Mon compte
    White Tiger
    Bande-annonce White Tiger
    13 mai 2013 en DVD | 1h 44min | Action, Fantastique, Guerre
    De Karen Shakhnazarov
    |
    Par Karen Shakhnazarov, Aleksandr Borodyanskiy
    Avec Aleksey Vertkov, Vitaliy Kishchenko, Valeriy Grishko
    Titre original Belyy Tiger
    Spectateurs
    2,5 212 notes, 61 critiques
    VOD
    noter :
    0.5
    1
    1.5
    2
    2.5
    3
    3.5
    4
    4.5
    5
    Envie de voir

    Synopsis

    Eté 1943 sur le front russe. La Seconde Guerre mondiale touche à sa fin. Les terribles combats qui s’éternisent épuisent les deux camps. Chaque fois que les troupes soviétiques prennent de l’assurance, un énorme tank allemand surnommé « Le Tigre Blanc » surgit tel un spectre dans la fumée des combats, pilonne l’ennemi sans pitié puis disparaît subitement. Le commandement russe décide alors de construire un tank spécial, le T-34, pour lutter contre « Le Tigre Blanc ». Pour le piloter, Ivan Naïdenov, qui, bien que brûlé à 90% lors d’une attaque, a miraculeusement survécu. La chasse au monstre d’acier commence...

    Regarder ce film

    En VOD / Blu-Ray, DVD
    Cinemasalademande
    Cinemasalademande
    Location dès 2,99 €
    Regarder
    Service proposé par Service proposé par le CNC Service proposé par le ministère de la culture

    Bande-annonce

    White Tiger Bande-annonce VF 1:21
    White Tiger Bande-annonce VF
    42 906 vues

    Acteurs et actrices

    Aleksey Vertkov
    Rôle : Naydenov
    Vitaliy Kishchenko
    Rôle : Fedotov
    Valeriy Grishko
    Rôle : Zhukov
    Dmitriy Bykovskiy-Romashov
    Rôle : General Smirnov

    Critiques Spectateurs : ils ont aimé

    Meilleures critiques les plus utiles
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 11 mai 2013
    Pendant toute la première partie du film, j'ai été plus qu'emballé. L'histoire, les personnages, les tanks, etc. tout y était plus que convaincant... Mais voilà, la deuxième partie arriva et le film tombe dans le nanar.
    Il va y avoir une suite qui expliquera peut-être pourquoi ce film tombe dans le nanaresque.
    Aboleth
    Aboleth

    11 abonnés 218 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 décembre 2014
    Film assez étrange mais intéressant. J'aime beaucoup l'effort fait sur les éléments "annexes", costumes, armes, scène historique (la signature de Keitel), les chars, les morts ... Ce qui fait qu'on cherche à suivre l'histoire jusqu'à la fin. Perso, c'et le Tigre blanc qui m'a fait tiquer. Même si il est censé être un prototype on voit tellement le camouflage que je l'ai trouvé un peu ridicule, c'est dommage car l'ensemble est vraiment ...
    Lire plus
    tomPSGcinema
    tomPSGcinema

    664 abonnés 3 323 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 1 décembre 2013
    L'histoire se déroule durant la Seconde Guerre mondiale et raconte la vie d'un tankiste russe qui, après avoir miraculeusement guéri d'une brûlure à 90% et qui dit avoir le don d'entendre et de parler aux chars, est chargé de détruire un mystérieux tank allemand nommé [b]White Tiger[/b]... Ce film de guerre russe se visionne avec un certain intérêt, grâce d'abord à son histoire assez mystérieuse qui est tout proche du fantastique et ...
    Lire plus
    Josepha Coccinelle
    Josepha Coccinelle

    3 abonnés 15 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 25 novembre 2013
    ce soir j'ai vu ce film, et je donne le conseil de voir, il est pleins de messages,
    et très captivant. A voir...

    Photos

    Infos techniques

    Nationalité Russie
    Distributeur -
    Année de production 2012
    Date de sortie DVD -
    Date de sortie Blu-ray 13/05/2013
    Date de sortie VOD 12/10/2017
    Type de film Long métrage
    Secrets de tournage -
    Budget -
    Langues Allemand, Russe
    Format production -
    Couleur Couleur
    Format audio -
    Format de projection -
    N° de Visa -

    Si vous aimez ce film, vous pourriez aimer ...

    Pour découvrir d'autres films : Meilleurs films de l'année 2012, Meilleurs films Action, Meilleurs films Action en 2012.

