Avis : Robocop 3 - Page 7

Malgré une réputation calamiteuse, on a envie de s'éssayer à la suite d'un mythe qu'on a adoré pendant au moins deux films. L'impact se fait de plein fouet. Ouch, que c'est vilain ! Je suis d'accord pour accepter certaines grosseurs parce que c'est une série B (rappelons nous du gosse délinquant du précédent opus), mais là, une gamine qui pirate un ED 209, y a des limites. Murphy devient une girouette qui choisit le camp de la démagogie en tirant sur les flics (il aurait été tellement plus intéressant de briser son image en en faisant un ennemi à abattre...), toute trace de réflexion sociétaire ou de satyre politique a disparu, ne laissant la place qu'à un script bateau et des effets pyrotechnique bon pour amuser les enfants. Mais alors, pourquoi le film ne se revendique pas comme tel ? Il utilise toujours le langage grossier qu'on affectionne dans les séries B testostéronées. Véritable produit fade et sans personnalité, c'est presque une pub pour jouet qu'on nous étale pendant une heure quarante, en bavant complaisamment sur un robocop totalement mécanique et déshumanisé (il l'était déjà auparavant, mais l'univers qui l'entourait restait passionnant). On a beau voir des éléments qui font la continuité, Robocop 3 est bien en deçà de ses prédécesseurs...

on prend les meme et on recommence pour cette suite pas originale du tout. on sent que nancy allen en a ras le bol, elle se fait passé par ses collègues
pour une cruche dont le chien de compagnie est robocop. ici, il passe du coté des rebelles avec pour adversaire un petit chinois robot qui lui met la fessé de sa vie. la saga est morte avec son héros.

Malgré toutes les critiques négatives que ce film a obtenu par les fans de Robocop, je ne le trouve pas si mauvais que ça. Maintenant, je ne dis pas que c'est un film incroyable mais il est certainement digne de faire partie de la saga Robocop. Même si l'action est sans effusion de sang, il y a encore un bon nombre d'explosions et de fusillades. Bien sûr, il y a quelques parties ringardes mais le scénario tient encore la route. Toutefois, certains effets spéciaux sont vraiment foireux et moches comme la scène où Robocop met son jetpack et vole au-dessus d'un gang de punk avec des fusils, ainsi que les robots ninjas qui sont risibles et sans charismes.... Bref, dans l'ensemble, c'est un film divertissant qui, contrairement au deux premiers volets, reste accessible pour les enfants tant la violence ressemble parfois à celle d'un dessin animé. Pas indispensable mais on a vu pire au cinéma depuis.

RoboCop 3, l'épisode de trop ? Et bien pas du tout, cet opus étant peut-être beaucoup plus proche de la série éponyme, dans un esprit plus soft, moins gore et surtout plus familial (enfant, personnages excentriques, gadgets...) mais est tout de même sympathique. L'inconnu Fred Dekker (The Monster Squad) s'essaie à un style Verhoeven tout en créant un RoboCop plus attachant qu'il ne l'est déjà, plus humain, peut-être même un peu trop. Ceci dit, outre son scénario rocambolesque et ses nouveaux gadgets excentriques, RoboCop 3 reste un très bon divertissement. L'interprétation s'avère convaincante, de Rip Torn à la magnifique Jill Hennessy en passant par la trop rare CCH Pounder ou encore l'inégalable Mako. De plus, le long-métrage collectionne des moment mémorables comme la mort de Lewis, le début fracassant dans les rues de Detroit et le combat mano a mano entre RoboCop et un nouveau Némésis plus perfectionné que jamais : un androïde japonais indestructible. Scènes d'action bien menées, caméos furtifs (Shane Black notamment) et petits rebondissements complètent donc les qualités de ce troisième et dernier opus, certainement moins violent que ses prédécesseurs mais néanmoins agréable.

