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Un visiteur
1,0
Publiée le 3 juillet 2009
Comme le dit Olivier Père dans les inrock, Beowulf est magique en cela qu'il est le premier et dernier film (je cite) "techno-féodal", je dirais même Techno-médiéval. On y reprochera un scénario très mal équilibré, démythifiant complètement la légende de Beowulf, alternant scènes d'actions mêlant duel et kung-fu, et dialogues interminables à grand coup de vérité générale dans la face. La mise en scène est ponctué d'idée brillante vite oublié lors de champ contre-champ poncifs. La musique est un chef d'oeuvre (pour de vrai) citant directement Mortal Kombat de Paul W.S. Anderson (un réalisateur pas si mauvais). Les acteurs ne sont, malheureusement pas une seule seconde convaincant, même Rhona Mitra et sa plastique juste parfaite. Le film n'est peut-être pas aussi mauvais qu'il n'est, en cela qu'il est unique. C'est un bon Culte à ne pas oublier et à ranger sagement dans sa DVDthèque pour ne le sortir que lorsque nos enfants demanderont ce qu'était le cinéma...?!
Un des pires films de l’histoire du cinéma. Dialogues creux, jeux d’acteurs inoubliables de médiocrité, bande originale juste hallucinante, le tout ficelé avec un sérieux et une intensité irrésistibles. Je lui mets 2 parce que sa nullité est telle qu’elle provoque de belles tranches de rigolade. A voir à plusieurs avec beaucoup d’alcool dans le sang (et profiter des seins de Rhona Mitra).
Filmé sans aucune personnalité et écrit sans conviction, Beowulf est l'une des 7 immondices du monde. Christophe Lambert est une nouvelle fois pathétique et se résume à un déversement de diarrhée verbale insoutenable. Horriblement laids, les décors sont d'un ridicule accomplis et semblent avoir été réalisés à la truelle. L'action est quant à elle piètrement mise en scène avec des plans et des effets d'une horreur visuelle inconcevable. Une piètre ébauche d'une aventure censée être palpitante.
Dans ce film absolument tout est une ode au mauvais gout, la musique infâme, les décors en carton, les costumes, la mise en scène, l'éclairage, les chorégraphies des combats, les SFX. Le film s'obstine à aller le plus loin possible dans le cheap et le vulgos. Évidemment je peux pardonner tous ces excès c'est même assez fun si on aime le mauvais gout, par contre ce que je ne pardonne pas c'est le rythme mollasson du film, on s'ennuie ferme, les scènes d'action se font rares, puis l'histoire aurait pu tenir sur un moyen métrage de 40 minutes, donc on a le droit à des scènes de remplissage super lourdes et des dialogues ineptes. Heureusement qu'il y a Rhona Mitra qui illumine le film de sa présence.
L'intrigue reprend à peu près la légende de Béowulf, mais les choix graphisques de ce film sont discutables (l'univers de dark fantazy avait il réellement besoin de ressembler à ça ?). Christophe Lambert joue...son rôle, les autres acteurs jouent moyennement bien. Le monstre est impressionnant, mais sa mère à mourrir de rire. Et la musique du film est inaudible. Enfin bon, on rigole bien.
Mais comment ai-je pu perdre mon temps à regarder cette abomination? Scénario débile, dialogues insipides, techno ringard, acteurs inexistants, tout est vraiment plus bas que terre dans ce Beowulf, et heureusement que ses cotés nanars permettent de combattre l'ennui, parce que sinon ce serait très difficile d'aller au bout. Pas nul, tellement c'est ridicule, mais bel et bien Très Mauvais.
Une des pires adaptations de conte de Fantasy de l'histoire du cinéma, mais ça n'en reste pas moins un vrai nanard, marrant à regarder. L'étoile est pour le rire final de Lambert et les attributs de Rhona Mitra !
En mêlant fantastique et univers excessivement techno, en prenant un Christophe Lambert pas au mieux de sa forme, en construisant des décors qui ne cachent pas le carton, en mettant en oeuvre des combats "risibles" et en s'appuyant sur un budget trop faible, etc ... , on aboutit forcément à un film pas très engageant.
Pour une bonne majorité de critiques professionnels, ce film est un "navet". Ils n'ont pas tout à fait tord, mais le terme est excessif.