    Commentaires

    • Muad Dib
      Le PPSH était une meilleure arme, les allemands les ramassaient dés qu'ils pouvaient car supérieure en tout point à leurs armes. Les russes eux ramassaient les MP40 car... ils trouvaient plus facilement des munitions que pour leurs propres armes.
    • Bub ... Haut les flingues,
      Cette excellente histoire est en fait plus un compte fantastique et philosophique qu'un film de guerre. Pour les détails techniques, les tigres étaient de très gros chars allemands au blindage remarquable, mais ils s'enlisaient dans la boue des plaines Russes en raison de leur poids, de la faiblesse de leur moteur en regard de leur masse. Les Pz IV et les chars Hernault-Somua pris aux Français après l'armistice de 1940 étaient préférés par les chefs de blindés allemands, les premiers pour leur rapidité et leur maniabilité, les seconds pour leur vitesse de pointe et leur protection. Si les canons de 88mm des tigres étaient efficaces contre les chars américains, ils étaient trop faibles pour le blindage des T34/85 équipés, de canons de 85mm curieusement plus perforants. A la fin de la guerre on trouvait des PPSH et des MP40, dans tous les corps d'armée, y compris chez les américains, dont la Thompson était parfois à cours de munition quand l'intendance suivait mal. Enfin le seul char Allemand qui aurait pu arrêté une attaque de T34/85 seul était le Panther II, mais il y en avait peu, et le Joseph Staline 2, un monstre au canon de 120mm pouvait le mettre rapidement HS.En dehors de tous ces détails qui pourraient mettre à mal le réalisme du film s'il n'était pas d'abord fantastique, ce dernier demeure un petit chef-d'oeuvre de reconstitution pour les batailles et les effets des tirs de canon sur les véhicules blindés. Surtout qu'il a été réalisé sans aucun effet numérique. Tout est pyrotechnique, peinture sur verre, rotoscopie et explosion de maquettes grandeur nature. Les T34/85 du film sont issus de deux brigades de réserve de ces chars modernisés et toujours en service en Russie, une reconstitution de Tigre IV sur un châssis de T72 a été construite, un régiment d'artillerie a déployé quinze de ses pièces lourdes pour la bataille de la Vistule. Comme le front mesurait 800 km, la bataille du film n'étant qu'une section de cette grande offensive, les moyens déployés pour la récréer sont parfaitement adaptés. La compréhension de l'histoire, de ses tenants et de ses aboutissants, nécessitent simplement un regard distancié sur la guerre, et la capacité à s’interroger sur les forces réelles qui la déclenchent et l'entretiennent malgré les souffrances qu'elle engendre. Peut-être le tigre blanc, char mais aussi animal symbole de férocité insensible en Russie, a-t-il trouvé dans le soldat miraculé un adversaire à sa taille "spoiler" qui le combattra de nouveau, dans "20, 30,40,50 ans" comme il est dit dans le film "fin de spoiler". En tout cas, un film qui amène beaucoup de thèmes de réflexion avec beaucoup de subtilité ...
    • fran?ois m.
      Les MP40 étaient de meilleures armes et tout le monde essayaient d'en choper une. Que ce soit les Russes ou les Américains.
    • Florian R.
      Oui ou bien ramasser des armes au cas ou on en aurait besoin (Arme enrayé, manque de munitions chez un camarade ou pour sois-même etc.. )les raisons sont diverses !
    • Florian R.
      Oui tout à fait tout comme 3 VK 45.01 P aurait été envoyé dans le même but sur le front russe à la fin de 1943 !
    • Fran?ois G.
      Pour information, 3 Tigre (P) ont été envoyé sur le front Russe. L'un d'entre eux est notamment connus pour avoir servie de char de commandement.
    • Vito R.
      