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Synopsis
Dans une rue de Paris, un inconnu croit reconnaitre en Joachim un soldat mort en Bosnie le 21 août 1983. Or, le 21 août 1983 est le jour même de la naissance de Joachim ! Troublé par la possibilité d’être la réincarnation de cet homme, il décide de partir pour Sarajevo avec ses amies Alice et Virginie. Dans ce pays hanté par les fantômes de la guerre, ils se lancent corps et âme sur les traces de la vie antérieure de Joachim.
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Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
premier film très audacieux, que j'ai choisi de voir comme un bel hommage à la Bosnie oubliée où des gens continuent de vivre tout en ayant arrêté dans leur tête...je trouve que ce titre va très bien au film qui est aussi une dernier voyage, si j'ai bien compris , d'un autre héros, plus ordinaire, mais non moins interessant.
jean l.
146 abonnés
224 critiques
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5,0
Publiée le 30 septembre 2020
C’est un premier film extrêmement réussi , avec un casting exceptionnel, et une mise en scène lumineuse
Barnabé Jarrot
16 abonnés
62 critiques
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5,0
Publiée le 30 septembre 2020
Un road-movie très original, animé par un grand souffle romanesque et porté par des comédiens excellents : si Adèle Haenel prouve une fois de plus son immense talent, Jonathan Couzinié est une vraie révélation. Un film onirique et envoûtant, entre drame et comédie, je recommande chaudement!
Margot1812
28 abonnés
89 critiques
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5,0
Publiée le 30 septembre 2020
Un très beau road trip porté par Adèle Haenel et Jonathan Couzinié. C'est poétique, la lumière est très belle! Je recommande !
Après l'obtention de son bac, Aude-Léa Rapin est partie dans les Balkans et y est restée dix ans... En Bosnie, son point de chute était Francis Bueb, qui avait créé le Centre André Malraux à Sarajevo et dont l’histoire était comme une légende pour elle. La réalisatrice se rappelle : "En arrivant là-bas après mes trente heures de voyage, je sonne au Centre et c’est Jean-Luc Godard qui m’ouvre, dans un nuage de fumée de cigare. Je n’avais jamais vu
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Retour à Paris
C'est après son long séjour en Bosnie que Aude-Léa Rapin est rentrée à Paris et s'est dirigée vers le cinéma. Elle se rappelle : "De retour à Paris, j’ai réalisé que toutes ces années à observer la vie des autres m’avaient donné la nécessité de raconter mes propres histoires. Je me suis lancée dans le concours de l’Atelier scénario de la Fémis sans trop savoir où j’allais. J’ai eu la chance de tomber sur Jean Bréhat qui était président du jury (n
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L'idée de la réincarnation
Si l'histoire des Héros ne meurent jamais prend racine dans l'expérience bosno-serbe de Aude-Léa Rapin, la thématique de réincarnation vient d'un sans-abri croisé dans une rue près du marché d’Aligre, dans le 12ème arrondissement de Paris. Comme dans le film, il avait trouvé une manière originale de gagner sa vie et d’intéresser les passants : leur raconter une histoire sur eux en les déroutant. La réalisatrice l'a écouté pendant deux ou trois jo
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On me dit que dans toute la France, ce film est projeté dans des salles vides...totalement vides... Je trouve ça honteux. Il faut qu'Adèle Haenel renoue avec le succès. Pour ça, une seule solution : Cécile Sciamma. A bonne entendeuse...
solaris-33
Depuis le coup d'éclat de Haenel aux César, j ai bcp de mal à la voir dans un film,alors que c est une actrice que j' ai toujours trouvé géniale. Mais j ai tellement eu de mal à comprendre son comportement aux César.Les règles du jeu sont simples aux César : il y a des Nominés et parmi les nominés, il y a un gagnant. C est au moment de la NOMINATION de Polanski qu elle aurait dû s indigner (par les médias, la parole se fait vite entendre). Le mal était fait a partir de la nomination.C est comme s indigner si une équipe de foot gagne plutôt qu une autre. Il y a bien une équipe qui va gagner, c est comme ça.Alors que là, elle est venue aux César déguster les petits fours dans sa robe Chanel et au moment où l'on décerne le prix Madame s'en va.Bah nan, soit on accepte les règles et on vient, soit on n'accepte pas et on ne vient pas a la cérémonie.Même raisonnement pr Foresti.Du coup maintenant je peux plus voir les films de Haenel. Dommage.
Jo la Brouteuse
Je me demandais où ce film était passé... Je pensais même qu'il était sorti, et que personne ne s'en était rendu compte. C'est possible, après tout.
Eliott D.
Pour avoir discuté avec la réalisatrice elle m'a expliqué qu'elle ne souhaitais pas faire un film à la place d'un bosniaque mais sur la bosnie
riqueuniee
Merci de la précision. Les textes n'étaient pas très clairs à ce propos,
Armand Q.
Non le synopsis indique le personnage est mort en 1983 mais des années avant la guerre, et ce décalage fait d'ailleurs partie de l'intrigue. Super film, très touchant et drôle !
riqueuniee
Heu...S'il s'agit de la guerre en Bosnie, 1983 est une drôle de date, cette guerre ayant eu lieu de 1992 à 1995. Il doit s'agir d'une faute de frappe, 1983 au lieu de 1993.L'erreur figure partout, elle doit venir du dossier de presse du film.A noter que le résumé sur IMDB ne donne pas de date. PS Si ce n'est pas une erreur de date, ça m'intrigue.