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Ashitaka3
93 abonnés
1 187 critiques
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4,0
Publiée le 31 octobre 2010
Un film lent mais plutôt réussi dans sa totalité, avec une étrangeté latente teintée de beauté et d'originalité. Avec un Jonh turturo performant et un goodman étincelant, qui est normalement habitué à des rôles moins complexes comme dans "le petit monde des borrowers", ici on a une panoplie de personnages intéressants et impressionnants. Beaucoup d'étrangeté.
Après Fargo, The Big Lebowski, O'Brother, Intolérable Cruauté, No Country For Old Men et Inside Llewyn Davis je me lance dans mon septième films des frères Coen ( et il en reste tant d'autres ! ), Barton Fink Palme d'Or du Festival de Cannes 1991 ! Une déception, je suis resté en panne et j'ai pas accroché, les acteurs sont excellent mais là aussi j'y arrivais pas du moins jusqu'aux pétage de plomb général à spoiler: la mort d'Audrey . Le coté froid et malsain ressort notamment au tournant lors de son réveil après sa nuit avec Audrey et sa j'ai apprécié, mais sa reste bien mince malgré un John Goodman comme je ne l'avais jamais vu ... D'habitude les Coen joue du grotesque et le rende hilarant mais là j'est même eu du mal à sourire et pire j'ai trouvé certains passages mauvais et j'ai lâché prise. Certains points sont prévisible et d'autres on nous laisse un petit suspense et j'ai apprécié cela, on nous laisse une part infime d'insatisfaction ni trop ni pas assez, histoire de pouvoir cogité après le visionnage. Un visuels magnifique et certaines idées astucieuse et bien mis en scène mais avec ces deux là on ne peux jamais être déçu de se point de vue là et un gros coup de cœur pour la musique !
les frères Coen, ont certainement beaucoup de talent, j'ai apprécié Fargo et O brother, mais ce Barton fink, palme d'or du festival de Cannes 1991 ne m'a pa touché. De bons acteurs, des dialogues teintés d'humour noir, une touche d'originalité, de décalé et d'improbable (l'hotel qui prend feu!)mais je ne lui trouve aucun n' intéret, pire j'ai failli m'endormir.
Moyennement convaincu par ce Barton, bien que trés bien joué et original je ne suis pas rentré vraiment dedans, il m'as manqué ce je ne sais quoi. Toujours les ingrédients décalé des Cohen qui font mouche et font une bonne satire du Hollywood des années 80-90.
Le film ne m'a pas vraiment touché si ce n' est la peformance des acteurs(dont john turturro bien sur!!!).Je vais etre dur mais je ne lui trouve aucun n' intéret.J' en viens a me demander comment les personnes peuvent lui attribuer le titre de chef d'oeuvre et comment a-t-il pu avoir une palme d'or.D'un coté je me di alors "suis je passé a coté de quelque chose?" et de l'autre coté "je trouve ce film nul" ce que je pense vraiment en toute subjectivité ;-)
L'histoire d'un humble auteur new-yorkais venu s'aventurer à Los Angeles pour entrer dans le monde du cinéma hollywoodien. Installé dans un hôtel miteux et effrayant, Barton Fink va faire l'étrange rencontre de son double satanique. Fink est un homme perdu qui se confronte à des réalités invraisemblables, une unique lueur de bonheur grâce à un cadre, une amitié naissante avec un John Goodman alimentant le contraste entre le bien et le mal... Barton peine à trouver de l'imagination pour son scénario tellement sa vie est vide et simple...jusqu'au moment où tout bascule, et la question se pose alors : est-ce un rêve ? ou un changement radical arrivé au bon moment ? Bref, quoi qu'il en soit, l'acteur principal (John Turturro) nous invite dans son monde avec talent, où l'impression laissée est celle d'assister à un film dirigé par Barton Fink, ou plutôt son subconscient en nous présentant des personnages inventés volontairement par ce héros. Une magnifique écriture pour une palme d'or méritée. Bravo aux frères Coen pour leur humour habituel et leur réalisation en béton.
