Derniers Avis : Cannibal Ferox - Page 2

Je met 0 étoiles par principe, car je ne goûte pas les films où des animaux sont massacrés. Quant au film, il n'a même pas la prétention de fournir un message comme dans cannibal holocaust, autre film honteux pour ses scènes animalières. Une pseudo-intrigue policière complètement inutile, des étudiants qui partent en Amazonie pour prouver la non-existence du cannibalisme, croisant le chemin d'un méchant dealer de cocaïne. Sinon, il y a 2 ou 3 scènes gore assez bien fichues. Sans les scènes de tueries animalières, j'aurais dit que le film reste plutôt distrayant, en-dessous de son célébrissime prédécesseur, mais plaisant à voir tout de même. Ce qui ne m'empêche pas de souhaiter la mort de ces réalisateurs qui font tuer si facilement des êtres vivants sans défense, juste pour rajouter de la provocation à leurs film.

Cette pâle copie de Canibal Holocaust a bien du mal à provoquer un quelconque intérêt. C’est chiant, mal filmé, mal joué et rempli de scènes de cruautés envers les animaux totalement superflues.

Sorti un an après le plus que surprenant "Cannibal Holocaust", ce nouveau produit made in Umberto Lenzi n'est certes pas aussi percutant que son prédécesseur, mais comporte quelques scènes particulièrement morbides. Il reste décevant que le jeux d'acteur soit aussi approximatif, car cette donne fait perdre un peu de crédibilité au genre.

Lorsqu'on dit que "Cannibal Ferox" est specialement pour les personnes averties ce n'est pas pour rien. Comme la plupart des films cannibales, il contient un grand lot de scènes gores particulièrement choquantes pour les sensibles avec une grande cruautée (Oeil arraché, éventration, crane explosé à la machette, et enfin la fameuse scène culte de la femme suspendu par des crochets plantés dans ses seins) ainsi que plusieurs meurtre d'animaux provoqués par l'homme et par la nature elle-meme qui montre les lois de la jungle. Bien entendu les gens qui se plaignent considèrent les films comme "Le Dernier Monde Cannibale, Cannibal Holocaust et Cannibal Ferox comme de simple massacre d'animaux. Et pensez-vous que l'homme est un être sage ? Meme si la morale est la même que Cannibal Holocaust (la violence engendre la violence), Cannibal Ferox montre bien que l'homme blanc est prétencieux, provoquateur et cruel envers ce qui ne rentre pas dans le "cercle" que l'homme appelle la civilisation et que la cause de ces scènes finales atroces sont dû à sa propre cruauté envers la tribu. Le tout souvent accompagné de belles musiques agréables à entendre, un réalisme incroyable même aujourd'hui à propos des effets gores lors des scènes sanguinolentes et une histoire de survival qui, bien que classique, reste trépidante. "Cannibal Ferox" est une série B malheureusement trop sous-estimé et juger trop vite par rapport à ces meurtres réels d'animaux, seul les personnes très avertis et majeurs peuvent avoir la curiosité de visionner cette perle d'Umberto Lenzi (Cannibalis, Secte des Cannibales, L'avion de l'Apocalypse), les autres devront s'obstiner. Le film reste moins bien que le chef d'oeuvre Cannibal Holocaust (qui a été interdit quand meme dans une soixantaine de pays) mais il saura satisfaire les fans du sous-genre cannibale avec son réalisme éternellement surprenant, sa mise en scène correct digne d'une bonne serie B et son lot de scènes très gores qui justifient parfaitement la censure et l'interdiction dans un trentaine de pays qu'il a reçu à sa sortie."Cannibal Ferox" est un film d'horreur-aventure qui mérite un peu plus de respect et de satisfaction. 4/5

Moins minable que son catastrophique L'Avion de l'apocalypse Lenzi signe ici un film de cannibales comportant sont lot de scènes gores mais finalement moins choquant que le fameux Cannibal holocaust qui reste la référence du genre. C'est une série B plutôt sympa à suivre si on aime le genre par contre on regrettera des scènes de cruauté inutile envers des animaux (notamment cette espèce de fourmilier complaisamment filmé entrain de se faire broyer par un anaconda) ; on ne peut s'empêcher de faire la comparaison avec le film de Deoddato et à ce niveau Cannibal Ferox est inférieur car le film de Lenzi n'a pas cette atmosphère lourde et étouffante de Cannibal Holocaust. Mais dans l'ensemble ce Cannibal ferox est pour du bis pas mal foutu, les scènes de tortures ont des trucages toujours efficaces de nos jours.

Sans parvenir à l'immersion et au décalage d'un cannibal holocaust (que beaucoup critiqueront, mais que j'ai adoré), cette plongée dans l'univers cannibal est plutôt sympathique à suivre, d'autant plus que le rythme ne mollit pas trop, et que l'on retrouve la sympathique ambiguité du mot "sauvage". Rien de très neuf, donc, mais quelques scènes de sévices plutôt convaincantes (ouverture crânienne à la noix de coco, crochets mammaires...), et une hostilité constante de l'environnement (les appâts pour éloigner les prédateurs ne font jamais long feu, les piranhas guettent en eaux peu profondes...). Un sympathique mais dispensable film d'horreur rital, à la conclusion plutôt surprenante (après ce qu'on voit, je ne m'attendais pas à ce qu'on nous fasse quand même le coup), mais donc le choix artistique reste discutable.

