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    Chillerama
    Chillerama
    16 octobre 2017 en VOD | 1h 55min | Comédie, Epouvante-horreur
    De Adam Green (VI), Joe Lynch, Adam Rifkin
    |
    Par Adam Rifkin, Tim Sullivan
    Avec Adam Rifkin, Sarah Mutch, Ray Wise
    Spectateurs
    3,1 34 notes, 8 critiques
    noter :
    0.5
    1
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    Envie de voir

    Synopsis

    Quatre histoires dans un même film : les rues new-yorkaise envahies par un spermatozoïde géant, un jeune adolescent transformé en "ours-garou", les expériences à la Frankenstein d'Hitler et un dangereux pop-corn qui transforme la population en... zombies.

    Acteurs et actrices

    Adam Rifkin
    Rôle : Miles Munson
    Sarah Mutch
    Rôle : Louise
    Ray Wise
    Rôle : Dr. Weems
    Lin Shaye
    Rôle : Baglady / Enfermera Maleva

    Critiques Spectateurs : ils ont aimé

    Meilleures critiques les plus utiles
    Dadou
    Dadou

    48 abonnés 1 360 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 7 février 2014
    Un film totalement absurde, loufoque dans le lignée de films de série B mais dont le mérite et de jamais se prendre au sérieux et rien que pour cela, c’est à voir !!!
    Jean-philippe N.
    Jean-philippe N.

    102 abonnés 925 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 14 février 2014
    Les fans de films style "grindhouse" de Rodriguez et tarentino ("Planet terror" (2007) "Death proof" (2007), "Une nuit en enfer" (1996) ou même "Helle ride" (2008) "Machete" (2010), bref, toutes les "bonnes" séries B assumées, et autres nostalgiques de films d'horreur du milieu du siècle dernier vont se régaler avec "Chillerama". Pour les autres, les plus nombreux, évitez: il n'est pas certain que vous arriviez à le supporter jusqu'au ...
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    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 26 janvier 2014
    Film à sketchs en forme de parodie mais aussi d'hommage au cinéma en général et au cinéma d'exploitation et ses sous-genres en particulier. Avec leur pitch souvent aux limites de la débilité et du vulgaire, les différents métrages contenus dans "Chillerama" ne font ni dans le bon goût, ni dans la dentelle. Seul l'un d'entre eux, en noir et blanc et en allemand, échappe à cette règle et ridiculise Hitler (d'une manière qui rappelle ...
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    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 9 juillet 2013
    Aux premières images, on se dit qu'on est tombé sans le savoir sur un film s'inscrivant dans une rétrospective des séries B américaines. Le cadrage, l'étalonnage, le rythme, l'intrigue, tout y semble bancale, et pourtant on se rend vite compte qu'il s'agit d'un hommage au genre, certes moins intelligent que ceux qu'a pu faire Tarantino dans sa voie mais néanmoins pleinement assumé. Or si on aime (aussi) voir des films "pour de rire", au ...
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    Photos

    Infos techniques

    Nationalité U.S.A.
    Distributeur -
    Année de production 2011
    Date de sortie DVD -
    Date de sortie Blu-ray -
    Date de sortie VOD 16/10/2017
    Type de film Long métrage
    Secrets de tournage -
    Budget -
    Langues Anglais, Allemand
    Format production -
    Couleur Couleur et N&B
    Format audio -
    Format de projection 1.78
    N° de Visa -

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    Commentaires

    • Jean-philippe N.