Cet incroyable film est un surprenant labyrinthe dans lequel on se perd avec délice. En racontant l'histoire de ce scénariste exigeant obligé de se vendre au plus offrant pour survivre, les Coen signent un film sur l'aliénation et la difficulté du processus créatif. John Turturro est magistral en écrivain maudit. Il porte "Barton Fink" vers les plus hauts sommets. Le film devient alors une de ces rares oeuvres capables de parler de cinéma avec une incroyable humilité et un véritable amour. Même les personnages des producteurs avides gardent une véritable tendresse et au milieu de tout cet univers, Barton tente désespéremment de se battre pour que vive une autre idée, une autre façon de faire. Finalement, c'est eux-mêmes que les frères mettent en scène, tant ils représentent aujourd'hui cette impertinence fière de faire des films comme personne, pour ceux qui veulent les voir mais avant tout pour offrir une autre vision que celle proposée dans les courants mainstream. Tim Burton fera aussi bien avec "Ed Wood".
Un chef d'oeuvre. Un très beau film. John Tuturro joue l'un de ses meilleurs rôles de sa carrière. John Goodman campe un psychopathe avec brio. Steve Buscemi tient le rôle du réceptionniste de l'hôtel Earl. La fin du film laisse un mystère sur le contenu de la boîte et la belle femme en maillot de bain.
Palme d'or au Festival de Cannes 1991, Barton Fink est un film très intelligent, à la fois drôle, poétique et sombre. Il raconte l'histoire d'un écrivain new-yorkais solitaire et idéaliste, incarné par John Turturro, qui va se retrouver un peu malgré lui à Hollywood pour y écrire des scénarios pour des films de série B. Ce changement entraînera chez lui des bouleversements personnels profonds, et un état de dépression dont seul la complicité d'un voisin d'hôtel très louche – superbement incarné par John Goodman – le soulagera. La musique et les décors sont magnifiques, participant grandement à cette atmosphère si particulière créée par les frères Coen.
Grande déception que ce Barton Fink. Je dirais que le film est une sorte de laboratoire expérimental dans lequel les frères Coen ont tâté l'humour noir du bout des doigts. Je ne conteste pas la satire de l'industrie hollywoodienne mais cela reste primaire et sans intérêt en ce qui me concerne. Heureusement, leur style a évolué au fil des ans et permis de nombreux moments croustillants dans bien d'autres films.
Bah j'ai pas accroché car à vrai dire je me suis emmerdé et c'est pas à ce que je m'attendais d'un Coen. Si les frères tirent une fois de plus sur un L.A qu'ils ont décidément du mal à apprécier (et c'est toujours aussi jouissif), je n'ai pas apprécié la mise en scène beaucoup trop lente et melancolique du film, sans aucun doute souhaité pour faire naître un veritable sentiment de malaise chez Turturro (et que l'on ressent très bien nous aussi) face a l'imposant John Goodman. Mais cela me donne juste l'impression que le film n'avance pas du début jusqu'a la presque fin, où l'action, les rebondissements arrivent et l'inquiètude permanente à ses conséquences. Cannes s'est, à mon humble avis, un peu trop regardé le nombril en surprimant ce film hommage aux personnalités du milieu.
J'ai vu du Cohen et j'ai sauté dessus sans trop réfléchir, ne faites pas la même erreur. Après avoir vu "No contry for old men" il y a 3 semaines, autant dire que ma déception fut grande ... Ok il y a de l'humour, c'est plutôt fin et malin, l'acteur principal est vraiment pas mal et les décors sont sympa. Mais que le film est long, je ne me suis divertit qu'avec les scènes entre Barton Fink et son voisin et avec un ou 2 seconds rôles découvert au fur et à mesure. La Palme d'or me surprendra toujours, on peut récompenser des chefs d'oeuvre mais aussi un Barton Fink. 1991 mauvais cru ? Pour Cannes en tout cas ...
Le plus beau dans ce film est visuel. Côté photographie le film est excellent. D'excellents acteurs et notamment les premiers rô scénario avec un dénouement inattendu ! A recommander !
Un huit clos bien écrit , mais ennuyant. L acteur principal joue trop à mon goût de manière théâtrale. Dénouement bâclé, mais les dialogues sont tous très bon, comme l ensemble du casting, comme souvent chez les Cohen.