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    Rosemary's Baby
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    358 critiques spectateurs

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    Val_Cancun
    Val_Cancun

    48 abonnés 764 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 29 juillet 2015
    Après "Repulsion" et avant "Le locataire", "Rosemary's baby" (1968) est le deuxième épisode du triptyque consacré par Roman Polanski aux appartements maudits.
    Mia Farrow et son mari John Cassavetes emménagent dans un logement new-yorkais de sinistre réputation, tant ses habitants précédents semblent avoir rivalisé de malchance ou de cruauté.
    Le jeune couple se laisse malgré tout tenter, et fait connaissance avec ses voisins, envahissants mais sympathiques. Problème, une jeune femme recueillie par ces derniers se suicide peu de temps après leur arrivée. Mia Farrow commence alors à avoir des visions pour le moins troublantes : hallucinations, rêves ou réalité?
    Ce qui frappe dans "Rosemery's baby", c'est l'élégance et l'originalité de la mise en scène de Polanski : dès la première séquence, une plongée sur le mystérieux appartement, d'apparence sinistre, avec en fond sonore une sorte de berceuse lugubre entêtante.
    Le récit est parsemé de personnages étranges, à l'image de ce couple de voisins inquiétants. Le réalisateur polonais prend un malin plaisir à troubler le spectateur, à une époque où les thématiques satanistes restent l'apanage du cinéma de genre.
    Il y aussi ce tour de force qui prouve le pouvoir suggestif des images : spoiler: le spectateur est persuadé d'avoir aperçu le fameux bébé, alors qu'il n'apparaît jamais à l'image!

    Le principal défaut du film tient à son défaut de rythme et à ses longueurs ; si le film sortait aujourd'hui, ma note serait moins indulgente, mais "Rosemery's baby" reste une œuvre qui a marqué son époque, surtout quand on connaît sa terrifiante portée prémonitoire, avec l'assassinat l'année suivante de Sharon Tate, enceinte de 8 mois...
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 29 juin 2015
    J'ai découvert Rosemary's Baby il y a peu pensant trouver un bon classique de l'horreur, ce fut difficile a regarder car le film a très mal vieillit et finalement l'histoire n'est pas si passionnante que ça. On s'ennuie, en suivant la pénible vie de Rosemary qui qui est enceinte du fils du Diable, pas vraiment d'horreur ou d’angoisse il faudra attendre le final pour avoir une vrai scène qui dure cinq minute et encore. Je veut bien que le film soit vieux mais a comparaison, L'exorciste qui lui est de la même époque ne souffre pas de ses longueurs et de ses effets spéciaux, l'ambiance est bien la et cela suffit pour crée une atmosphère digne d'un classique de l'horreur. Je n'ai rien trouvé de tout cela dans Rosemary's Baby, dommage.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 20 mai 2015
    Rosemary's baby est l'un des rares films qui peut se venter d'être considéré comme l'un des plus grands traumatismes familiales des années 60/70 avec le film culte de William Friedkin « L'exorciste ». Adaptation d'un roman de Ira Levin et mis en scène par le talentueux Roman Polanski (récompensé aux oscars pour le même film), cette œuvre connaîtra lors de sa sortie un succès critique et publique qui fera de lui un classique du film fantastique.

