Prince of Texas

Remake du film Islandais "Either Way" Prince of Texas se présente comme un road movie mais qui n'en est pas vraiment un puisque la plupart des scènes se déroulent soit sur leur camp soit sur la route. L'histoire se passe au Texas en 1988 là ou Alvin et Lance travaillent sur une route endommagée par le feu quelques mois plutôt mais peu importe le cadre peu importe ce qu'ils font au final ça sert juste de prétexte au réalisateur pour mettre en avant la relation entre deux hommes très différents l'un de l'autre mais qui vont apprendre à se connaitre ce qui va donner des moments intéressants et même drôles mais qui au final nous laisse sur notre faim car ça n'aboutit pas à grand chose. 2,5/5

Ma Critique .fr/2013/11/prince-of-texas.html (enlever l'espace entre blogspot et .fr)

ilm passé quasi inaperçu dans l'embouteillage des sorties d'octobre (mois qui est au cinéma ce que le triangle de Rocancourt est à la circulation en Ile de France), ce Prince of Avalanche rebaptisé pour l'occasion Prince of Texas n'est pas très loin de la sortie technique vu son nombre de salles famélique. Et c'est bien dommage, tant ce drôle de film de potes aurait mérité une attention supérieure, pour son originalité, pour son esprit mélancolique, pour sa peinture si juste de deux hommes un peu paumés à un moment de leur vie où tout semble partir en live, et surtout pour son décor tellement décalé. Ce décor, c'est le Texas. Mais pas celui des chapeaux de cow-boys, des déserts de sable et des puits de pétrole. C'est un Texas qui a été ravagé par les flammes, paysage de désolation dans lequel nos deux héros doivent ... tracer les pointillés sur la route. Il y a un homme, et un jeune homme. Un sérieux et un branleur. Une opposition de style assez facile, mais qui va petit à petit se désagréger. Car derrière ses airs sur de lui, le quarantenaire est en plein nervous breakdown. Et car derrière ses airs de petite frappe inculte, le plus jeune se cherche, découvre les premiers vrais problèmes de la vie d'adulte. C'est un road movie qui ne bouge pas beaucoup, même si on passe beaucoup de temps sur les routes. En isolant complètement les deux héros du reste du monde, et en diminuant drastiquement les personnages (4 rôles parlants), le réalisateur David Gordon Green tente le coup gonflé du petit film indépendant métaphysique. Car le vide des lieux fait évidemment ressortir la grande solitude de ces deux guignols, qui vont se tourner autour pendant de longs moments avant l'inévitable clash. Critique complète : http://dh84.over-blog.com/2013...

Aucun intérêt. Lire ma critique en googlant "Christoblog prince of texas"

Il y a Hirsch aussi, et du lyrisme, la nature. Évidemment que "Prince avalanche" à des ressemblances. L'histoire, la narration et la mise en scène n’ont cependant rien à voir.

@matt41fr: Aucun rapport avec Into the Wild, la seule ressemblance qu'on peut trouve c'est qu'il y a une forêt dans les deux films.

C'est moi ou il y a quand même une forte ressemblance avec l'ambiance d'into the wild...

C'est vrai que c'est toujours pitoyable de voir un titre anglo-saxon remplacé par un titre... anglo-saxon. Quel était le problème avec "Prince of Avalanche" ? trop compliqué pour les Français ?Whatever...

euh le synopsis... La bande annonce semble indiquer que c'est plus interessant que 2 gars qui s'emmerdent

Oh ça a l'air excellent ça !

Prince of texas les boite de distributionFrançaise sont toujours aussi pitoyable. En tout cas ça doit bien faire rire les Américains.

Enfin le retour de Gordon green, après quelques comédies passables, il revient à ce qui à fait son succès en tant que réalisateur. Un excellent film.

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