      -AAAhhh! "Razorback" Un grand moment de ciné australien, çui-là! j'ai du le voir à sa sortie (en VHS), j'en rêve encore!"Les collègues", mouais, dans la beaufitude, j'ai préféré "Les seigneurs" plus incisif et surtout plus récent. Certaines formes d'humour ( si si: çà s'appelle comme çà) voyageant mal dans le temps. Et puis Garcia, tout de même! - Le western de Kim Jee Won est un remake (vu le titre, hein...) à mon sens meilleur que l'original qui était déjà bien gratiné!- Non, c'est pas Google, c'est Wikipédia! Par contre, je me fais un point d'honneur (enfin, ce qu'il en reste) de n'évoquer que des films que j'ai "en stock", histoire d'être précis sur des détails en revisionnant des extraits, si besoin est.- Tu n'es pas le premier à tenter de me convertir aux séries, chacun y allant de son couplet sur telle ou telle, mais sans succès. Je n'arrive tout simplement pas à imaginer qu'en diluant, souvent à l'excès, un concept, on puisse arriver à un résultat équivalant à du concentré. Et puis, comme tu l'expliques si bien, les réels risques d'addictions, très peu pour moi. D'ailleurs c'est bien simple, je ne connais même pas la signification des mots alcool, drogue, jeu, club échang... mais je m'égare.Enfin, pour clore cette page et au risque de provoquer une seconde myocardie, voire une apparition tardive d'un SGT (syndrome Gilles de la Tourette), je dois avouer la préméditation, l'élimination de 200/250 films s'étant faite en deux temps. En premier, tous ceux en VO ou en VOSTFR, le second, quelques mois plus tard, avec ceux en VF. En d'autres temps, c'eut pu me valoir la guillotine ou encore de nos jours dans certains pays, la chaise, l'injection, la pendaison, voire le pal qui fut, comme le disait Henri III, "un supplice qui commence si bien et qui finit si mal". Un connaisseur, celui-là...
    • michmonde
      200 films asiatiques à la trappe ? Alors là; tu me déçois !J'ai même, je ne te le cache pas, en même temps que d'être au bord de la crise cardiaque, quelques insultes en tête à ton égard mais bon...allez va...je te pardonne car tu ne savais pas ce que tu faisais (sic).Je plaisante, bien sûr, je ne place pas non plus l'Asie comme fabriquant exclusif de tous les chef-d'œuvres mondiaux. Ayant cet engouement depuis peu, il était de mon devoir de passionné d'aller voir un peu les positions cinématographiques de cette partie du monde que l'on connait peu en Europe ayant été bercé presque exclusivement de productions américaines...et françaises.(à part les Bruce Lee et un peu de japon(i)aiseries comme les mangas, San ku kaï ou les chevaliers aux 108 étoiles) Et c'est en Corée-du-Sud, après avoir flashé sur "The Chaser", que j'ai trouvé le plus d'originalité, ces temps-ci.J'aime leur histoire, leurs pudeurs affectives, leurs audaces cinématographiques, leurs jeux d'acteur plutôt sobre dans l'ensemble (exceptées les comédies, (sauf le plein d'esprit "Castaway on the moon") et un film catastrophe "The Tower" que je n'ai pas pu voir jusqu'au bout tant j'étais excédé par leurs simagrées ou "The Host" aussi très limite) et j'adore entendre leur langue. Que des trucs bien personnels en somme.L'important reste les bons films, point. J'avais toujours eu d'immenses réticences à propos des séries jusqu'à "Heroes".j'avais trouvé le joli coffret de la saison 1 à 5 €, je me suis dis allez...on va voir ce que ça donne, ne mourrons pas sans tester au moins une fois, tant pis pour la religion.Et là, j'ai découvert la série concept, gros flash : 17 épisodes, tous ne valant que par l'autre, ce qui, en fait, donne un film de près de 9 heures ! L'addiction émane, en plus de l'attachement de plus en plus viscéral au fil du temps aux personnages, de ce que tout est toujours en suspens.Ne pas regarder une saison en entier équivaut à couper un super film en plein milieu... et à passer une mauvaise nuit. Je considère aujourd'hui "Heroes" comme une série plutôt "adolescente" (d'autant qu'elle se perd dans ses méandres à partir de la saison 3) mais aimer le cinéma dans son ensemble, c'est aussi, je pense, aimer les séries concept de qualité que j'ai placé, un temps, au dessus de tout pour leur complexité scénaristique."Breaking Bad" restant un modèle de chef d'oeuvre absolu du genre : pas la moindre baisse de qualité sur 5 saisons. Avec "Rome" (trop courte pour baisser d'intensité) pour sa reconstitution historique et ses immenses numéros d'acteurs, James Purefoy en tête."Game of Throne" s'annonce également énorme, je me suis ingurgité les 3 premières saisons en trois jours mais, mal m'en à pris, puisqu'elle