J’ai regardé « White Tiger »sur Canal (diffusé le 09102013). Je m’attendais à un film dans la lignée du « Stalingrad »de Jean-Jacques Annaud, c’est-à-dire à une intrigue reposant sur un duel dontla fin était prévisible. S’agissant d’un film russe, traitant de la secondeguerre mondiale, un point de comparaison s’imposait, celui de l’excellent film « LaBataille de Brest » d’Alexandre Kott. « White Tiger » est unfilm très intéressant mais qui souffre de plusieurs problèmes : d’abord, àmon avis, le manque de moyens de son réalisateur ; ensuite, en ce qui concernela narration, une certaine indécision quant au genre de message que le film estcensé délivrer. Il y a plusieurs scènes superbes comme celle de l’hôpital decampagne improvisé ou encore celle, vers la fin du film, d’une rue de Berlin,aux immeubles en ruines, dans laquelle défile une cohorte de prisonniers sousle regard d’une vieille femme hagarde qui a tout perdu. Ce qui est intéressantc’est de voir la manière dont sont décrites les conditions de vie de l’Arméerouge durant cette période. Cependant certaines scènes sont limitées par lesmoyens dont disposait le réalisateur : des plans serrés sur quelques charsqui attaquent rendre difficilement compte d’une offensive d’envergure, préparé durantà peine quelques secondes par une poignée de canons. Ni l’artillerie lourde, niles fameux orgues de Staline (katiouchas) n’interviennent pour écraser l’adversaire.Ce qui peut dérouter un spectateur qui s’attendait à un film d’action à l’américaine,c’est le brusque basculement de la narration : Naïdenov et son équipage affrontent dernière fois le char ennemi dans un combat indécis ; la bête est blessée mais n’est pas morte. L’explication viendra après la victoire, lorsque Naïdenov décide de continuer seul à traquer le char ennemi qui, dit-il, « pourra resurgir n’importe quand, dans vingt ans ou dans cent ans » s’il n’est pas détruit. On comprend alors que ce char symbolique représente le nazisme. Comme dirait Brecht, « le ventre est encore fécond d’où a surgi la Bête immonde ». Après la dernière scène d’action, on assiste à la reddition de l’Allemagne, scène d’anthologie dans laquelle le Maréchal Joukovhumilie l’état-major nazi (on peut regretter que l’accent ne soit pas mis surla présence des Français –De Lattre notamment- à cette signature, ce qui irritaprofondément Keitel). Suit une scène particulièrement savoureuse, où l’amiralvon Freudenburg et le général Stumpf s’entretiennent avec le Maréchal Keitel aucours d’un dîner qui leur est offert par les soviétiques : l’inanité de laconversation de ces vieillards ravagés par l’âge, par la défaite, par l’incapacitéde penser par eux-mêmes, à une valeur démonstrative : c’était donc celaces êtres qui prétendaient appartenir à la race des seigneurs ! On noteraque ces morts-vivants, véritables momies, redoutent d’être empoisonnés par lesSoviétiques ; le passage où Keitel se risque pitoyablement à goûter les « fraisesgivrées à la crème » est hautement comique. Cette seule scène suffit à sauverle film.En revanche, la scène par laquelle se clôt le film me semble très ambiguë, voirediscutable : c’est un retour en arrière explicatif (dans les premièressecondes, elle semble incompréhensible tant elle bouleverse la chronologiefilmique : Hitler aurait-il survécu ?) ; on y assiste en fait à undes célèbres entretiens au cours desquels Adolf Hitler exposait sa philosophieà Albert Speer. Le cinéaste a eu probablement du mal à trouver de parfaitssosies des personnages historiques : Speer, quoique reconnaissable,apparait nimbé d’ombre, ce qui dissimule en partie les traits de l’acteurchargé de l’incarner. Hitler développe l’idée que la guerre est « l’hygiènedu monde » et que la postérité reconnaîtra la justesse de ses projets :n’a-t-il pas ouvertement osé faire ce que les nations hypocrites souhaitaient depuistoujours dans leur for intérieur, exterminer les Juifs et détruire la Russie,ce pays obscur et ténébreux. Cette scène provoque un malaise profond. Neserait-ce que parce qu’elle proclame que la guerre est intimement ancrée dansle cœur de l’homme et que, tôt ou tard, elle resurgira, de façon inéluctable. Lebut du réalisateur est-il de souligner que Naïdenov avait raison de vouloircontinuer sa croisade malgré la fin des hostilités, car le Mal est toujourstapi dans l’ombre ? Malgré tout, on s’attendrait à une condamnation bienplus radicale, surtout de la part des Russes qui ont subi de manière massiveles atrocités nazies.Du point de vue de la couleur historique, on peut remarquer que le commissairepolitique, le capitaine Fedotov, se promène dans l’une des 43 728 jeeps Willys ou Ford que les USA ont envoyées en URSS au titre du prêt-bail, qu’il utilise une « Schmeisser » prise à l’ennemi (cas courant), que les costumes soviétiques sont parfaits, portés parfois avec élégance au milieu de la boue (du moins en ce qui concer'ne les officiers...). L’équipage choisi pourpiloter