Un bon petit naveton qui fait plaisir à voir! Plein d'anachronisme, de techno et de gadgets invraisemblable, le monstre est tellement mal fait qu'ils ont été en plus obligé de troubler l'image, le réalisateur prend plus le temps de lorgner sur le superbe décoletté de Rhona Mitra que de faire un film. Bref du grand art!
Je M attendais à pire, c est pas terrible mais bon ça se regarde. Les scènes de combats avec la bête son pas très bien faite, les dialogues pas top mais le pire pour moi à été l explosion du château pour le final. bref beowulf ne restera pas marqué dans mon esprit. 1.5/5
Le NANAR du siècle, du haut niveau dans la médiocrité, le film le plus abouti dans la catégorie Navet de toute la filmographie d'un maitre du genre : Christophe Lambert. Pour se mettre l'eau à la bouche, il a vendu son film ainsi : "C'est Mad Max qui rencontre Highlander en l'an 3000", "un film techno-féodal-futuriste" qui intègre "un monde de rythmes techno, de vitesse"...ça fait rêver non ? Et bien le résultat est à la hauteur de nos attentes, tout est parfaitement mauvais, tout bonnement catastrophique, chaque scène nous pousse un peu plus à nous demander quand la nullité va s'arrêter ou quelle surprise encore plus pathétique nous réserve le réalisateur. Dans le désordre, on retiendra les cheveux de Christophe Lambert en blonde platine peroxydée, le monstre violet en image de synthèse rajoutée sur l'acteur déguisé qui le joue, les combats chorégraphiés de Lambert qui multiplie saltos et pirouettes sans raison (le montage est d'ailleurs juste consternant), la puissance du scénario (un guerrier peroxydé et fan de kung fu va se battre contre un monstre violet et tout moche qui hante un chateau bouhouhou), la bande son techno agaçante au bout de 5 minutes, l'explosion du chateau en carton (jamais effet spécial n'a été aussi réussi depuis Avatar sic) ou bien encore le jeu de tous les acteurs...actor studio bonjour ! Bref une réussite totale pour tout fan de nanars qui se respecte...par contre une honte pour le cinéma ! A voir absolument pour en rire... Auteur du livre "Guide de Survie du Cinéphile Amateur" (sortie janvier 2019)
Ce film n'est pas un mauvais film, ce serait plutôt un excellent nanar.
A aucun moment on ne s'ennuit, partagé entre l'envie d'éclater de rire devant certains dialogues, effets spéciaux et mises en scène. Et parfois on pleure, pour les mêmes raisons.
Si il y a quelque part un classement des plus grand nanars je le place dans mon top 3, devant Batman & robin mais derrière Turkish Star Wars.
Un grand moment de fou rire, mais évitez de le voir à jeun.
"Beowulf" représente la série Z dans toute sa splendeur : un Christophe Lambert inexpressif, une méchante qui se promène à moitié nue et qui semble sortie tout droit de "Playboy". La mise en scène est chaotique, les décors en carton-pâte et les dialogues à la limite de la débilité. Quant aux effets spéciaux ... Pourtant, le tout aboutit à un résultat involontairement comique. "Beowulf" est un film qui se regarde pour passer une bonne soirée à rigoler entre amis. En prime, la présence de Rhona Mitra (l'ex Lara Croft, qui s'est depuis rattrapée au cinéma avec "Doomsday" et "Underworld 3") reste appréciable. Un assez mauvais film dans la forme et dans le fond, mais une excellente série Z pour égayer une soirée.
Graham Baker immortalise avec une rare finesse l'essence même des sagas islandaises, tel que Régis Boyer a pu les expliquer, dans ce long métrage d'exception. D'un charisme inné, sophistiqué tout en restant simple, Christophe Lambert porte au sommet une légende à travers un univers techno-médiéval futuriste tendance fallout sans précédent. Rythme construit et efficace, psychologie des personnages fouillées et complexes, c'est une sorte d'hymne à la gloire du septième art tout en rendand hommage à Murnau et Lang par la prestation de l'actrice incarnant Baal, d'un raffinement sans bornes. Rhona Mitra dévoile, bien avant les chefs d'œuvres que sont underworld, ses multiples facettes issues, sans aucun doute, d'une longue pratique de l'actor studio.Oui, car, pour ceux qui n'ont rien compris à ce film, beowulf, c'est une performance avant tout. A mi chemin entre le bleu de Klein (regardez l'affiche, vraiment) et Dar le conquérant, c'est un patchwork de styles, toujours se renouvelant, jamais s'essoufflant! Truffaut en rêvait, Graham l'a fait.