en a 8 en prévision et que le pire dans ces cas-là, c'est l'attente.Comme pour "Walking Dead" dont j'attend frénétiquement chaque saisons. Seule série d'horreur de qualité... elle m'a saisi dès les premiers épisodes, ce qui est rarement le cas.Les sopranos, par contre, mis à part le personnage de James Gandolfini et la relation avec sa charmante psy, je n'ai pas accroché au reste et me suis arrêté à la fin de la première saison...mais ce fut la période ou je ressentais le besoin de revenir au film.Quand aux séries policières "The Shield" est une bombe et j'ai adoré "Braquo" d'Olivier Marchal.NCIS, connais pas mais je présume que les épisodes sont conclusifs et c'est pas trop mon truc. À part "Colombo" bien sûr.Voilà, je ne te pousse pas à la conso parce qu'en la matière, c'est vrai que l'éclectisme...saut en longueur, tout ça...c'est fatiguant... mais au cas où : http://www.regarder-film-gratu... Tout à fait d'accord, au passage, pour la télé que je ne regarde plus du tout non plus. Mon seul rapport à l'actualité est mon abonnement hebdomadaire à "Le Point", du reste pas vraiment impartial dans leurs articles, donc, c'est plus pour les rubriques, en somme... Quand à ta mémoire, ça pue la recherche Google à plein nez, hein. On me la fait pas à moi, o.k ...! ? Plaisanterie mise à part, je suis flatté du soin que tu apportes et du temps que tu passes à la rédaction de tes réponses. Voilà, je t'invite, si tu le veux bien, à nous retrouver sur le forum de "Monique".Un seul commentaire, le mien, et ça n'est pas près de changer vue la note spectateur, par ailleurs, complètement injustifiée. J'aimerais bien savoir, du reste, ce que tu en penses,.le sujet du film se prêtant à une réflexion sur la femme, toi qui cultive apparemment quelque rancœurs en ce domaine. Moi, j'ai adoré... Bon allez, je vais finir de mater le mouvementé "Le bon, la brute et le cinglé" là, on peut dire que ça pète bien... Pour l'amitié, n'ai crainte, je compte parmi mes meilleurs amis, un cas social, un chasseur (ce qui revient au même) dont les meilleurs films sont "Les Collègues" et "Razorback" et un dépressif, ce qui ne m'empêche pas d'avoir pour eux une grande estime.
    • Jean-philippe N.
      - Ne pouvant renier mon côté "gros beauf" que je cultive depuis maintenant bien trop longtemps, je ne pourrais pas ne pas voir le dernier des Inconnus. D'ailleurs, l'un de tes premiers mots de notre premier échange était: "éclectisme", ce qui m'a frappé et immédiatement fait repenser au fameux sketch parodique sur "Tournez manège" ("j'aime l'éclectisme, mais est ce que tu baise?"). comme tu le vois, on ne change pas une équipe qui gagne...- Je connais l'acteur J. Gandolfini de par sa filmographie dont je possède un bon nombre de films (de mémoire: True romance, USS Alabama, Get shorty, Le témoin du mal, 8 mm, Le dernier château, L'attaque du métro 123, In the loop, Welcome to the Riley, Cinema vérité, Cogan, Not fade away, Zero dark thirty, All about Albert, pour les citer dans l'ordre. Impressionnant, la mémoire, non?) Par contre, je ne connais pas la série "Les sopranos" malgré son côté culte et le talent/génie (?) de son scénariste David Chase, dont je ne connais que le dernier film ("Not fade away") que j'ai bien aimé à cause de l'ambiance "d'époque" (les 60') mais qui est assez décevant, il faut bien l'admettre. - Concernant les séries en général, c'est contre ma religion! dans les récentes (disons depuis une quinzaine d'années) je n'ai vu que NCIS (soit près de 230 épisodes!) ce qui m'a permis de constater sa déchéance année après année. D'une manière générale, je ne regarde plus la télé pour cause de propagandes insupportables, pub insupportables (deux à trois coupures dans un film, trop c'est trop!) niaiseries débilitantes sur la plupart des chaines (à part Arte) insupportables, bref, média... insupportable!-N'étant pas fan de ciné asiatique (sauf cas particulier) j'ai préféré la version germano-franco-chinoise "John Rabe" sortie à peu près en même temps que "city of life & death" au risque de me faire trancher la tête par les puristes.J'ai eu l'opportunité d'acheter un DD d'occas' il y a env un an et demi d'une capacité d'un To, rempli de films (soit plus de 1100 films) mais à ma grande honte, le besoin de place finissant par se faire sentir, j'ai effacé presque toute la rubrique asiatique ( env 200 films) sans même les regarder, au profit de chefs d'œuvre du genre "American girls" (de un à cinq!) et autres "American pie", "Hangover", j'en passe et des meilleurs.Si tu me retire ton amitié, je comprendrais...