le char russe reflète bien les différentes ethnies de la CCCP. L’hôpitalde campagne improvisé, les cadavres carbonisés des tankistes sont bien vus. Enrevanche, les acteurs russes déguisés en Allemands passent mal. La superbescène de la colonne de prisonniers allemands dans la rue de Berlin ne montrepas d’enfants-soldats ni même de vieillards enrôlés dans les dernières heurespour défendre la capitale et ces vaincus ont l’air en trop bonne santé. En définitive, le film paraît raté en raison même des problèmes que j’ai soulignés.On hésite en effet entre un film de guerre traditionnel et la volonté de fairepasser un message dont le contenu brouillé et indécis laisse un malaise. Jeretiens la prestation de l’acteur qui joue le capitaine Fedotov (VitaliKichtchenko), excellent dans son rôle.
    • Ulteamatum
      Par contre le ferdinand emportait bien le canon de 88 mm PaK 43 L71
    • Ulteamatum
      Ah non, l'armement que se partageaient le tiger et le tiger P était le fameux 88 mm L56, dérivé antichar de la pièce de FlaK du même calibre. Pour ce qui est du ferdinand, il a été conçue sur les 90 châssis de tiger P produits, ceux-ci ayant été recalés.
    • D?c?s P.
      Surtout que le tiger P dont il est question n'a jamais combattu ^^ ,c'est le tiger qui lui a été préféré au planche de chez porshe....c'est le même canon fantastique de 88L71 ou 70 je sais plus mais en revanche la caisse n'a jamais été celle de chez ferdi porshe ^^ @ part ce détail vite fait je regarderai ce film avec plaisir ;)
    • David Cloitre
      Autant l'avouer tout de suite : le film nous laisse sur notre faim.Les longueurs sont souvent pénibles.Mais les batailles de char permettent de sauver le film et d'en faire un divertissement agréable.
    • quetedugraal
      Film spécial avec quelques incohérences. Ceci dit, se laisse voir sans déplaisir.
    • Frenchmarshall
      Les américains ont fournis du matos aux Russes. On pouvait trouver des Shermans Russes. Pour le MP40 beaucoup de russes en utilisaient (à l'inverse les allemands utilisaient des ppsh). C'est vrai qu'en on voit beaucoup dans le film. Mais je me dis qu'ils sont tankistes, et donc le mp40 à une crosse rétractable, donc plus pratique à ranger dans un tank? Pour ce qui est du film, et bien je ne sais pas quoi en penser!!!Autant la première partie du film est sympa. Avec des combats de chars et un scénario original. C'est pas un chef d'oeuvre, mais ça sort de l'ordinaire.Par contre la 2nd partie je n'ai rien compris! Pourquoi le réalisateur passe de 1943 avec des combats à la capitulation Allemande? Pourquoi filmer la scène de la capitulation? ça sert à quoi dans le film? Toutes les scènes à la fin du film sont complètement décalé par rapport au film. L'histoire c'est censé être un char allemand mystérieux qui surgit de nulle part et qui est traqué par les russes... Donc incompréhension pour ma part.
    • AvipersoCtou
      Esprit rationnel passe ton chemin!!!! Pourtant je suis resté jusqu'au bout sans m'ennuyer mais avec beaucoup de questions qui resterons pour toujours sans réponse !!!!!! alors faites vous votre idée par vous même en effet il est très difficile de recomander ou de déconseiller ce film !!! Ma note 2.5/5
    • Paolo33
      "Fantastique" ? Vraiment ? J'ai rien vu passer ! La présence du Dieu des tanks peut-être ?! Peut-être une explication, sûrement peu probable, pour la MP40 : le gradé l'a peut-être ramassé sur un Allemand ? C'était courant, je pense, de ramasser l'arme d'un mort lorsqu'on n'a plus de munitions dans la sienne :)
    • philippe imac
      Un film de guerre mystique ce n'est pas courant :)L'intrigue est légère et mal ficelée et on ne s'arrête pas à une incohérence près.Des moments grandiloquents et des personnages carrcaturaux au possible.L'intrigue est censée débuter en 43…fin de la guerre ah bon? puis saute à la capitulation allemande à Berlin: narmol quoi :/ Seul point qui relève peu l'ensemble ce sont les moyens mis en oeuvre: on ne lésine pas sur le T34 et on en aligne même par demi douzaine. A coté de ça les Jeep sont américaines et pas GAZ et le gradé se trimballe sans qu'on sache pourquoi avec une MP40 comme arme: cherchez l'erreur…Le final est particulièrement ridicule avec Hitler himself: gros budget je vous dis :D
    Back to Top