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Mia Wallace
11 abonnés
507 critiques
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3,0
Publiée le 4 décembre 2023
Je n'ai pas lu le roman original qui, je n'en doute pas, doit être bien mieux. En revanche, je trouve que le public a été un peu trop sévère, il n'est pas si honteux que cela. Certes, les effets spéciaux sont un peu cheap, mais on voit tout de suite qu'il n'y a pas eu un énorme budget, et pour un film fait "avec les moyens du bord", il se débrouille bien à mon sens. La musique est épique (Peut-être un peu trop pour la qualité du long-métrage), l'histoire est attrayante et les acteurs, certes n'auront pas un oscar mais ça va !
Ce film lorsque je l'ai vu étant jeune m'avais choqué non pas de la violence ou de certaines scènes assez gore mais de l'inceste qui est présente, ce film m'avais énormément dérangé et l'ayant revue il y'a quelques jours, cet élément reste toujours dérangeant malaisant, mais dans l'ensemble le film est bon, une ambiance année 90 bien présente.
Un film qui aujourd'hui paraît un peu daté au niveau des effets spéciaux mais garde son charme grâce à une atmosphère très réussie. La musique bien choisie porte les images et les comédiens ont tous le grain de folie nécessaire pour nous faire entrer dans l histoire assez improbable.
Sleepwalkers est un petit film composite qui mêle de nombreux motifs chers à Stephen King – la voiture maléfique, l’ambiguïté sexuelle qui unit un parent avec son enfant, le poids de la solitude, les métamorphoses douloureuses – qui ne vaut que pour son ouverture et sa clausule, course-poursuite qui tire profit du n’importe quoi ambiant pour offrir un affrontement plutôt jouissif. En outre, quel plaisir de retrouver la trop rare Mädchen Amick, figure emblématique de la série Twin Peaks (David Lynch) ! Elle ne livre pas une prestation mémorable mais convainc davantage que le reste du casting, à commencer par Brian Krause, caricatural. Quelques caméos sympathiques, avec notamment Stephen King, Joe Dante et John Landis, ainsi que le couple de parents issu de Ferris Bueller’s Day Off (John Landis, 1986). Un délire entre amis, donc. Notons enfin que la multiplication à l’écran des chats crée une impression de grouillement et de malédiction, sans que nous ne comprenions de prime abord leur utilité dans l’intrigue ; leur éventration initiale les change en des créatures sournoises et maléfiques, avant qu’ils ne voient leur axiologie se modifier pour devenir les protecteurs de l’humanité. Le gore et les effets visuels s’avèrent réussis mais ne sauraient rattraper la confusion et la lourdeur d’une production de série B qui ne propose aucune réflexion un tant soit peu innovante sur les vampires.
Juste grotesque ! du grand-guignolesque, à l'image du surestimé Stephen King.... Facilités, prévisibilité, tout est calibré, difficile de trouver le moindre intérêt à ces mythes revisités de manière paresseuse.
J'ai bien aimé la première partie du film, avec son ambiance mystérieuse et les petites amourettes adolescentes sur fond de Santo & Johnny. C'est le Stephen King comme je l'aime. Puis vient la seconde partie, indigeste, stupide et pas très jolie. Dommage, ça commençait pourtant bien.
Adapté d’un scénario original écrit par Stephen King, le film nous emmène à la découverte d’un étrange duo, celui d’une mère et d’un fils (où l’inceste est roi), derniers survivants d’une race de chasseurs nocturnes : les félidés. Ils ne craignent qu’une chose : les chats et ils ne se nourrissent que d’une chose, la force vitale de jeunes vierges.
Etonnamment, Mick Garris (Critters 2 - 1988) arrive avec une certaine aisance à nous immerger au cœur de son intrigue abracadabrante (des félidés qui ont la faculté de se transformer en pseudo loups garous et peuvent rendre invisible tout et n’importe quoi). On est pris dans cette histoire pas banal au cœur de cette petite ville où les chats semblent régner en maître (de Clovis le chat du flic en passant par tous les matous qui squatte la pelouse des Brady et ceux qui errent dans la ville).
Alors certes les trucages ont mal vieillis (le morphing fait sourire), mais cela ne gêne en rien l’appréciation du film, on affectionnera tout autant la B.O. et notamment "Sleepwalk" de Santo & Johnny ainsi que "Boadicea" d'Enya. Au final, il en résulte au final, une très sympathique SérieB
Comme adaptation de Stephen King j'ai déjà vu mieux. Sleepwalkers est un film modérément amusant, mais rien d'enthousiasmant. Ça peut se laisser regarder, sans plus...
Doté d'un scénario écrit par Stephen King, "La nuit déchirée" est un film de vampires qui se distingue par une histoire assez originale et une mise en scène de qualité. En plus, il y a une bonne dose d'humour, des bonnes scènes gores et une interprétation plutôt bonne. Une très belle surprise que ce film d'horreur de Mick Garris et que je conseille donc aux fans du genre, d'autant que c'est une oeuvre assez méconnue.
A moins que l'adaptation de son roman ne l'ait gâché, il semble que Stephen King ne se soit pas trop fatigué quand il l'a écrit. On chercherait vainement une idée originale dans le scénario. Il y a bien l'histoire des chats qui effraient les vampires, mais elle est assez mal utilisée. Le film débute relativement bien, avec un peu d'humour et de mystère, mais il passe assez vite au gore grotesque, avec des effets spéciaux minables. Très décevant.
Sympathique variation sur le thème des hommes félins (déjà vu avec Tourneur dans "La feline").Si le film ne possède pas une grande envergure il se laisse regarder sans ennui avec la satisfaction de voir une armée de matous voler la vedette aux principaux acteurs.Un scénario de Stephen King une pointe d'érotisme (deviant) de l'humour et pas mal de gore et tout cela nous donne un cocktail qui s'il n'est pas inoubliable ce laisse voir.
Définition du film : gros raté détestable. Une demi-étoile pour le dressage des chats sur le tournage, et pour m'avoir appris que l'ennui pouvait être anxiocide.
Une série B d'épouvante assez originale dans son déroulement, Stephen King oblige, mais très cheap dans sa réalisation. C'est vite fait, les sfx sont cracra et la moitié du casting joue mal ou surjoue. Cependant on peut se laisser happer par cette histoire étrange si on pardonne les à-peu-près. A noter un caméo de Stephen King himself en gardien de cimetière
Ma cote : ZERO !!! Que vous êtes gentils avec ce 2.5 de moyenne !! Voilà un nanar !! C'est CA un vrai nanar, un pur souche : mauvais acteurs, effets spéciaux ringards à souhait, scénar sans aucune inventivité ni intelligence, le mauvais goût à son paroxysme. Avec rabid grannies, c'est le PIRE FILM DE L'HISTOIRE DU CINEMA !!! Greg, t'as vraiment pas assuré sur ce coup-là, honte à toi !!
Les adaptations à l’écran des romans de Stephen King n'ont jamais été bon , à part quelques rare "Ca" ou autre "Christine" La nuit déchirée est encore d'une réalisation d'amateur , de série Z,avec des acteurs plus que moyen et des effets spéciaux tout simplement ridicules même pour l'époque. L'histoire en elle même est de King mais il faut reconnaitre qu'elle n'est pas terrible, ne séduit pas et tire franchement vers le fantastique bon marché. Je me suis laissé séduire par l'affiche du film qui promettait mais il faut reconnaitre que la seule chose qui sauve ce film est sa bande son, bien adaptée et de qualité, il faut reconnaitre que si on avait eu droit à des synthé des années 80, (pourtant plus en adéquation avec ce navet), là on aurait touché le fond.