    • michmonde
      O.k, en fait, je n'avais tout à l'heure que les 2 premières phrases, d'où mon inquiétude : "tiens, aurait-il perdu sa verve?"Mais non toujours aussi combatif, le gars !J'avais écrit un truc sur les 3 frères en faveur de la presse puis je l'ai supprimé parce que les débats sont vraiment trop âpres. Ça tire à coups de boulettes géantes là- bas dedans, une vrai foire d'empoigne...je ne pense pas le regarder, du reste, leurs films ne m'ayant jamais arraché la moindre esquisse de sourire.Par contre, qu'est ce que je me poile sur "In the Loop", ça c'est de l'humour qui me sied.Avec Gandolfini (même si on le voit peu), qui tiens la série "Les Sopranos" quasiment sur ses seules épaules : très fort !Tiens, à ce propos, es-tu fan de séries? Si oui, lesquelles...et qu'en pense-tu, bien sûr. Ça m'intéresse car, passé un moment, j'étais tellement accroc que je ne regardais même plus de films. C'est peut-être trop addictif au bout du compte comme genre. Kim Jee-Woon, ouaip, c'est du lourd, quand même. "2 Soeurs" est vraiment très prenant malgré sa lenteur et "I Saw the Devil" assez marquant. Ce Choi Min-Sik, quel acteur !Et curieusement "Le Dernier Rempart" dénote pas mal : divertissement honorable mais très calibré grand public. Échec commercial, d'ailleurs : dur d'adhérer pour les fans.Je n'ai pas encore vu les autres mais "le bon..." est en prévision, sur mon disque dur au chaud. En drame, il y a l'implacable "In the city of life and death" à voir, sur le massacre de Nankin. "Breathless ou "Silenced" m'ont pas mal remué et "Helpless" est assez émouvant (p'tite larmichette, snif).J'espère que tu as vu aussi l'immanquable trilogie de la vengeance de Park Chan-Wook. Carrefour obligé pour les aficionados du ciné sud-coréen, qui ose vraiment des sujets délicats et des schémas narratifs déroutants.Ses deux derniers sont également au chaud... Voilà , j'ai essayé de synthétiser un max car, ces derniers temps, j'ai un peu l'impression de passer ma vie sur Allociné : très addictif aussi comme truc.J'ai même l'impression que certains y trouvent une raison de vivre ou... d'exister plutôt. Bref, merci pour les films, j'en ai encore pour 2-3 jours n'étant pas aussi "cinévore" que tu l'es. À +
    • Jean-philippe N.
      -Les meilleurs échanges sont ceux qui sont réciproques. c'est une base (souvent oubliées de nos jours) dans le commerce.-A ton avis, pourquoi j'ai mis deux heures à pondre une réponse? mdr
    • michmonde
      Tu rigoles, Jean-phi ou quoi...? Je me renseigne au fur et à mesure que j'écris pour ne pas dire trop d'âneries...saches que, bien souvent, je me sens petit face à la plupart de tes analyses. C'est toi qui élève, en ce moment, mes connaissances cinématographiques : j'ai plus appris grâce à toi en quelques échanges que ce que j'en apprend d'ordinaire en 5 ou 10 ans ! J'espère que tu ne te sens pas obligé de faire aussi dense parce que là, je trouve que j'ai exagéré, quand même... Au plaisir, cher ami, bonne journée ou...bon film...
    • Jean-philippe N.
      - J'en reste sans voix (si si, c'est possible!) devant mon amateurisme sur un sujet que je croyais maitriser. Savoir reconnaitre d'un coup (d'œil) l'origine géographique de telles ou telles curiosités me laisse loin du compte.
