Szamanka

Zulawski l'avait déjà tellement montré, tenu comme une hystérique tient son objet de fureure, qu'il apparaissait sinon vain, presque rachitique dans cette fin de cinéma dans lequel le polonais violent a jeté le cinéma polonais, de refaire un ultime film sur le trajet sinueux de l'âme dans les plis de la chaire. Et pourtant y en a pas des masses des cinéastes qui l'ont fait avec une telle pénètration. Si Zulawski n'a rien à dire de ...
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Ouais bof. J'avais jamais vu de Zulavski, mais ce machin correspond vraiment à l'idée que je me faisais de son art : douloureux, torturé, sexuellement et mentalement. Les acteurs masculins sont insipides, très Derrickéen. L'actrice est typique de ce genre de cinéma: folledingue paroxystique. C'est l'art contemporain qui fait son cinéma. Ca rappelle beaucoup certain ballets étranges et scabreux diffusés sur arte. Assez distrayant tout de ...
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