelques scènes longues et dénuées d'intérêt.
    Les acteurs choisis par Kubrick sont comme bien souvent totalement inconnus et l'on comprend pourquoi en voyant les performances de certains qui laissent à désirer.
    La musique quant à elle est répétitive et nous clame le même air durant près d'une heure trente et contribue de la même manière à l'ennuie procuré par "Docteur Folamour".
    Un long-métrage de plus qui divise les opinions de la population dont Kubrick a le secret.
    T-Tiff
    T-Tiff

    71 abonnés 1 163 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 25 février 2016
    "Docteur Folamour ou comment j'ai appris à ne plus m'en faire et à aimer la bombe" arrive, dans la filmographie de Stanley Kubrick, sept ans après "Les Sentiers de la Gloire", qui marqua le début de la gloire du cinéaste, et dans lequel il exprimait déjà avec brio le rejet des dirigeants, politiciens ou généraux, souvent amenés à prendre les mauvaises décisions. C'est exactement le même discours que l'on retrouve dans "Docteur Folamour", mais sur un tout autre style, avec un décor historique également différent. La Guerre Froide prend ici la place de la Première Guerre mondiale, le burlesque et l'humour noir remplacent le film de guerre. Pourquoi pas ? Néanmoins, force est de constater que le résultat est légèrement en-deçà de l'autre film du cinéaste. Venons-en aux détails. Soulignons d'abord l'excellente prestation de Peter Sellers que l'on retrouve dans pas moins de trois rôles, mais aussi George C. Scott, qui ajoute également sa propre touche comique assez subtilement. On remarque également le talent du Kubrick dans le choix des musiques pour son film, que ce soit lors des scènes d'aviation, ou à fortiori dans la scène finale ou l'on reconnait "We'll Meet Again" de Vera Lynn. Le film joue la carte de l'humour avec un certain succès, même si les séquences sont assez inégales et quelques-unes un petit peu moins efficaces. Globalement, Kubrick parvient à rendre son message très clair, peut-être trop lorsqu'on découvre que le Docteur Folamour n'est autre qu'un étrange nazi convulsif. Toutefois, l'ironie est utilisée habilement, la satire est efficace. Le plus gros problème du film est la simplicité de l'intrigue, qui s'allonge indéfiniment jusqu'à la résolution finale, qui, malgré le fait qu'elle soit assez inattendue, ne surprend pas outre mesure. "Docteur Folamour" fait, certes, partie des nombreux films cultes signés par Stanley Kubrick, il n'est certainement pas son meilleur, même si l'on trouve de très bonnes choses expliquant pourquoi ce film est toujours un incontournable.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 24 février 2012
    En pleine guerre froide, alors que les tensions entre les blocs de l’est et de l’ouest sont à leur paroxysme, un général américain, pris de paranoïa et de folie, prends seul la décision d’attaquer l’URSS. Il envoie pour cela les B-52 ; des bombardiers stratégiques disposés à proximité du territoire ennemi afin d’agir directement en cas d’attaque. Voici un scénario intéressant, d’autant plus qu’il est en phase avec le contexte de l’époque. Stanley Kubrick réalise là une œuvre mythique du cinéma comportant une myriade de répliques et de scènes culte ; mais il prouve aussi son implication politique en critiquant ouvertement le gouvernement et en dénonçant l’absurdité des projets militaires tels que les armes de dissuasions. D’autre part, il notifie à travers les traits du Dr Folamour, le « recyclage » des scientifiques nazis par les États-Unis après la seconde guerre mondiale ; le personnage étant inspiré d’Edward Teller, connu pour son rôle prépondérant dans l’invention de la Bombe H. Ce Dr Folamour, très peu présent finalement, est parfaitement interprété par Peter Sellers, qui joue d’ailleurs deux autres rôles, tout aussi remarquable. On retiendra aussi la prestation de George C. Scott dans le rôle du général Turgidson. La BO est simplement culte, notamment la musique When Johnny Comes Marching Home, que l’on retrouvera dans Die Hard. Dr Strangelove (le titre original) est une œuvre incontournable du 7ème art prouvant une fois de plus le génie de Kubrick.
    leochou
    leochou

    13 abonnés 695 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 1 décembre 2013
    Ce film à l'humour noir contient de nombreuses scènes cultes, servi par des acteurs de talents à commencer par Peter Sellers, George C scott et Sterling Hayden. On aime intelligence du montage et la qualité des prises de vues. Les dialogues sont affûtés et les situations cocasses. Tout cela pour mette en avant l'absurdité de la bombe et des gens qui nous commandent devant la valeur de la vie. A voir absolument! Un des chef d'oeuvre de Kubrick.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 27 novembre 2013
    Pourtant dans la bibliothèque des classiques, Docteur Folamour est un film qui a extrêmement vieilli. Certaines scènes devaient être magiques pour l'époque (je pense notamment au docteur folamour qui ne peut empêcher son bras de faire le salut faciste) mais ont eu du mal à me faire esquisser un sourire.