    • michmonde
      Enfin j'ai un peu de temps devant moi...Pour te tenir au courant, donc, de mes avancées, comme convenu : Commençons, pour vite y mettre un terme, par les salacités : qui, de la génération 70/80, n'a pas vu Ron Jeremy au moins une fois dans un X américain, ou Tracy Lords comme Richard Allan, Alban Ceray, Christophe Clarck, Marilyn Jess et Brigitte Lahaie en France dans les prod' de ce bon vieux Dorcel?Oui, vois-tu, j'ai travaillé avec plusieurs linguistes sur la question que, je peux le dire, j'ai "retournée dans tous les sens" pendant des années.Avant de connaître des filles... en vrai. Qui m'ont éclairé sous un angle, dirais-je, plus...contraignant...et même épuisant pour certaines.Tant qu'on est dans la finesse, je me suis bien bidonné sur cet article, notamment le texte qui est juste sous la photo d'Alain Payet : http://www.nanarland.com/gloss... Cela dit, nous pouvons désormais en revenir aux genres "moins lubriques".Comment ça, déjà ??? Alors, donc, je suis passé, de l'inégalable "Chillerama", au savoureux "Tucker & Dale...", tandem qui fonctionne à merveille, film super bien foutu techniquement, des morts toutes aussi comiques les unes que les autres, quiproquo assez bien amené, conclusion : un bon moment, même si la fin est quelque peu téléphonée. J'ai enchaîné avec "John Dies at the End" qui m'a également fait passer un bon moment. Son coté fantastique série B m'a bien plu; le plus appréciable étant son scénario bien déjanté avec ses aller-retour entre hallucinations et réalité(s) : Pas mal du tout. Puis j'ai empilé avec "Idole Instantanée" et là...je ne sais pas si c'est le trop plein d'un genre qui ne me colle pas à la peau ou bien mon coté psycho-rigide qui a soudainement refait surface mais j'ai trouvé ça assez indigeste sur la longueur malgré un début prometteur et une bonne performance d'actrice. J'ai bien compris la satyre sur la télé-réalité mais jouer les cruches pour parodier les protagonistes de ce genre télévisuel qui sont bien, déjà eux-même, assez stupides et ridicules comme ça, pour la plupart, ne m'a pas semblé d'une grande originalité. Un peu facile... Du coup, j'ai rempilé avec "Belles à mourir" et... merde, mais c'est le même principe ?!?!J'aurais certainement du commencer par celui là, certainement plus subtil, parce que, du coup, malgré quelques bons gags et des actrices appréciables, ben... j'en pouvais plus, quoi. À retenter plus tard, peut-être. Vite, un classique : tu parlais de "Book of Love" et un hommage à "À l'est d'Eden" du coup je me suis refait le film d' Elia Kazan dont je n'avais plus souvenance. Bon, ça a forcément vieilli mais ça m'a fait du bien.Puis, voulant passer à Book of Love, gros frein, hélas : introuvable, autant en streaming qu'en téléchargement (car si j'avais du acheter tous les films que je mate, je serais, à cette heure, en décomposition avancée au fond d'un caveau).Déception...bah, tant pis. Un peu voir ce JCVD là...Vandamme, bof ! Personnalité plutôt desservie par ses films séries B d'action et ses interviews limite mec-sous-coke. Je n'ai jamais été client mais je n'ai jamais critiqué...trop facile, là aussi. Belle carrière, quand même, faut reconnaître.Le cinéma Belge? Mouais, j'aime bien. Un style dur à définir, protéiforme mais appréciable.Je m'étais tapé un gros trip sur le cynique "C'est arrivé près de chez vous", puis sur le déprimant mais très prenant "Rosetta". J'aime bien "Farinelli" film Belge américanisé sur l'Italie...de quoi perdre son latin...le reste, je ne connais pas trop, bref... et au bout du compte, gros trip aussi sur JCVD avec un Vandamme d'un naturel humoristique que j'entrevoyais mais que je n'aurais pas imaginé à un tel niveau.Son discours en solitaire, en milieu de film, m'a tellement fait rire (et même un peu ému) que je le classe définitivement dans mes numéros d'acteurs d'anthologie.Sans parler de la scène dans le taxi (oui, madame, oui, madame...) ou son arrivée au guichet...En revanche, Zinedine Soualem, excellent dans l'irrésistible "Chacun cherche son chat", à ses débuts, en fait, ici, des tonnes.Une réalisation talentueuse également, un scénario original et bien pensé avec ses retours chronologiques, qui fait un peu