    Le film commence avec Rosemary et Guy Woodhouse, jeune couple s'installant dans un spacieux appartement de la célèbre maison Bramford, vieux bâtiment de Manhattan assez inquiétant du fait de la réputation sinistre de certains résidents d'autrefois. Aussitôt, leurs voisins, Minnie et Roman Castevet, couple d'un age avancé, imposent leur amitié et leurs services.
    Pendant la première heure, Polanski prend donc son temps pour mettre en place l'histoire principale, qui est compté sous une ambiance et une mise en scène oppressante composé de plusieurs travellings d'une symétrie exorbitante et de plans séquences, particulièrement pendant les scènes de dialogues.
    Tout, commençant par le décor ou la lumière, est typique des années 60.
    Le génie du film, pour ma part, est dû principalement à sa mise en scène dans la mesure ou tout le long du film, on ne sait pas de quel côté se mettre, une ambiguïté plane en permanence autour du couple et de la relation entre Guy et les voisins. D'un côté, Rosemary, spoiler: persuadé que son entourage en veut à son enfant,
    arrive de temps à autre à nous convaincre de ce qui la rend paranoïaque, plusieurs élément suspect, notamment la relation soudaine entre Guy et le voisinage, peut éveiller les soupçons, mais le film nous laisse toujours entre deux chemins. Certaines séquences sont aussi étourdissante que déroutante, principalement la séquence du rêve de Rosemary qui est un mélange entre la réalité et le subconscient de cette dernière, cette scène qui est composé d'images abstraites et de surimpression apporte aux téléspectateur un sentiment de vertige permanent, qui augmente d’ailleurs tout au long du film de façon crescendo.
    Autre point intéressant à noter, outre le jeu d'acteur irréprochable, c'est que les techniques de cadrage varie en fonction de la stabilité du personnage principale, à la fin du film, contrairement au début, les cadrages ont une nervosité intense qui appuie sur le déséquilibre de Rosemary et nous fait partager ses sentiments et ses angoisses.
    Pour conclure, la véritable force de cette œuvre est de nous apporter une sensation de malaise constante, qui se doit à un dénouement tout aussi touchant que dérangeant.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 18 août 2019
    On n'a pas véritablement peur devant Rosemary's Baby, on est angoissé plutôt. Les critiques de 1968 remarquaient déjà que ce n'était pas à proprement parler un film d'horreur. Mais la mise en scène brillante de Polanski crée une atmosphère oppressante, toute en cadrages asphyxiants, décors labyrinthiques et musique lancinente. Il alterne entre des plans classiques et d'autres filmés caméra au poing, notamment dans des séquences de cauchemar qui n'ont presque pas vieilli et ont déjà quelque chose de David Lynch. Derrière les failles de ce couple parfait, on retrouve toute l'inquiétude de la fin des années 60 face à la perte des repères moraux, dans le contexte des grands mouvements contestataires noirs, étudiants et hippies. Cette tension traverse Rosemary's Baby, résumée par la une du Time que feuillette Rosemary à la fin du film: "Is God dead?" C'est sûrement cette actualité du thème de la perte de foi qui, associée au talent de Polanski, a fait de Rosemary's Baby un succès commercial et critique, malgré des éléments de série B qui auraient pu repousser.
    Mais Rosemary's baby n'est pas seulement un film d'époque, c'est aussi la trajectoire d'un personnage féminin pris dans le carcan d'une société et d'une époque mysogines. Même si Rosemary peut être vue comme complice de cette mysoginie quand elle passe son temps à décorer son appartement, apporte la bière et le sandwich à son mari et le laisse critiquer sa coupe de cheveux et le choix de ses amies, Mia Farrow donne au personnage quelque chose d'un peu rêveur et mélancolique qui le rend plus complexe. Le scénario lui-même, adapté du roman d'Ira Levin, se concentre largement sur la question, toujours d'actualité, du corps de la femme et de sa liberté d'en disposer: après tout le fameux bébé de Rosemary est le fruit d'un viol et l'objet d'un marchandage. Ces questions font de Rosemary's Baby un film au pouvoir de fascination intact, moins un film d'horreur qu'une histoire de grossesse cauchemardesque dont le final nous hantera encore longtemps.
    Critique détaillée: https://www.espace-critique.fr/critique-rosemarys-baby/
    ManoCornuta
    ManoCornuta

    225 abonnés 2 801 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 6 mars 2015
    Voilà, c'est fait... je l'ai vu... Bon, que dire sur ce film, si ce n'est qu'à mon sens trop de lenteurs nuisent considérablement à la tension ambiante. Tout est affaire de climat, me direz-vous, mais il n'empêche que le film aurait à mon avis gagné à être amputé de vingt bonnes minutes. Si l'interprétation est de grande qualité (spécialement Mia Farrow) et que l'absence de réelle explication finale est intéressante, certaines impasses dans l'histoire ne manquent pas d'agacer. Je m'attendais quand même à un film plus "spectaculaire", sans exagérer quand même. Ça passe, mais bon... Polanski a fait bien mieux par la suite.
    Nyns
    Nyns

