Bof. Un film qui a les clés pour être sympathique mais qui est finalement plutôt plat et ennuyeux. On ne se sent pas complices des personnages, l'intrigue (un bien grand mot) est difficile à saisir et le doublage est vraiment très nul. L'actrice principale est à tarter. La seule chose qui m'a fait regarder cette connerie jusqu'au bout c'est Unax Ugalde, qui livre une prestation plutôt convaincante, et, bonus pour les filles, le sublime et ...
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Vinz A
19 abonnés
118 critiques
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3,5
Publiée le 19 janvier 2015
Un très bon film avec un scénario plutôt travaillé dans lequel on suit les aventures du cuisinier espagnol s'installant à Zurich. On accroche immédiatement. A voir.
Un visiteur
1,5
Publiée le 11 octobre 2011
On voit d'emblée que l'objectif n'est pas de voir la réussite professionnelle d'un des personnages principaux, Daniel. Éclipse est faite sur sa formation, sur les étapes qu'il traverse pour en arriver où il arrive. L'histoire qui nait entre les deux personnages principaux ne surprend pas, la relation qui s'installe n'est pas improbable non plus. on a pas vraiment le temps de ressentir l'évolution de leur relation, au moment où l'on ...
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Une belle réalisation dans l'ensemble, qui se laisse apprécier pleinement... Le jeu est crédible, les acteurs séduisants, on regrette un peu qu'Hanna ne soit pas plus lucide dans le cours de l'histoire, mais cette dernière prend tout son sens à la fin du film.
Nelly M.
Ce film accrocheur projeté au 21ème festival espagnol de Nantes 2011 se laisse déguster avec ses amuse-bouches passés et repassés sous le nez des spectateurs... Drame, comédie, romance, "film pour gonzesses", les gros bras s'offusquent de l'ensemble à la bande-son d'emblée ultra douce. Les lieux, toujours jolis, déboulent comme sous une loupe géante en alternance avec les plans serrés sur les personnages. Sous le vernis, c'est une production européenne décrivant la tendance du moment, un trentenaire parti travailler loin de ses racines, là où ça paie. Le cuisinier ibérique démarre très fort malgré sa lutte avec la sommelière allemande affirmant qu'elle ne l'aime pas... Le calcul aurait-il embrumé sa cervelle à cette petite, à voir son numéro sur deux tableaux ? On se prend à regretter qu'il n'y ait qu'elle comme élément féminin dans le staff. Autant les garçons sont séduisants, droits, sains (excepté le boss, un exemplaire des nombreux tiroirs-caisses contemporains), autant la jeune femme, bien qu'elle ait une voix de déesse au téléphone, fait pitié par sa volonté d'aimer un imbécile.