penser, dans le style, quoique beaucoup soient ainsi fait, à "Elephant" que j'ai maté juste après, d'où le rapprochement. Pourquoi un film dramatique?Pour éviter le trop plein ressenti plus haut et repartir dans la dérision d'un oeil moins blasé, car, du coup, je voulais absolument me taper "Welcome to the Jungle" avec mon nouveau copain Vandamme remonté fraîchement dans mon estime.Et...ma foi, je n'ai pas détesté mais je ne peux pas dire que j'ai aimé.Jean-Claude est indubitablement doué pour la comédie et l'auto-dérision (sourire franc sur le coup du tigre et sur ses cris d'oiseaux dans la brouette) mais le film, bien que sa morale et son message soient louables, a des ficelles scénaristiques et des personnages plutôt bien lourdingues. Du moins, trop à mon goût...encore mon coté psycho-rigide.Là, il ne me reste plus que "In the Loop" et "Gentlemen Broncos", alors si tu veux en balancer d'autres, je prend. De mon coté, j'ai lu dans un de tes com' que tu n'étais pas très branché ciné asiatique mais j'espère que tu as quand même vu "The Chaser" et "A Bittersweet Life", deux thrillers sud-coréens de haute volée devant lesquels il est impossible de s'ennuyer et pas trop mal doublés en VF (doublages qu'il faut généralement éviter car la plupart gâchent réellement le film). Pour finir, chapeau pour ta réponse à celui qui s'amuse à remettre en question l'équilibre émotionnel des commentateurs d'Allociné.Confier sur ce forum des bribes de sensibilité émanant d'un ressenti visuel n'a tout de même pas pour but de se faire rentrer dans le lard par des rustres qui assimilent encore l'émotivité à la faiblesse...et quand bien même, qu'est ce que ça peut lui foutre?Même s'il montre une certaine intelligence, cela n'excuse pas, à mes yeux, son faux pas. D'autant que, tu as parfaitement raison, ça n'est pas le lieu, ici, pour engager de telles attaques personnelles et tu as très bien fait de refuser de t'en défendre. Enfin... je n'ai pas à m'en faire pour toi, tu as, à l'évidence, assez de talent dans la répartie pour clouer le bec de ces impétueux. Bien...nom de dieu, a-t-on idée de faire si long? Peut-être devrais-je penser à dormir un peu...
    • Jean-philippe N.
      -Pour commencer, papoter (le mot est faible!) avec des accros du ciné ne peut en aucun cas m'ennuyer, surtout si ils ont la même passion: les films, quelque soit le genre, qui ne peuvent laisser indifférent. Je suis parfaitement conscient qu'on ne peut tous aimer les mêmes choses ni ne regarder qu'un seul style et qu'un éventail de choix est indispensable, surtout pour apprécier à leurs justes valeurs des titres divers et variés. Par contre, histoire de ne pas trop encombrer des pages particulièrement consultées, par des échanges d'idées, des réactions (bonnes ou mauvaises, peu importe), il me semble judicieux d'en choisir une peu ou pas visitée. Celle-ci me parait bien. Je pratique déjà avec deux/trois autres habitués du site ce genre d'échanges et c'est plutôt cool. Après tout, nous sommes sur un forum!-Ensuite, savoir qu'on est au moins deux sur cette terre à avoir trippé sur "Chillerama" me fait chaud au cœur. Je ne sais pas si tu l'as vu, mais tu peux comprendre pourquoi j'ai trouvé "I Frankenstein" aussi mauvais surtout après avoir regardé la version du journal d'Anne Frankenstein dans celui-ci. Une chose me turlupine*: comment peux tu connaitre Ron Jeremy? Aurais tu, toi aussi, fait une étude non exhaustive sur l'évolution du ciné X des années 70 à aujourd'hui? avec explication de texte et tout le toutim?(* désolé: j'ai pas pu m'empêcher!)J'ai voulu revenir à des sujets plus sérieux en allant voir hier soir "The book thief" (la voleuse de livre). Ce n'est pas comparable mais j'ai mieux aimé que "All is lost" tout en trouvant le film peu convaincant.Par contre, encore une fois dans un tout autre registre, j'ai reçu et vu cette nuit "Book of love" (1990) de Robert Shaye. Une sorte de mix entre la série "nos jours heureux" avec un peu d'"American graffiti". On y trouve d'ailleurs un hommage très appuyé à James Dean dans "A l'est d'Eden". Le peu que je divine de toi (génération, culture, etc) me fait penser que tu pourrais aimer ce film mineur certes, mais nostalgiquement romantique...