    J'en suis réduite à dire que sa force est qu'il ne fait pas dans la longueur (1h30, ça passe largement) et les prouesses de Peter Sellers qui joue 2 ou 3 rôles différents (remarquable !), alors que je suis persuadée qu'il y a trente ans il y en avait tellement à dire.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 11 novembre 2007
    Mein furher! ... I can walk!
    La scène du coup de téléphone entre les présidents américain et russe est plus que fantastique ... du grand Peter Sellers.
    AMCHI
    AMCHI

    5 037 abonnés 5 934 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 4 janvier 2009
    Cette comédie m'a énormément déçu, pas du tout le délire que je m'imaginais. Rien de fameux pour moi.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 29 juillet 2009
    ce que j'adore dans se film c'est la maniere don Kubrick manis sa camera. si vous vous rappellez dans shining le plan qui se rapproche trés vite sur le corp que la femme de jack decouvre la camera se rapproche d'un seul coup. dans se film il y a plein de plan comme ça (la majoritésont dans l'avion) les acteurs jouent tous trés bien surtout Peter Sheler (qui joue 3 personnages don docteur strangerlove). les personnages sont tous trés bien représenté : le général avec son gros sigard, son air de salaud. des scénes cultes tes l'appel avec le président de russie qui est soul (le président trés serieux au bout du fil un crétin). le 2éme appel est explosif "des avions vont bombarder la russie; mais ne criez pas dimitri essayer de gardé votre sans froid". dans une ligné de 2001 : ODDISSEY SPACE, ou les homme n'arrive plus à contrôler leurs machines. j'ai trouvé aussi que peter sheler se faisait a lui tout seul laurel & hardy. un film à avoir absolument. ce film est trés différent de tout ces autres bien sur. trés drole à voir en VO VF horrible, surtout le doublage de folamour doublé en français c'est un vieux accent russe.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 9 juin 2010
    Je suis horrifié ! Que l'on puisse aimer un tel navet à ce point est assez révélateur quant à la résurgence de l'insignifiance cinématographique qui s'est emparée des specateurs. Vraiment, j'ai beau adorer Kubrick, je n'en perd pas mon sens critique ! Peter Sellers est affligeant tant il est bouffon et dénué d'humour ( ce qui est problématique quand on interprète un rôle aussi ridicule que le sien). Des mimiques lamentables, des dialogues lourds, une photographie et une technique tout simplement mauvaise, une trame abracadabrante qui est censée éveiller le rire mais qui m'a rendu plus que sceptique. Finalement ce film ne part de rien et ne mène nulle part, l'archétype véritable de toutes ces comédies de bas étage. Film raccoleur au possible et destiné aux spectateurs avides de ternes divertissements.
    Mafoipourquoipas
    Mafoipourquoipas

    9 abonnés 705 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 20 octobre 2018
    2,5 étoiles - Docteur Folamour

    Film à l'humour grinçant. Le scénario est plutôt bien pensé et certaines scènes sont franchement hilarantes ("Dimitri, je suis aussi navré que vous !" ou "Vous aurez des comptes à rendre à la société coca cola."). Je regrette que la satire n'aie pas été plus présente et, parfois, mieux construite : par exemple, je n'ai pas du tout été séduit par la symbolique du docteur Folamour. Cela dit, ce film est très audacieux pour l'époque ... dans le contexte historique de la guerre froide. Je n'ai pas eu d'enthousiasme, en ce qui me concerne ; mais j'ai passé un très bon moment.
    Redzing
    Redzing

    921 abonnés 4 296 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 19 août 2019
    En pleine guerre froide, un officier américain paranoïaque perd les pédales, et parvient à lancer à l'attaque contre l'URSS une escouade de bombardiers armés de bombes nucléaires ! Le gouvernement va-t-il profiter de l'occasion pour lancer une guerre nucléaire totale, ou parlementer avec les Russes ? Reprenant exactement le même pitch que le thriller "Fail Safe" sorti la même année, "Dr Strangelove" est quant à lui une satyre cynique et antimilitariste, assez osée pour l'époque (produit peu après la crise de Cuba). Dénonçant la course à l'armement, la paranoïa militaire, la politique de destruction mutuelle assurée, et la personnalité des généraux, "Dr Strangelove" fait autant froid dans le dos que sourire. Peter Sellers y est désopilant et énergique à souhait dans un triple rôle : le président apaisant mais gêné, un officier britannique flegmatique, et un savant fou allemand qui s'extasie devant ce risque de guerre totale nucléaire. Les autres ne sont pas en reste, avec notamment George C. Scott, très amusant en général coureur de jupon et fier de son armée en toutes circonstances. En outre, on relève de jolis décors signés Ken Adam, un montage réussi, et des plans particulièrement inspirés de Kubrick (dont le fameux spoiler: bombardement final
    ), qui s'accordent à merveille avec l'humour très noir de l'ensemble.
    Ricco92
    Ricco92