Umberto Lenzi donne dans le film de cannibale très en vogue après Cannibal Holocaust et fait pire que son compatriote Deodatto. Bon, on est pas encore dans du Mattei mais presque.

le film a trop mal vieilli lol^^ j ai mis 1etoile pour les decors de l amazonie mdr :p sinon comme disent les autres critiques dieu que c est long pour avoir de l action (et encore tu as n a plus dans un episode de derrick que dans ce film je paris lol^^
Ps : Heureusement que le dvd etait fournis avec le magazine Mad Movies car sinon l aurai jamais acheté mdr

Déçu et en même temps surpris. J'm'attendais à voir un gros nanar bien drôle (sans le vouloir) genre I Drink Your Blood et finalement, c'est pas assez nul pour être un bon nanar, ni assez bon pour être un bon film de genre. Alors pk? Les côtés pourris sont la direction artistique qui tape dans le bon nanar assez souvent (filmé Derrick-like à NY, des zooms bien moches, de la zik pourri assez souvent, des acteurs parfois mauvais au possible), et par des côtés moralisateurs comme un Vendredi 13 (drogue et cul parfois banni et puni). Mais ils ne suffisent pas pour en faire un bon nanar bien drôle, pk? Premièrement, les doublages ne sont pas mauvais (surtout le héros et les débuts de la voix française de Bruce Willis) excepté à quelques moments (le black au commissariat magique), quelques plans sont assez jolis, les idées pour faire du gore sont pas mals (avis aux jeunes cinéastes), et sans oublier l'histoire. Le scénar' dans sa simple forme est bateau (5 occidentaux en amazonie, 2 cons, des indigènes furieux et cannibales) mais il forme une brillante métaphore de toute une exploitation des ces populations dites non-civiliées (exploitation, violence, jugement condescendant...) qui vaut autant pour la colonisation (fini en 80) que pour la lutte des deux Grands (URSS-Usa) pour ses pays, qui résulte en un choc des civilisations où la violence est importée par les dits-civilisés, entre deux civilisations différentes et leurs visions propres de la survie (argent pour l'un, chasse pour l'autre...) et de la justice. Après y'a du gore mais pas à l'excés, et c'est un film batard mais sympathique qu'il nous est offert. (après je n'ai pas vu encore Cannibal Holocaust, donc je ne comparé, voir si il y a plagiat...)

certaine sont très dure

Une bouse, on est plus impressionné par les scènes réels ou les animaux s'entretuent ou sont dépecés ( le crocodile et la tortue coupée en morceaux, le tigre qui tue un singe ou le boa qui tue une espèce de furet ) que par les scènes dite gore du film avec des indigènes cannibales aussi mauvais acteur et pas du tout crédibles que les acteurs américains du film.

Sortie dans la même période que le cultissime "Cannibal Holocaust" ce film en est une pâle copie. Précisons que le film de Deodato "Cannibal Holocaust" précède de quelques mois "Cannibal Ferox" et alors que "... Ferox" a été censuré dans une trentaine de pays "... Holocaust" l'a été dans une soixantaine de pays.
Dans "Cannibal Ferox" le scénario s'est voulu plus compliqué mais au final il n'en est rien ; l'intrigue policière parallèle qui se déroule à New-York s'avère très simple mais surtout très inutile et ne sert en rien ce qui intéresse à savoir l'aventure en Amazonie. La seconde chose qui frappe ce sont les acteurs surtout l'actrice blonde et le brun qui sont plus que médiocres ; il suffit de voir comment le photographe entre sans peur (ni reproche lol) dans le village cannibal alors qu'il y a des cadavres, comme si il était habitué !
Le film reprend aussi la scène du diner de tortue déjà vu dans "Cannibal Holocaust"... Lors de l'intrigue policière une femme apprend qu'il y a eu un meurtre chez elle et que son ami a disparu sans qu'elle a l'iar d'être touchée de quelque manière que ce soit...
Une intrigue policière de trop et des acteurs médiocres font qu'il vaut mieux allé revoir "Cannibal Holocaust" qui offre en plus une mise en scène aux origines des "Blair Witch" et autre "Rec".

Nul, aucun scenario, le film ne consiste qu'a nous exposer des scenes gore de mauvaise qualité, des animaux morts, et au final, ca n'a aucune forme, ca ne ressemble a rien, les acteurs sont pitoyables... Un plagiat flagrant de Cannibal Holocaust qui malgré sa mauvaise qualité avait su faire parler de lui, Cannibal Ferox tente de reproduire le meme effet et cherche a choquer, mais ca ne marche pas du tout, un film tres vite oublié.

mème merde que cannibal holocaust franchement je ne voit toujour pas l'intèrait de tuer des animaux (crocodile, tortue)bref un film de con et de plus on peu sen passé!

Juste avant le chef d’oeuvre de Ruggero Deodato : Cannibal Holocaust (1981), Umberto Lenzi nous donnait lui aussi sa vision des choses avec Cannibal Ferox (1980), énième film gore/trash sur le cannibalisme, tendance hyper réaliste et résolument incorrect.
Ici, c’est un groupe de jeunes qui se rendent en Amazonie à la rencontre d’une tribu anthropophage. Hélas, leur voyage ne va pas se dérouler comme prévu et va tourner au cauchemar intégral en devenant le repas de la tribu.
Scènes sanguinolentes, éventrations, mutilations, coupages à la machette, tortures sur des animaux et des humains, sans oublier le final (suspension d’un corps de femme par les seins à l’aide de crochets), bref, Umberto Lenzi ne fait pas dans la dentelle, mais le résultat est tout de même moins vomitif que Cannibal Holocaust (1981).
Le Bis Italien dans toute sa splendeur, à réserver à un public averti et majeur !