    • michmonde
      Ha ben oui, là...c'est foutu de chez foutu : j'ai adoré !Je voulais espacer un peu nos relations écrites (pas loin de devenir un roman épistolaire) par peur d'être envahissant mais le film m'a tellement sidéré que ça me pousse à réagir sur l'instant.Enfin voilà, quoi : sourire franc tout le long, entrecoupé d'éclats de rire...jamais je n'aurais cru qu'un film aussi "perché" puisse être possible aujourd'hui. Un délire sous LSD, héroïne, crack et j'en passe, toujours sur le fil du mauvais goût absolu. C'est tellement grand dans la médiocrité et le graveleux que c'est carrément pour moi une révélation !Peut-on faire meilleur...enfin,pire...enfin, je n'sais plus, moi...Il y en aurait beaucoup à dire sur tout ce que j'ai aimé tellement c'est foisonnant mais je dois me retenir pour ne pas spoiler le film.De ce que je peux citer : bon il y a, comme tu l'as dis le bout du nez de Ron Jeremy (pas étonnant) (qui ne doit guère plus pouvoir montrer autre chose aujourd'hui), les trucages dignes de ce que l'on faisait dans notre adolescence en super 8 avec du PQ et de la gouache rouge vermillon, les citations de films et phrases cultes, les chansons stupides mais hilarantes de comédie musicale à deux balles, le jeux de sérieux-ridicule des acteurs, tous excellents, dont Laura Ortiz complètement craquante avec sa frimousse espiègle (et carrément méconnaissable dans "La Colline à des Yeux"), la brève apparition d'Éric Roberts (mort de rire le nom du général) et le Dr Weems (avec sa miteuse explication dans le générique de fin) alias Ray Wise, inoubliable dans le rôle du démoniaque Leland dans Twin Peaks, etc...Bref, tout cela m'a rendu frénétique.En tous cas, ça m'a donné envie de rester dans le registre encore quelques temps histoire de parfaire ma culture cinématographique trash.Sûr que c'est pas demain que je vais me remettre à Walt Disney... Bon allez je vais me faire Tucker & Dale...à +
    • Jean-philippe N.
      Les fans de films style "grindhouse" de Rodriguez et tarentino ("Planet terror" (2007) "Death proof" (2007), "Une nuit en enfer" (1996) ou même "Helle ride" (2008) "Machete" (2010), bref, toutes les "bonnes" séries B assumées, et autres nostalgiques de films d'horreur du milieu du siècle dernier vont se régaler avec "Chillerama". Pour les autres, les plus nombreux, évitez: il n'est pas certain que vous arriviez à le supporter jusqu'au bout. Il faut quand même avoir une sérieuse connaissance de la pop-culture US des années 40 à 70 (âge d'or des drive-in) ainsi qu'un solide savoir cinématographique (du genre, mais pas que*) pour goûter toute l'étendue des références contenues dans cet OFNI qui tient plus de la grenade à fragmentation qu'à un pétard de quatorze juillet...4,5/5 sans hésitation: culte!PS: Pour les néophytes exigeants qui chercheraient à s'initier à ce genre particulier, je suggérerais de commencer par regarder "John dies at the end" (2012) de Don Coscarelli, nettement plus soft et tirant davantage vers le fantastique, mais quand même bien barré dans le délire, histoire de monter progressivement en puissance.. * Juste un petit exemple: dans le cours métrage sur les "ours-garous" la couverture du magazine gay que l'on voit à la fin dans les mains du héro montre une photo de Ron Jeremy, acteur porno "célèbre" dans les 70'/80' et qui a d'ailleurs fait plusieurs cameos comme dans "Hyper-tension 2" (2008) ou "Poultrygeist: night of the chicken dead" (2006), un autre chef d'œuvre du cinéma horrifique...
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