    192 abonnés 749 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 21 février 2015
    Malheureusement j'ai eu le livre dans les mains à un moment donné, je l'ai lu, et j'ai vu le film. Si ça n'avait pas été le cas, j'aurais sûrement mis une meilleure note grâce à l'effet de surprise. Mais je vais vous dire franchement, il ne s'est pas foulé le Roman, on va mettre ça sur le cout de ses 34 ans de l'époque, mais tout est clairement et scrupuleusement repris du bouquin en question (un vulgaire torchon soit dit en passant). Le plus du film, c'est cette atmosphère oppressante menée avec professionnalisme par Mia Farrow, qui joue la paranoïa comme rares l'ont aussi parfaitement incarnée. La mise en scène a été à juste titre récompensé et a propulsé la carrière de Roman Polanski. Mais il y a un gros problème, spoiler: les délires sataniques moi, c'est pas trop mon truc. Surtout quand un film se veut angoissant et se termine en fantastique (le bébé diable), c'est du grand n'importe quoi. Donc tout le long on pense que la Rosemary est folle, mais non elle avait bien raison de se méfier. Tout ça pour ça ben... Merci bien. J'ai trouvé ça grotesque, mais bon. J'étais déjà au courant grâce au livre...
    . Je pense et j'espère, que c'est l'idée, le concept de Rosemary's Baby qui en ont fait un film culte : celui de la future mère trompée par son monde. Regardez Rosemary's Baby pour trembler avec Mia mais ne vous y trompez pas, ceci n'est plus un film d'horreur mais a été naturellement déclassé suite à la surenchère du genre au fil des années...
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 28 octobre 2015
    Mon dieu que ce film a mal vieillit... Peut être flippant à l'époque et plus de nos jours, mais à cause de toutes ces daubes comme Né pour tuer, Progeny, The baby, etc... C'est vu et revu le thème du bébé maléfique... En gros une belle daube... Une histoire totalement farfelue, il ne se passe pas grand chose, en bref un film qui manque de pêche...
    WalkthisWay
    WalkthisWay

    18 abonnés 670 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 23 février 2015
    Dès la musique d'ouverture tout est là. Il s'agit d'un classique du genre. Comme quoi un film d'horreur peut être bien écrit, bien réalisé, flippant et bien interprété! Mais n'est pas Polanski qui veut.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 20 janvier 2015
    Quelque peu déçu , je m'attendais réellement à quelque chose d'autre , le tout part très bien , on ce demande vraiment si il c'est réellement passé quelque chose cet nuit là ou si Rose à juste rêver ... Mais le problème est justement là , cet ambiance du " Ce passe t'il réellement quelque chose ? " disparaît trop rapidement ... Et pourtant le film essaye , plusieurs scènes auraient pu être réellement plus angoissante ... Comme celle de la cabine téléphonique , lorsque l'homme ce place à côté comme si il écoutait , il y avait vraiment quelque chose à faire la dessus , mais rien finalement , bien dommage ... Et tout le film est comme ça , plein de scène qui aurait pu être clairement mieux exploité pour vraiment faire peur , ou tout simplement mettre un peu plus de suspens ... Tout comme le vieux couple voisins , en début de films ils semblaient être des gens louchent à qui on ne veut pas faire confiance , mais le problème est que finalement ils deviennent TROP louches , et ça brise " l'esprit de peur " qui flottait autour d'eux , la scène finale reste seulement trop molle , son mari la plus que trahi , elle lui crache uniquement dessus spoiler: et toute une secte satanique vient de la faire enfanter l'enfant du diable , et elle sombre " simplement " dans la folie ...
    C'est bien dommage , parce que comme je l'ai dit , il y avait vraiment un moyen de faire régner " une peur invisible " dans ce film , mais finalement , toutes les tentatives de faire cela sont trop rapidement " élucidées " ..
    christophe117
    christophe117

    6 abonnés 249 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 6 janvier 2015
    On saura gré à Roman Polanski de nous gratifier de très bons jeux d'acteurs ainsi que d'une magnifique photographie. Le suspens est maintenu jusqu'au terme de cette maternité angoissante. Malheureusement le film en reste à une oeuvre très scolaire : très bien réalisé... mais sans surprise. La trame est unique, il n'y a rien de secondaire, la mère apprend tranquillement tout par étape. Dommage enfin que ce film soit proprement "satanique" dans ses mystères fameusement "ésotériques"...
    Kiwi98
    Kiwi98

    243 abonnés 238 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 décembre 2014
    Après avoir déjà prouvé un incroyable talent, Roman Polanski, après "Repulsion" et "Le Couteau dans l'eau", part à la conquête de l’Amérique avec une collaboration avec Robert Evans et William Castle qui ont acquis les droits pour une adaptation du roman de Ira Levrin "Rosemary's Baby".

    La jolie, fragile et solitaire Rosemary Woodhouse et son mari, ambitieux comédien, viennent de déménager dans un superbe immeuble new yorkais. Rosemary tombe enceinte, mais la grossesse est difficile car il ce trouve que la pauvre femme n'a pas des voisins ni un mari tout à fait comme les autres, elle se prend à des cauchemars, des hallucinations, une tendance paranoïaque.

