Lucifer Rising

Bien dans la veine des années 70 et de la révolution sexuelle, on nous montre un satan jeune représentant la rebellion et la couleur dans ce monde plus qu'un ètre maléfique, d'ailleurs il est appelé autant par des égyptien de l'ére pharaonique, de notre temps, une femme, etc... Cela s'accorde bien avec l'idée départ de Anton Lavey.

Une dramaturgie mythologique, comme "Inauguration of the pleasure dome". C'est le film où Anger explicite clairement son luciferianisme en rendant aussi hommage à son maître à penser, le mage Aleister Crowley dont on voit le portrait. Il faudrait une très sérieuse culture ésotérique et symbolique pour apprécier complètement le film, mais on peut à défaut se laisser prendre par le réel pouvoir d'envoûtement des images et de la ...
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Un film mystique, mystérieux, cultissime...et malheureusement incomplet. Kenneth Anger est un des plus grands réalisateurs underground, doublé d'un sataniste convaincu. Mais, quoi qu'on n'en dise, son film ne fait pas l'apologie du satanisme, mais plutôt du surréalisme et de l'occulte. Exceptionnel, mais introuvable. Rare, mais précieux. Court, aussi : ce n'est, en fin de compte, qu'un court-métrage d'à peine 30 minutes (même moins, si ...
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Court-métrage de Kenneth Anger typique d’un certain psychédélisme, Lucifer Rising est à la fois une déclaration d’amour envers Aleister Crowley, maître sataniste, tout en étant un pur manifeste symboliste. Chaque image, apparemment déconnectée de la précédente, est là pour célébrer l’occulte, ainsi que les forces mystérieuses à l’œuvre depuis l’aube de l’humanité. Non seulement la plupart des plans sont d’une ...
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