Il aura fallu attendre pas moins de quatre ans pour que le troisième film RoboCop débarque. L'OCP fait remplacer Détroit par Delta City, faisant ainsi évincer les habitants pour les replacer dans des endroits douteux malgré leurs promesses.Un petit groupe de rebelles se réfugie dans les ruines et l'OCP tente de forcer l'accès avec avec sa petite armée et voulant effacer Murphy de la mémoire de RoboCop afin qu'il leur obéisse au doigt et à l’œil. Le scénario reste assez imprécis sur cette tournure de l'OCP et on ne sait même pas pourquoi le vieil homme n'est plus à sa tête. RoboCop a d'ailleurs une voix résonnante qui le rend encore plus robot et certains clichés gâchent certaines scènes spoiler: comme celle de la mort de sa partenaire ou la petite fille qui a tant de facilité à contrôler les machines en y branchant simplement son appareil.
A noter la présence de cyborgs ayant l'apparence du même type asiatique qui débarque à l'OCP sans trop qu'on en sache la raison : la tronche qu'ils tirent dès qu'on leur décroche la mâchoire restera mémorable et sans rappeler celle du Joker ! Leurs combats contre RoboCop ne sont pas trop mal mais montrent que le film ne sait pas trop où il va et qu'il manque d'inspiration. A noter également la présence du thème de la saga à plusieurs reprises et d'un final un peu trop repompé sur celui du premier film. Encore moins bon que le 2, mais pas si mauvais au final !

Comme faire pire que Robocop 2, voilà la réponse : Robocop 3. L'histoire est à peine supportable comme le jeu d'acteur et les effets spéciaux. Le film est à classer dans les nanar mais dans les plus mauvais même pas kitch ou drôle.

Un très bon 3e volet de Fred Dekker d'une saga culte mais pas aussi bon que les deux premiers ou bien que le 1.Peter Weller,qui n'est pu sous l'armure du policier cyborg nous manque un peu mais l'histoire est toujours aussi bien,les effets-spéciaux sont toujours bons,les fusillades sont toujours aussi cools et la mise en scène est pas mal.Je préfère quand meme le 1,le 2 puis enfin le 3.

**en train de courir * * bruit de pas effréné* ( Fessa Jack ! Megazone Invasion ! Calmos la picouse ! Barjoville est à nous ! Tire-lui dans la tète bouche a excréments ! Les cyborgs dégustent les balles ! Ce soir il fait un régime ! ) Cette scène est pour moi la plus interagissante du film, mais cependant d´autre dialogues sont aussi joussif du genre : "ça va tanguer ! Mouille pas Berta ! " et aussi sans oublier : " la folie des glandeurs non ! c´est la folie des grandeurs pauvres patate"

Enfin bref les dialogues sont succulent et raffiné mais pour moi je n’oublierai jamais l´extrait où par dessus une rambarde, la voiture de police saute pour atterrir a coté des ses collègues. Et la, Murphy sort de son véhiculé accompagné d´un bruit qui est du plus assourdissant " Raaaawwnnn" J´adore.

Grand Film ! Excellent troisième épisode, dont l’anticipation est toujours aussi brillante. Certains dialogues sont des joyaux. Notre monde ressemble de plus en plus à celui anticipé dans la saga Robocop, entre 1987 et 1993.

Robocop 3 est injustement sous-noté. En effet, malgré des effets spéciaux peu réussis spoiler: quand Robocop est en jetpack
et le scénario un peu décousue, les seconds rôles sont vraiment excellents, la petit hackeuse n'est pas énervante et attachante et Bertha très convaincante. Contrairement à son prédécesseur, Fred Dekker a compris le rôle et la démarche à travers les pubs et les journaux télévisés utilisées lors du 1er opus. Certains pourraient croire que le robot ninja est ridicule mais j'ai trouvé que c'était plus l'arrivée sur le marché américain des produits japonais. Robocop 3 traite aussi de l'humanité, à travers Robocop et le méchant, qui sont totalement opposés (le méchant a un corps d'homme mais une âme de robot et pour le héros c'est l'inverse) La musique aussi, en plus d'être bien composée est bien utilisée! Alors que ce Robocop 3 s'est fait descendre et casé en tant que pire film de la trilogie, je mettrais plutôt à sa place le 2, qui n'avait pas compris la démarche de Verhoeven et qui comportait des séquences et des scènes ridicules...