    Aussi diabolique soit il, "Rosemary's Baby" propose également une trame féministe et une satire du mariage, la trahison de l’être qu'on pensait aimer, le mariage de Rosemary n'est qu'un piège, une pharse, conçu pour lui voler sa vie et celle de son enfant, la jeune femme se voit sombrer dans la folie, sacrifiée pour satisfaire un petit groupe sataniste, des conspirateurs de la société détruisant l'indépendance d'une femme pour sauver cette anti utopie à huis clos. Polanski prouve son immense habilité à traiter des sujets qui mettent mal à l'aise, une histoire éprouvante, déroutante qu'il met en scène comme si tout semblait normal. Le sexe, l'amour, l'Antéchrist, il aborde tout d'une façon magistrale, habile comme jamais, sans imposer d'artifices mais avec un rythme soutenu, précis aborder sous forme de critique sociale.

    Mia Farrow montre beaucoup d’ambiguïté, comme une énigme, elle donne à son personnage une allure d'avantage féminine avec sa coupe courte et sa sensibilité. L'intrigue apparaît de plus en plus prenante, parfois même ludique, l'atmosphère sinistre que Polanski donne à Manhattan y est pour beaucoup, les scènes les plus diaboliques influencerons beaucoup "L'Exorciste". L'intrigue conduit finalement le film à une apogée joliment sentimentale et terrifiante, notamment ce fabuleux final ou Rosemary, la vie volée, se met à bercer doucement son enfant...

    ... Effrayant.
    Catherine V.
    Catherine V.

    50 abonnés 610 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 décembre 2014
    Il fallait avoir 20 ans en 1968 pour comprendre ce que ce film a pu provoquer à l'époque. Autrement dit, pour reprendre ironiquement la chanson de Charles Aznavour, je vous parle d'un temps que les moins, non pas de 20 ans mais de 60 ans, ne peuvent pas connaître.... Comme "Les Valseuses", dans un genre différent bien sûr, furent une révolution en France en 1974... et pas qu'un peu... J'y étais et j'ai vu des gens sortir de la salle de cinéma, bien avant la fin, horrifiés au plus haut point. S'ils avaient pu mettre le feu au bâtiment, comme certains brulaient les hérétiques au Moyen-Age, je pense qu'ils l'auraient fait ! Nous sommes aujourd'hui en 2014 et il s'agit de films qui sont même diffusés à la Télévision ! Si on m'avait dit ça en 1968, je ne l'aurais jamais pensé possible...... Rien n'est devenu comparable et par conséquent, rien ne peut être comparé. Il n'y a pas d'effets spéciaux, il n'y a pas de trucages spectaculaires, il n'y a rien de ce qu'on peut voir aujourd'hui dans les productions estampillées "épouvante/horreur". Roman Polanski a été le premier à oser lancer la mode des films portant sur du "satanique", du "diabolique" et Dieu sait (humour cynique étant donné le sujet...) s'ils n'ont pas manqués depuis. L'ambiance, car tout n'est presque qu'ambiance dans Rosemary's baby, est dérangeante à souhaits. Une belle réussite cinématographique et une excellente interprétation de tous les personnages.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 13 janvier 2015
    Je suis partagée entre 2,5 et 2 mais finalement, je suis déçue de la fin du film. On s'y attendait énormément et finalement, c'est le genre de film dans lequel on pense que la fin sera un retournement complet de situation mais finalement non. Je pense que le réalisateur aurait gagné a couper le film avant que spoiler: Rosemary se réveille par les cris de bébés, afin de laisser planer le doute du réel ou de l’hallucination.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 24 novembre 2014
    Un classique de l'épouvante, à ranger aux côtés de "The Shining" ou "L'Exorciste". L'angoisse suscitée par le génial Polanski y est toujours aussi prenante.
    Ricco92
    Ricco92

    182 abonnés 2 093 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 novembre 2014
    Après avoir traité le cinéma fantastique sous un aspect comique avec Le Bal des vampires, Roman Polanski continue dans le genre sous un aspect nettement plus sérieux. Pendant tout le film, le spectateur ne sait d'ailleurs pas si le film auquel il assiste raconte une histoire fantastique, s'il est une vision délirante du personnage principal (un peu comme le Répulsion que le cinéaste tourna avec Catherine Deneuve) ou s'il présente une histoire de secte. L'aspect sectaire est d'ailleurs extrêmement présent et préfigure hélas le drame qui touchera le cinéaste l'année suivante avec l'abominable assassinat de sa femme Sharon Tate (jouant ici un petit rôle non crédité) par la secte de Charles Manson. Si le film n'est pas véritablement effrayant, il est assez intrigant et très prenant, notamment grâce aux prestations de John Cassavetes (qui, on l'oublie souvent, n'a pas été que que réalisateur mais aussi acteur) et surtout de Mia Farrow, parfaite en femme fragile et traumatisée par les évènements qu'elle affronte. Un classique du cinéma fantastique.
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