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    Chant des mers du sud
    Bande-annonce Chant des mers du sud
    17 février 2010 en salle | 1h 24min | Drame
    De Marat Sarulu
    Avec Vladimir Yavorsky, Ajzhan Ajtenova, Dzaidarbek Kunguzhinov
    Titre original Song from the Southern Seas
    Presse
    2,8 6 critiques
    Spectateurs
    2,7 12 notes, 4 critiques
    noter :
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    Synopsis

    Ivan est russe, son voisin Assan est kazakh. Ils vivent en voisins dans un petit village kazakh. Quand la femme d'Ivan donne naissance à un enfant brun et étrangement bridé, Ivan suspecte sa femme de l'avoir trompé avec Assan.

    Le conflit s'installe entre les deux familles pour quelques années. Ivan se rend chez son grand-père de l'autre côté de la frontière pour découvrir l'histoire de sa famille. Assan disparaît lui aussi aux confins de la Mongolie ; quand il atteint les mers du sud, il trouve enfin la paix. Une chose est certaine, après des générations partagées entre l'amour et la haine, tous sont liés : les russes et les kazakhs, les chrétiens et les musulmans, les Européens et les Asiatiques.

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    Chant des mers du sud
    neuf à partir de 19,00 €
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    Bande-annonce

    Chant des mers du sud Bande-annonce VO 1:20
    Chant des mers du sud Bande-annonce VO
    5 265 vues

    Acteurs et actrices

    Vladimir Yavorsky
    Rôle : Ivan
    Ajzhan Ajtenova
    Rôle : Aisha
    Dzaidarbek Kunguzhinov
    Rôle : Assan
    Irina Agejkina
    Rôle : Maria

    Critique Presse

    • Brazil
    • Le Monde
    • Première
    • Télérama
    • Les Inrockuptibles
    • Studio Ciné Live

    Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.

    Critiques Spectateurs

    Christoblog
    Christoblog

    741 abonnés 1 613 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 21 juillet 2010
    J'adore aller voir des films malais ou kirghizes, parce que généralement, personne ne conteste mes opinions. Alors voilà : une femme russe, perdue à la frontière de l'empire, quelque part en Asie Centrale, accouche d'un enfant noiraud. Son mari, parfaitement blond, la suspecte d'avoir eu une relation avec le voisin, Assan. 15 ans après, le fils a grandi et il préfère aller avec les éleveurs de chevaux nomades qu'à l'école, ...
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    traversay1
    traversay1

    3 086 abonnés 4 622 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 1 mars 2010
    Ah que l'Asie centrale est belle ! Les steppes infinies sous un ciel qui ne l'est pas moins, le vert émeraude des lacs, les pics enneigés des montagnes ... La somptuosité de sa photo est la première chose que l'on remarque dans Chant des mers du sud. Autre qualité : sa truculence, cette vitalité qui s'exprime à travers des invectives fleuries, des bagarres homériques et de bonnes cuites pour enterrer la hâche de guerre. L'intrigue du ...
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    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 20 février 2010
    La bande annonce en dit long sur ce film...
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 22 avril 2010
    Force et simplicité du scénario, excellents comédiens. Un antidote au cynisme ambiant...

    Photos

    Secrets de tournage

    Un "remède contre la peur"

    Le réalisateur, Marat Sarulu, a voulu faire de son film un hymne à la tolérance : "Cette histoire s'inspire des problèmes liés aux sentiments d'appartenance culturelle ou ethnique. Chaque tentative de classification est une dangereuse illusion qui génère la peur, l'hostilité et l'oppression. Durant la dremière vague d'émigration de kazakhs et de russes d'Asie Centrale, beaucoup ont quitté leur région, oubliant leur culture basée sur les liens, l' Lire plus

    Récompenses

    Chant des mers du sud a remporté le Prix du Public au Festival des 3 Continents à Nantes en 2008 ainsi qu'au Festival Asiatica de Rome, la même année.

    Tournée des Festivals

    Le film a également été sélectionné aux Festivals de Pusan et Cottbus en 2008. L'année suivante, il a été présenté à Rotterdam, Göteborg, Vesoul, Mons, Deauville, Hong Kong, Granada, Innsbruck et Sarajevo.

    Infos techniques

    Nationalités France, Russie, Allemagne, kazakhstan
    Distributeur Arizona Distribution
    Récompense 1 nomination
    Année de production 2008
    Date de sortie DVD -
    Date de sortie Blu-ray -
    Date de sortie VOD -
    Type de film Long métrage
    Secrets de tournage 3 anecdotes
    Box Office France 638 entrées
    Budget -
    Langues Kazakh, Russe
    Format production 35mm
    Couleur Couleur
    Format audio Dolby Digital
    Format de projection 1.85 : 1
    N° de Visa -

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    Commentaires

    • Christoblog
      Pas mal, intéressant, mais le film ne se termine pas aussi bien qu'il commence. La critique complète sur Christoblog : http://chris666.blogs.allocine...
    • Nelly M.
      Déjà primé en 2002 à Nantes au Festival des Trois Continents pour "Le Faisan d'Or" (un somptueux noir et blanc aux uppercuts tant verbaux que physiques), voici Marat Sarulu version 2008 : un cinéaste sorti de ses gonds ! Toujours autant de finesse à filmer en couleurs, par séquences entrecroisées très subtiles (jamais de longs plans fixes...), il sait comment captiver : familles qui se rentrent dedans (toutes les choses taboues sont carrément dites) et, sans trop tarder, cette fuite de l'égaré de service, hélas, que n'est-il né cheval !... Quelques informations sur des images animées de très bon goût aussi pour étayer le propos. Jusqu'à ce court morceau d'histoire qui provoque une rupture de rythme, un ton nettement plus grave. Ainsi, la difficulté de cohabitation est bien inscrite dans les gènes humains, avec mention spéciale de partages familiaux dans cette région tourmentée, aux populations écartelées par le régime en 1916... Mais retour à la verve entre les échauffourées (chants et danses, les acteurs ont dû s'aider de quelques boissons pour avoir autant de conviction à communiquer aux spectateurs !).Ce cinéaste reste fidèle à lui-même en plaçant d'un côté "le troupeau" et de l'autre, l'être à part, trait d'union pourtant... Ce film qui exprime l'indicible fait l'effet d'une drogue sans les inconvénients !
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