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Nicolas L.
66 abonnés
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4,0
Publiée le 10 février 2018
Très bon western. Et la musique de Elmer Bernstein est juste mythique. Le casting est historique (Brynner, McQueen, Bronson, Coburn...). C'est un remake des 7 samouraïs de Kurosawa mais j'ai nettement préféré celui là.
En s’inspirant du film d’Akira Kurosawa (« Les sept Samouraïs »), sorti quelques années auparavant, le réalisateur américain John Sturges transpose le récit dans l’univers des cow-boys. Des villageois harcelés par des bandits mexicains engagent une bande de mercenaires pour se protéger. A l’effusion de violence, s’entremêle une réflexion sur les motivations des différents personnages, laissant entrevoir une part d’humanité chez certains d’entre eux. L’imposant casting (Yul Brynner, Steve McQueen, Charles Bronson, Eli Wallach, etc.) garantit une production musclée et parfaitement rythmée. Bref, ce long-métrage datant de 1960 représente l’un des derniers grands classiques du genre avant l’avènement du western spaghetti.
Les sept mercenaires est un bon western de John Sturges. La mise en scène est irréprochable, le scénario est travaillé et tout est réuni pour que se soit un bon film du genre. Les acteurs comme Yul Brynner, Eli Wallach ou encore Horst Buchholz sont convainquant dans leurs rôles et pour finir le film est divertissant. Bref ça vaut un 13 / 20.
Déçu par ce remake US des "sept samouraïs" qui en premier lieu débute de la même manière, semble épuré et direct, et nous plonge dans le FarWest des cowboys. En second lieu, on assiste à une fusion douteuse de deux personnages clefs entre l'apprenti et le fou pour donner naissance à un gamin immature, on rajoute un scénario improbable où spoiler: les méchants rendent les armes aux gentils qui peuvent tranquillement se venger ...pour accoucher de plusieurs spoiler: morts stupides parmi les mercenaires... Comme je l'ai déjà dit, déçu ! L'original lui est en tout point supérieur.
Reprise (assez fidèle) des "7 samouraïs", "Les Sept mercenaires" vaut avant tout pour son casting prestigieux : Eli Wallach (génial), Steve McQueen, Charles Bronson et James Coburn entre autres. Une réunion exceptionnelle pour une oeuvre plaisante mais assez anecdotique. Un des premiers remake de l'histoire du cinéma ?
Un bon vieux western comme on les aime. Il y a tous les ingrédients nécessaires pour passer un bon moment. La démarche relachée et le visage impassible de Yul Brynner portent à merveille ce film soutenu par une excellente bande son. Le seul hic pour moi est le personnage d'Eli Wallach très peu approfondis.
Chris, Vin, Chico, O'Reilly, Lee, Harry Luck et Britt contre Calvera. 7 hommes, 7 mercenaires à la recherche d'une vie simple... Un casting de rêve, une musique, de véritables personnages, une intrigue universelle... Sans doute le western le plus divertissant. Un classique, un chef d'oeuvre !
Fortement inspiré des Sept Samouraïs d’Akira Kurosawa, Les Sept Mercenaires est un western réalisé par John Sturges (La grande évasion, Joe Kidd) racontant l’histoire de paysans mexicains malmenés par une bande de pilleurs, allant chercher de l’aide aux États-Unis auprès d’une fine gâchette avec laquelle ils vont recruter six autres mercenaires ayant chacun leur propre sens de l’honneur. Ils sont menés par Yul Brynner (Les dix commandements, Le retour des Sept), accompagné de Steve McQueen (Au nom de la loi, La grande évasion, Papillon) qui signe ici son premier film d’importance. On trouve également le jeune Horst Buchholz (La vie est belle), Charles Bronson (La grande évasion, Il était une fois dans l’Ouest), Robert Vaughn (Superman III, Renegade), James Coburn (Il était une fois la Révolution, Pat Garrett et Billy le Kid) et Brad Dexter. Les fauteurs de trouble sont dirigés par un certain Calvera, interprété par Eli Wallach, surtout connu pour ses rôles dans La conquête de l’ouest, mais surtout Le bon, la brute et le truand, et accessoirement Mr. Freeze dans la série Batman.
Rythmé avec peu de scènes d’action comme de nombreux films des années 1960, le film s’en sort grâce à des acteurs charismatiques, une superbe musique d’introduction, des scènes marquantes comme celle où James Coburn lance son couteau et des réflexions intéressantes, comme la bravoure qui selon Charles Bronson revient davantage aux paysans qui travaillent physiquement tous les jours sans savoir si ça en vaut la peine, plutôt qu’aux mercenaires qui ne savent que se servir de leurs armes, sans famille à nourrir. Le film comporte cependant pas mal de longueurs, la faute à un rythme vieillissant et à trop peu d’action dans l’ensemble. Calvera se fait d’ailleurs avoir un peu trop facilement, alors qu’il les tenait à sa merci juste avant. Un bon classique qui connaîtra trois suites, et un remake très réussi de nombreuses années après.