Alors bien sûr ce troisième opus est bien en dessous des deux premiers, il manque singulièrement de violence, de cynisme et de noirceur mais cela reste tout de même un bon film d’action. Le thème des « ninjas robots » est plutôt mal exploité, c’est dommage. Un bon Robocop, sans plus.

De loin le plus mauvais des 3, effets spéciaux approximatifs, le manque de moyens s'en fait ressortir, ça perd beaucoup en spectaculaire, on assiste à du ridicule du début à la fin. Un épisode dont on s'en serait bien passé. Tous les ingrédients des précédents Robocop n'y sont pas. Bref à vite oublier.

Dans la catégorie des films d'action qui deviennent involontairement des comédies (la spécialité de notre ami Chuck Norris), je voudrais Robocop 3. Ah, ben je me suis bien marré ! Heureusement que j'en attendais rien de particulier (contrairement MIIB), parce que ce film a du créer un hausse du taux de suicide chez les fans de Robocop. Un vrai chef d'oeuvre en matière de tout ce qu'il ne faut pas faire au cinéma. Déjà, le scénario est extraordinaire. Des résistants qui vivent dans les quartiers pauvres et les égouts(on sait pas pourquoi ils vivent là et qu'est-ce qu'ils revendiquent) sont menacés par une milice de la police, puis de l'armée menée par un général fou aux ordres de l'OCP qui est elle-même sous les ordres des investisseurs japonais. En fait, je crois que les investisseurs veulent faire raser le quartier sans l'accord des habitants, un truc de fou je vous dis. Après Robocop est ému par une petite fille qui lui rappelle son fils et décident d'aider les résistants. Mais les investisseurs japonais ont plus d'un tour dans leur sac et envoie un robot ninja japonais qui se bat avec un sabre et qui est dix fois plus rapide que Robocop pour arrêter ce dernier. Le mec qui a écrit ça s'appelle Frank Miller, j'ose espérer que c'est pas le même que celui de Sin City car sinon il s'est gravement fourvoyé. La réalisation est un ratage total et on voit les trucages à des kilomètres (lorsque Robocop vole avec ses réacteurs, un grand moment de comédie). Les acteurs sont mauvais et surjouent.
Oh, et le scénario a en plus eu la bonne idée de faire mourir Lewis dès le début. Quant à la violence, elle a disparue. Ici, c'est Robocop au pays des bisounours. Les scènes hilarantes ne manquent pas comme lorsque l'informaticienne reprogramme les robots ninjas à ditance rien qu'en pointant son ordi portable vers eux. Pour moi, on tient là le nanard ultime. C'est à dire un film pourri mais que l'on prend plaisir à voir tant tout, absolument tout est raté.Robocop 3,le nanard ultime.

Un troisième opus beaucoup moins bon que les deux premiers. Le scénario, le script, le jeu et la réalisation laissent franchement à désirer.
Le progrès technique notable est occulté par l'absurdité et les nombreuses incohérences de certaines scènes.

Prenant mais avec un -10 c’est bien moins drôle et j’l’ais senti dès que j’ai vu la signalétique. Les fusillades sont moins sanglantes mais toujours aussi prenantes. Jill est-elle, le grand atout charme du film, offrant une sorte de fraîcheur au casting bien que la forte présence d’enfants soit très rajeunissante. spoiler: Ce volet montre aussi comment le système informatique du personnage peut radicalement changer, en effet lors d’une mission robocop se fait piéger et démembrer. A sa remise à niveau, un nouveau language et comportement lui est programmé, ce qui se voit de suite et ne plait pas du tout à sa coéquipière.
Certaines scènes le montre parfaitement, spoiler: celle où il discute morale écologiste et citoyenneté à des enfants de quartiers. Egalement, première scène de combat aérien mêlée à la scène finale.
Là aussi on rigole face au visuel, mais encore une fois, c’était l’époque.