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    La Lune était bleue
    La Lune était bleue
    1 juillet 1953 en salle | 1h 39min | Comédie
    Date de reprise 15 novembre 2000
    De Otto Preminger
    |
    Par F. Hugh Herbert
    Avec William Holden, David Niven, Tom Tully
    Titre original The Moon is Blue
    Spectateurs
    3,3 39 notes, 10 critiques
    VOD
    noter :
    0.5
    1
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    Synopsis

    Sur la terrasse de l'Empire State Building, Don Gresham, un architecte talentueux, fait la connaissance d'une jeune actrice deluree, Patty O'Neill. Seduit, il l'invite a diner chez lui, ce qu'elle accepte. Ils se rendent chez lui et Patty propose de cuisiner elle-meme. L'arrivee de l'ex-fiancee de Don, Cynthia, accompagnee de son pere David, ainsi que du propre pere de Patty, ne trouble en rien la folle ingenue. Ils acceptent son invitation a diner. Un leger incident pendant le repas oblige Patty a changer de robe. Pendant ce temps, David demande Patty en mariage.

    Regarder ce film

    En VOD / Blu-Ray, DVD
    Service proposé par Service proposé par le CNC Service proposé par le ministère de la culture

    Acteurs et actrices

    William Holden
    Rôle : Donald Gresham
    David Niven
    Rôle : David Slater
    Tom Tully
    Rôle : Michael O'Neill
    Maggie McNamara
    Rôle : Patty O'Neill

    Critiques Spectateurs : ils ont aimé

    Meilleures critiques les plus utiles
    Plume231
    Plume231

    3 464 abonnés 4 639 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 janvier 2013
    Un film qui a emmerdé le Code Hays et les Ligues hypocrites catholiques américaines, et grâce auquel Otto Preminger a donné un véritable gros coup de canif qui fait mal à ces derniers, ne peut pas être mauvais. Déjà entendre les mots de "vierge", de "maîtresse" et de "sexe" dans un film américain des très puritaines années 50, ça donne un intérêt à la chose. Ensuite, si Preminger n'a pas entièrement la maestria du théâtre ...
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    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 3 mars 2008
    tres tres sympa,par le maitre preminger
    on ne s'ennuie jamais,a voir
    Estonius
    Estonius

    2 448 abonnés 5 218 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 20 novembre 2012
    Une comédie (à l'origine, il s'agit d'une pièce de Broadway mise en scène par Preminger lui-même) qui mit à l'époque en rogne les puritains américains (ils ne leur en faut pas beaucoup), c'est léger, intelligent, le personnage principal est une jeune fille très délurée (joué par la très jolie Maggie McNamara), c'est bien joué (David Niven est excellent) et remarquablement filmé. Un très bonne réussite et un excellent moment de cinéma.
    Nelly M.
    Nelly M.

    81 abonnés 525 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 10 octobre 2012
    En s'évertuant à narguer la frilosité sexuelle du "code Hays" (série de recommandations qui aurait commencé à s'effriter à compter des sixties ?), ce marivaudage de 1953 renferme un ping-pong verbal assez savoureux. On se dit que, soit elle se préserve, soit elle s'engage, cette créature du diable ! Deux yeux ronds, une queue de cheval haut perchée, c'est une rapide à embrasser. Elle épate, il n'est guère que son père pour apporter ...
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    Photos

    Infos techniques

    Nationalité U.S.A.
    Distributeur -
    Récompenses 1 prix et 5 nominations
    Année de production 1953
    Date de sortie DVD 21/06/2006
    Date de sortie Blu-ray -
    Date de sortie VOD 25/04/2023
    Type de film Long métrage
    Secrets de tournage -
    Budget -
    Date de reprise 15/11/2000
    Langues Anglais
    Format production -
    Couleur N&B
    Format audio -
    Format de projection -
    N° de Visa 14632

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    Commentaires

    • Nelly M.
      En s'évertuant à narguer la frilosité sexuelle du "code Hays" (série de recommandations qui aurait commencé à s'effriter à compter des sixties ?), ce marivaudage de 1953 renferme un ping-pong verbal assez savoureux. On se dit que, soit elle se préserve, soit elle s'engage, cette créature du diable ! Deux yeux ronds, une queue de cheval haut perchée, c'est une rapide à embrasser. Elle épate, il n'est guère que son père pour apporter un frein temporaire à ses audaces. Une façon de perdre du temps pour en gagner ? Toute réserve verbale est ici pulvérisée, on n'ose plus songer à certains cylindres de tissu... Cela se passe heureusement avec ou chez des gentlemen ! Les dialogues surfent sur le fil du rasoir avec un naturel désarmant. Jusqu'à, hélas, devenir un filon surexploité... si ne demeuraient les attributions traditionnelles (cuisiner, repasser). On boit facilement un petit verre et même plusieurs, comme au joyeux temps des Etats-Unis maîtres du monde. Les allées et venues, les volte-face d'un partenaire à l'autre, le bénéfice de l'opération compensent la grisaille de cet Empire State Building à longue vue dans la brume, complètement désuet en 2012.
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