Une superbe adaptation des "7 samouraïs" dans le contexte du Mexique au temps des pistoleros. Les séquences sont amenées avec beaucoup d'intelligence et si les dialogues ou bien l'action semblent s'étirer en longueur pour les speedés aux CGI, ils apportent à l'histoire et aux personnages une solidité et une consistance étonnantes. Quand on regarde de près la distribution on en reste sur les fesses, une telle brochette de vedettes ne pouvaient que réussir dans un tel film dirigé par un John Sturges au plus haut de sa forme. Un classique parmi les grands westerns du genre..
Remake du légendaire film de Kurosawa, "Les Sept Samouraïs", "Les Sept mercenaires" nous narre le combat que s'apprête à livrer une bande de tueurs sur le chemin de la rédemption et un groupe de pillards mexicains qui ne cesse de terroriser un village de fermiers. Reprenant à peu de choses près la trame de l'oeuvre du maître japonais, le film de John Sturges tente d'apporter une nouvelle vision du western. A travers son casting composé de gueules légendaires du genre (on retiendra surtout le quatuor Brynner/McQueen/Bronson/Coburn), Sturges se contente de nous faire, non pas un pur divertissement avec des gunfights à profusion, mais plutôt une apologie de la vie bien rangée. Le traitement des méchants est survolé (heureusement qu'Eli Wallach est là pour apporter tout son charisme...) et les mercenaires semblent mûs par la seule envie de se ranger. Finalement, l'Ouest de Sturges se résume à quelques paysans cultivant leur terre avec une femme aimante et de beaux enfants. On se retrouve alors devant une oeuvre trop sage qui transpire la naïveté (7 tueurs se retrouvent et se lamentent tous au même moment de la vie qu'ils ont mené jusq'ici au bout d'1h30 de film, peu crédible). Ce manque d'audace et ce rythme molasson ne font pourtant pas oublier le casting alléchant et la musique culte. C'est d'ailleurs ça "Les Sept mercenaires", une bande de belles gueules chevauchant avec nonchalance vers un destin obscur. John Sturges a tenté de réaliser le film qui signerait la fin d'un genre. Manque de bol, Sergio Leone est passé par là quelques années plus tard...
Un chef d'oeuvre du septième art devenu culte avec le temps. On a toujours un malin plaisir à revoir ces aventures dopées de répliques cultes telles "le pire, c'est que je voulais abattre le cheval". Casting impérial (Brynner, McQueen, Wallach, Bronson, Bucholz...), musique incandescente (merci Monsieur Bernstein), un grand John Sturges qui ne va pas s'oublier de sitôt. Surtout après sa deuxième rencontre avec McQueen qui marqua son époque (La grande évasion). "Les 7 mercenaires" ou comment passer ou re-repasser des moments interminables en présence d'acteurs magiques. A vos armes !
Un vieux western. Il avait du faire son effet à l'époque mais force est de reconnaître qu'il est quand même sacrément défraîchi. Après la première attaque, cela finit par tourner en rond et on commence à s'ennuyer. L'action est bien mince. Le scénario, certes pas original, n'est pas à pointer du doigt. Les acteurs sont charismatiques (Yul Brynner et Steve McQueen en tête) et les décors fabuleux. Un western inégal !
Un western inégal ! Durant 1h30 ce film m’à profondément ennuyé : Dialogue fade, peu d’action, peu d’originalité, lenteur démentielle de l’histoire. Par contre, le dernier quart (à partir de la « trahison » des paysans) est très intéressante surtout pour le choix qui se pose à chaque mercenaire sur le pourquoi y retourner. C’est vraiment profond et psychologiquement bien vu ! Malheureusement les westerns n’étant pas mon genre de prédilection et les 3/4 du film étant soporifique je ne pense pas que je prendrais plaisir à le voir une seconde fois ... Vraiment dommage de ne pas avoir « inversé » les durées du récit consacrées au « recrutement » (les 3/4 du début) avec le 1/4 final tellement plus intéressant est un peu trop vite expédié !
Si ce remake américain n'a pas la portée du film de Kurosawa "les sept samourais" il 'avère tout de même divertissant avec ses paysages somptueux et son casting de rêve ( Yul Brynner, Steve Mcqueen, Eli Wallach, Charles Bronson, James Coburn ) dont beaucoup se retrouveront dans "La grande évasion".