    175 abonnés 2 085 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 1 mai 2022
    À travers sa filmographie truffée de chefs-d’œuvre, Stanley Kubrick laisse plutôt l’image d’un réalisateur froid et très sérieux soit tout l’inverse d’un auteur de comédie. Pourtant, le cinéaste a abordé le genre via le registre de la satire avec Docteur Folamour ou : comment j’ai appris à ne plus m’en faire et à aimer la bombe spoiler: (on comprend le registre du film dès le générique de début où le ravitaillement d’un avion en vol est filmé avec des connotations sexuelles)
    . Sans être hilarant, ce film cynique possède de nombreux passages très amusants grâce au regard critique et méchant qu’il possède sur ses personnages, sur le patriotisme excessif spoiler: (c’est à cause d’un nationaliste paranoïaque que le monde va vers sa destruction)
    et sur la course à l’arme nucléaire. Ce n’est pas étonnant, avec cette vision, qu’un militant d’extrême-droite tel que John Wayne y ait refusé un rôle ! La réussite de cette adaptation libre (le roman étant une œuvre d’anticipation sérieuse) de 120 minutes pour sauver le monde de Peter George bénéficie de l’excellente prestation de Peter Sellers qui n’incarne pas moins de trois rôles à l’écran (un accident sur le tournage l’ayant empêché d’en tenir un quatrième : celui du Commandant T.J. "King" Kong). On notera notamment qu’un de ceux-ci (le docteur Folamour ou doctor Strangelove en V.O.) donne même son nom au long-métrage alors que le personnage n’apparaît que très peu à l’écran. Une fois de plus, le cinéaste offre une réalisation à la précision implacable tout à fait caractéristique de son style et une histoire prenante de bout en bout. On pourra juste regretter que le réalisateur ait choisi de supprimer la scène qui devait clore le film spoiler: (une séquence d’une dizaine de minutes où les membres du centre de commandement s’affrontent dans une bataille de tartes à la crème)
    car la fin choisie paraît incomplète et coupe de manière trop abrupte (chose d’autant plus surprenante que cela n’aurait pas été le cas s’il avait décidé de terminer son film sur la séquence précédente spoiler: où la bombe chevauchée par le commandant T.J. "King" Kong est larguée
    !). Malgré ce petit bémol, Docteur Folamour ou : comment j’ai appris à ne plus m’en faire et à aimer la bombe reste une œuvre passionnante toujours autant d’actualité. Une fois de plus, une grand film signé Stanley Kubrick.
    Uchroniqueur
    Uchroniqueur

    111 abonnés 2 276 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 15 avril 2021
    Docteur Folamour (ou : comment j'ai appris à ne plus m'en faire et à aimer la bombe selon le titre original), célèbre comédie satirique culte réalisée par Stanley Kubrick en 1934. Le seule comédie de Kubrick, inspirée par le roman anticipation "120 minutes pour sauver le monde", écrit par Peter George et publié en 1958. Une production anglo-américaine.
    Une comédie noire sur la guerre froide et la difficulté d'enrayer la machine infernale nucléaire lorsque des fous et des incapables sont aux manettes. Avec Peter Sellers dans 3 rôles différents.
    Une grande qualité de réalisation, un grand sens du cadrage, excellente B.O.
    Un grand classique du cinéma.
    dougray
    dougray

    207 abonnés 1 904 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 janvier 2012
    Un classique du 7e art et un des meilleurs films de Stanley Kubrick (en tout cas un des plus accessibles). Malgré une mise en scène très sérieusement datée (les effets spéciaux risibles, quelques lenteurs au début…), "Docteur Folamour" peut s’appuyer sur le show concocté par l’énorme Peter Sellers qui se réserve pas moins de 3 rôles hilarants (un militaire anglais dépassé, le président US et un savant fou), de solides 2nds rôles (George C. Scott en tête), des dialogues épatants (les conversations entre les 2 présidents, la théorie du complot sur les fluides corporels…) mais aussi sur la force de son propos. Car, sous couvert d’une satire de la Guerre Froide, Kubrick dresse un portrait aussi effrayant que réaliste de cette situation de crise où la connerie militaire et la course à l’armement provoque la fin du monde avec la bénédiction d’un ancien scientifique nazi. Une description par l’absurde pas si éloignée de la réalité de l’époque. A ne pas manquer : le final où le pilote fait du rodéo sur une bombe nucléaire fraîchement larguée !
    Bernard D.
    Bernard D.

    100 abonnés 604 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 12 avril 2022
    J’ai revu sur grand écran avec plaisir – premier terme d’un oxymore terrifiant vu la situation en Ukraine - « Docteur Folamour ou comment j'ai appris à ne plus m'en faire et à aimer la bombe » de Stanley Kubrick, film sorti en 1964 donc 2 ans après « Lolita ».
    Le sujet est – je pense – connu de tous et cette fois-ci j’aimerais souligner l’importance du chiffre 3 dans ce film : 3 lieux avec la base aérienne de Burpelson commandée par le Général Jack D. Ripper (Sterling Hayden) qui a fait couper tous les liens de sa base avec le monde extérieur et qui atteint d’une crise de paranoïa (« mes fluides vitaux » sont altérés par « la fluorisation de l’eau par les Russkoffs ») a lancé tous les bombardiers B52 armés de missiles nucléaires sur les cibles soviétiques ; le bombardier B52 du commandant texan T.J. King Kong (Slim Pickens) coupé du monde par les systèmes de codage des messages et endommagé par l’explosion d’un missile russe à quelques kilomètres de l’avion et – troisième lieu - le PC du Pentagone avec le Général Buck Turgidson (George C. Scott), le Président des États-Unis et l’Ambassadeur de l‘URSS appelé pour prouver la bonne foi des américains. Mais il n’y a que 30 minutes pour éviter le pire et comme dit, les 3 lieux ne sont pas en contact direct entre eux : à la base de Burpelson il n’y a qu’un seul téléphone public et le colonel Lionel Mandrake de la RAF devra appeler en PCV le Président des États-Unis car un des marines venus libérer la base a des scrupules à tirer sur un distributeur de Coca-Cola, ne voulant pas avoir de problème avec cette firme, et inversement le Président des États-Unis ne pourra joindre son homologue russe que via un numéro privé donné par l’Ambassadeur. Sur le chiffre le 3, rappelons bien sûr que Peter Sellers incarne 3 rôles : le colonel Mandrake, Merkin Muffley le Président des États-Unis et le Docteur Strangelove ou Folamour pour la version française. Je m’arrêterai là pour la symbolique du chiffre 3 et pour dire que ce film est truffé également d’allusions sexuelles (y compris dans les noms) et de très rares moments d’humour (la pancarte « La Paix est notre profession » à l’entrée de la base, le distributeur de Coca-Cola, le minuscule dictionnaire américain/russe dans la boîte de secours des aviateurs, les 3 préservatifs dans cette même boîte, la mention « A manier avec précaution » sur les bombes nucléaires …).
    In extremis le colonel Mandrake devinera le code (en 3 lettres) pour annuler l’attaque et rappeler les bombardiers… sauf l’avion du commandant King Kong qui malgré ses 3 réacteurs touchés et la trappe de la soute qui ne veut pas s’ouvrir arrivera à libérer la bombe en la chevauchant Stetson sur la tête, en bon texan, et avec son cri de guerre Yahoo.
    Mais l’ambassadeur russe a révélé que son pays avait mis au point un système automatique d’auto-défense en cas d’attaque nucléaire, la Machine du Jugement Dernier ou Machine de l'Apocalypse… Le Docteur Folamour – un ancien savant nazi – proposera alors au président des Etats-Unis de sélectionner par ordinateur de bons américains (avec même un ratio d’un homme pour 10 femmes « sélectionnées pour leurs qualités hautement stimulantes ») pour qu’ils soient mis à l’abri dans d’anciennes mines pendant 100 ans pour régénérer la race ! A la fin de son exposé, le Docteur Folamour paraplégique se lèvera et s’écrira « Mein Führer mais je marche » en faisant le salut nazi… mais c’est trop tard car l’arme de l’apocalypse nucléaire est en route avec de multiples champignons nucléaires explosant partout sous la chanson emblématique de la Seconde Guerre mondiale We'll Meet Again.
    Un film engagé qui fut assez mal accueilli aux USA puisque sorti en 1964 donc en pleine guerre froide, la crise des missiles de Cuba datant d’octobre 1962.
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